un soucis financier (9)

un soucis financier (9)
Franchement, je me marrais. On était à deux heures de l’entretien d’embauche d’Amalia, et elle était assise dans le canapé, en train de visionner un film porno sur la télé. Dès le matin, je lui avais dit de se mettre là, et de regarder. Elle en était à son quatrième film. Ce n’était pas du petit porno familial, mais du porno vraiment hard, rythmées de sodomies violentes, de facials, et d’uro.
Je lui avais servi un petit dejeuner sur un plateau (en remuant bien son thé tiède avec ma queue plongée au fond de sa tasse, et en la frottant également généreusement sur les tranches de pain).
– c’est vraiment hard, m’avait-elle dit en guise de commentaire.
Je sais bien que les hommes et les femmes n’ont pas vraiment les mêmes fantasmes. Mais bon, j’avais envi de lui mettre une bonne overdose de sexe dans les yeux.
Elle portait juste une petite culotte. De temps en temps, je passais derrière elle, et lui carressait les seins. J’étais fou de ses seins si généreux.
– Tu as vu comme elle a le cul sal, lui dis-je en commentaire, en regardant avec elle une femme en train de se faire sodomiser gravement, laissant des traces marrons à chaque fois sur la queue de son amant. L’actrice se masturba et lacha d’un coup un long squirt.
Comme Amalia ne disait rien, et restait stoïque, tandis que deux mecs commençaient à pisser sur les seins de la femme qui venait de jouir, je fis glisser une main de son sein vers son ventre, puis sur sa culotte, que j’écartais sur le coté avec mes doigts.
– Ouvre ta chatte
Amalia plaça ses deux mains de chaque coté de sa chatte, et écarta son sexe en grand. Elle était toute luisante de mouille, d’ailleurs, une petite goutte perla sur le bord de sa fente, pour couler doucement vers le canapé.
Tandis qu’elle gardait sa chatte ouverte en grand, je glissais un doigt en elle. C’était chaud, et effectivement, trempé. Détrempé même. Mon doigt avait glissé sans effort, et était ressorti luisant de mouille.
– Petasse, tu n’as pas honte, ce sont ces films qui te mettent dans cet état ? Ou peut etre parce que ton père va venir manger ici ce soir ?
Amalia me regarda avec étonnement, et je glissais deux doigts dans sa moule, et me mis à la doigter fort, en laissant mes doigts plongés en elle, bien à fond, repliant et ouvrant juste l’extremité de mes doigts. De la mouille coulait doucement de sa chatte.
– Allons, on sait très bien que toutes les filles se sont masturbées au moins une fois en pensant à leur père.
Amalia poussa un soupir en se lovant un peu plus dans le canapé, tandis qu’à la télé, une femme se prenait deux bites en même temps dans le cul. Je lui fis signe de continuer à bien ouvrir sa chatte, ce qu’elle fit.
– Tu t’en rappelles ?
Amalia ne disait rien, et elle avait trois doigts au fond de la chatte, qui la fouillaient.
– Allez réponds…. je suis sur que ça t’a fait jouir fort en plus, pour que tu n’oses pas en parler comme ça…
– Oui je l’ai fait, murmura Amalia, glissant un doigt vers son clitoris et commençant à le faire tournoyer.
– Qui t’a dit d’arreter d’écarter ta chatte ?
Amalia se mit à se frotter le clitoris de plus belle. Du coup, je me mis à faire entrer et sortir quatre doigts de sa chatte. A l’écran, une femme recevait une copieuse décharge de sperme dans le visage.
– Tiens, regarde, imagine que c’est ton père qui te fait ça.
– Ah salop tu me fais jouir… marmonna t-elle en s’acharnant comme une folle sur son clitoris.
Je sortis mes doigts détrempés, et recula d’un pas pour regarder Amalia se masturber. Elle était vraiment très excitée, le monde exterieur n’existait plus, elle était focalisée sur son fantasme, sur ce désir que j’avais reveillé en elle et remis à la surface. Sans doute s’était elle masturbée une ou deux fois étant gamine en pensant à son père, elle en avait joui et sans doute en avait eu elle honte par la suite, et elle avait décidé d’oublier et de garder secret. Et là, elle se masturbait pour ce tabou, cet interdit, essayant de retrouver la jouissance qu’elle avait eu à l’époque.
– Tu te branles en pensant à ton père, sans déconner…
Je pris un cadre photo sur une étagère, dans laquelle se trouvait Solange (ma femme), Amalia, et leur père au milieu. Je mis le cadre sous les yeux d’Amalia, qui se retrouva génée, et regarda ailleurs. Son regard tomba sur la télé, où une femme se faisait sodomiser en buvant la pisse d’un mec, puis elle me regarda.
– Regarde le salope. C’est pour lui que tu te carresses depuis tout à l’heure, alors assume.
Amalia regarda le cadre et se masturba à fond, en regardant son père. Elle se mit à gémir fort et fut envahit d’un immense orgasme, immédiatement suivi d’une grande honte. Elle sentit de petits jets de mouille gicler de sa chatte lors de son orgasme, qu’elle n’avait pas pu controler. Elle s’était completement abandonnée.
Elle avait du mal à récuperer ses esprits. La télé diffusait toujours des images de sexe. Et pour ma part, je m’installais entre ses cuisses, que je lui écartais, plaçant mon gland gonflé contre son cul. Je m’enfonçais dans son cul, et me mis à la sodomiser brutalement. Elle avait l’entrecuisse tellement trempé que cela lubrifiait également son anus.
Je regardais ma queue entrer et sortir de son cul, et sa chatte entrouverte qui coulait encore un peu, et dont les lèvres s’écartaient et se refermaient à chaque fois que je plongeais dans son cul.
– Toute cette mouille pour ton papa… Salope va… Et tu t’es vraiment masturbée le clito avec envie…
Amalia ne disait rien, et ça m’excitait encore plus. La réaction la plus censée aurait été de nier complétement, de dire que je me faisais des idées, mais elle, elle ne disait rien. Pire, elle se montrait honteuse.
Ca m’excita tellement, je sortis ma queue de son cul, et la glissa dans sa chatte. J’éjaculais trois grosses rasades de foutre en elle. Amalia me regarda paniquée, et se redressa d’un coup. Elle se leva, alla en direction de la salle de bain.
– Est ce que Solange prend la pilule ? Je n’en ai pas sur moi.
– C’était bon de gicler dans ta chatte.
– Je suis serieuse là !
J’avançais vers Amalia, qui entra dans la salle de bain et ouvrit les differents tiroirs. Je lui pris la main, elle se tourna vers moi, et je lui administra une violente giffle sur la joue droite.
– Tu ne me parles pas comme ça, connasse.
Tout en parlant, je lui gifflais ses seins genereux, en insistant bien sur les mamelons.
Comme elle se mit à pleurer, je la pris dans mes bras, et lui fit :
– Il y a une pharmacie dans le coin de la rue, tu vas y aller, leur demander des pillules, et tu prendras aussi deux boites de préservatifs et du lubrifiant. Et quand tu reviendras tu te feras belle pour ce soir, car effectivement, ton père vient manger à la maison. Je veux que tu sois à tomber pour lui.
– Je vais juste prendre une douche avant…
– Pas question, remets la culotte que tu portais tout à l’heure. Ta douche, tu la prendras demain, pas avant. Ca me plait trop de savoir que tu es remplie de mon sperme. Ah et au fait, tu as plus d’une heure de retard à ton entretien d’embauche.
– …
– T’es pas serieuse.

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