Françoise une collègue de maman

Françoise une collègue de maman
Mardi 6 janvier vers 14h40

Je suis à bord de ma voiture, rentrant chez moi après une journée de cours; quand je vois une femme chargée de sacs de course traverser devant moi. Je reconnais cette femme c’est Françoise, une collègue de ma mère; je la connais un peu; j’ai l’habitude de la ramener chez elle chaque fois que je vais chercher ma mère au travail. La voyant chargée ainsi je décide de la conduire chez elle; je tourne et m’arrête à sa hauteur.

_  « Françoise, Bonjour tu veux que je te conduise chez toi? »
_ «  Euh, Alex, Bonjour, oui si ça ne te dérange pas »

Je sors de la voiture pour l’aider à mettre ses courses dans le coffre, je profite d’être à coté d’elle pour lui faire la bise et lui souhaiter la bonne année.
On monte dans la voiture, et je la conduis chez elle; une fois devant son immeuble je cherche une place où je peux me stationner.

_ « Tu as besoin d’aide pour monter tes courses? »
_ « Non, je ne veux pas te déranger, c’est déjà gentil de m’avoir ramenée. »
_ « Je n’ai rien à faire d’autre »
_ «  alors je veux bien, merci »

On descend de la voiture, on prend les sacs dans le coffre (Ils sont plutôt lourd). Je la suis, on monte jusqu’à son appartement qui est au second étage. Elle ouvre la porte, et on entre.

_ « Je te remercie beaucoup de ton aide, tu peux poser ça dans la cuisine »
_ « Ok, veux tu que je t’aide a ranger? »
_ « Non c’est bon tu m’as déjà bien aidé. Tu veux boire quelque chose? »
_ « Non merci, c’est bon »
_ « Tu es sur ? ça me gêne de ne rien t’offrir pour te remercier. »
_ « Dans ce cas un coca si c’est possible. »
_ « Pas de problème, installe toi dans le salon; j’enlève mes chaussures et mon manteau et j’arrive »

Je me dirige alors vers le salon ou j’enlève mon manteau et m’assois sur le canapé. Apres quelques instants seuls, Françoise me rejoint. C’est une très belle femme, elle est brune cheveux mi- long avec un effet décoiffé sur le derrière de la tête; elle doit mesurer a peu près 1m60, est mince, elle est au alentours de la cinquantaine (mais plus jeune que maman). Elle porte un pull gris et un jean assez moulant.
Elle pose le plateau sur la table basse et s’assois à mes cotés; elle me sert un verre et on trinque à la nouvelle année.

_ « Je te remercie pour ton aide »
_ « Je t’en prie ce n’est rien »
_ « tu m’as rendu un grand service car j’ai extrêmement mal aux pieds »

Et tout d’un coup; je ne sais pas ce qui ma pris je lui dit:

_ « Aimerais tu un petit massage des pieds? »
_ « Non quand même, je vais pas te forcer à tripoter mes pieds. »
_ « ça me fais plaisir »

Tout en continuant à dire « non » Françoise s’allongeait et mettait ses pieds sur moi. Je saisi alors un de ses pied et commence a le masser (je ne sais pas du tout ce que je fais) mais cela ne semble pas la déranger au contraire elle semble apprécier, elle pousse des petits bruits. Je suis quand même inquiet.

_ « je ne te fais pas mal? »
_ « Bien au contraire »

Je continue alors mon message mais je change de pied; je regarde Françoise, elle semble détendu elle est entièrement allongée sur le canapé et profite du massage et continue ses petits bruits. Je commence à ne pas être insensible à cette situation. Je me redresse afin de ne rien laisser paraitre. Je reprends alors l’autre pied pour le masser a nouveau

_ « Ce que tu me fais est divin »

Je continue mon massage et commence a m’allonger afin de rapprocher mon visage du sien; je l’embrasse elle me repousse et se redresse

_ « OOOOOH qu’est ce qui te prends? Pourquoi tu fais ça?»
_ « Je te prie de m’excuser mais tu es si belle et la situation ma légèrement dépassée que je n’ai pas résisté a l’envie de t’embrasser. »
_ « t’imagine si on nous avait vu? »
_ « on est chez toi. Et on n’a rien fait de grave. »
_ « Tu es le fils de Patricia, ma collègue de mon amie »
_ « Et alors on est tout deux majeur »

Après plusieurs minutes d’échanges, et de compliments je ressente ma chance, au début rien ne se passe puis quelques secondes plus tard elle me rend mon baiser; son embrasse langoureusement. Je commence a glisser sur le canapé afin d’être allongé et j’entraide Françoise avec moi. Une fois allongé je lui saisi les fesses et les malaxent délicatement, puis je passe mes mains sous son pull je sens sa peau qui a une légère chair de poule et le remonte jusqu’a ses omoplates et fini par lui enlever le pull.

_  « Stop…On va dans ma chambre car si ma fille rentre plutôt je ne veux pas être surprise »

Pendant que l’on se dirige vers sa chambre je constate qu’elle est en train de se déshabiller; une fois dans sa chambre elle ferme la porte me pousse sur le lit et retire sa culotte. Elle est sublime de beau sein un vagin épilé en ticket de métro ; elle se met alors sur moi me déshabille, elle me retire mon pull, mon t-shirt une fois torse nu elle m’embrasse dans le cou et descend jusqu’au bas ventre. Déboutonne les boutons de mon jean, elle saisie mon jean et mon boxer et tire d’un cou sec.

_ « C’est moi qui te mets dans un tel état? »
_ « Oui tu est si parfaite »
_ « Prend une capote dans le tiroir de la table »

Alors que j’ouvre le tiroir et saisie la boite de préservatif Françoise m’avais pris dans sa bouche et me regardais dans les yeux c’était extrêmement excitant; une fois le préservatif sorti de son emballage elle s’arrêta le pris et me le mis.

_ « D’habitude je ne suce pas mais tu as été si gentil que j’ai voulu te faire plaisir »

Elle se met alors à me chevaucher d’une façon intense comme si ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu de relation. Je la saisie et nous fais tourner sur le lit car a cette cadence je ne tiendrai pas longtemps.
Je décide de me retirer afin de me reposer un peu; sa chatte est remplie de cyprine, elle mouille abondamment. Peu de temps après je sens ses mains qui me tirent vers le haut; je me réintroduit en elle en faisant des va et vient plutôt lent afin de ne pas jouir immédiatement tout en alternant avec des va et viens rapide. Je joue avec ses seins et je l’embrasse. Puis quelques va et viens plus tard je jouis.

Après quelques minutes de baiser intense et de caresses, elle me demanda de partir avant que sa fille ne rentre.

On se dit au revoir; et je rentre chez moi. Dans la soirée j’ai reçu un sms de Françoise me disant qu’elle avait passé un bon moment et qui sais …

A suivre peut être.

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