Chapitre 4 : PAMELA et CINDY (FIN)

Chapitre 4 : PAMELA et CINDY (FIN)
Le vendredi midi, j’ai voulu faire une surprise à “Pam”, en la retrouvant au lycée pour déjeuner avec elle.
Je suis tombé sur Cindy,toute souriante de me voir. Elle m’a demandé:
– Bah qu’est ce que tu fais là?
– Je suis venu faire une surprise à “Pam”.
– Ha merde, mais elle est rentrée, elle ne se sentait pas bien ce matin.
– Rien de grave j’espère?
– Non, un sacré mal de crâne, ça lui arrive parfois.
J’ai appelé “Pam”pour prendre de ses nouvelles et dès que j’ai raccroché, Cindy me proposa:
– Ca te dit de rester manger avec moi?
– Pourquoi pas maintenant que je suis là.
– Oui cool!!! me dit-elle en me faisant un énorme bisou sur la joue. Cela m’a étonné, elle qui était habituellement plutôt distante.
Nous avons pris un sandwich et nous sommes allés nous restaurer dans un parc,près de son lycée.
Nous étions assis dans l’herbe, moi en tailleur, et j’ai remarqué plusieurs fois en mangeant, qu’elle jetait des coups d’œil sur mon entrejambe. J’ai alors discrètement regardé si ma braguette était ouverte. Mais non, elle me reluquait carrément le sexe.
Nos sandwichs engloutis, nous nous sommes allongés l’un opposé à l’autre. Elle a retiré ses sandalettes, j’avais ses pieds à hauteur de ma tête, toujours vernis de rouge.

Elle a entamé le dialogue:
– Tu ne m’as pas répondu l’autre soir, comment c’était avec “Pam”?
– Pas mal, même si ça aurait pu être mieux…
– Ha bon pourquoi?
Ne voulant pas la choquer, je lui ai dit:
– On va dire que c’est une fille sage…
– Tu veux dire qu’elle est coincée?
Ne souhaitant pas passer pour un gros obsédé j’ai simplement répondu:
– Oui un peu mais c’est normal c’était sa première fois…
Puis j’ai changé de conversation.
– On t’a déjà dit que tu avais de très beaux pieds?
– Ah non pourquoi? Tu les aimes bien?
– Oui je les trouve parfaits.
– Merci. En plus je suis très sensible de cette partie…
– Tu veux dire comme ça? Et j’ai commencé à lui chatouiller la voûte plantaire. Elle s’est débattue en criant fort.
Elle s’est ensuite jetée sur moi
– Tu vas me le payer. Elle s’est mise à me chatouiller sur les flancs. Assise sur moi, j’ai répliqué, en la chatouillant au même endroit. On était mort de rire tous les 2, et soudainement elle a plaqué sa main sur mon paquet qui bandait.
– Mais cindy qu’est ce que tu fais là?
– Rien, je voulais juste vérifier un truc.
Je l’ai repoussé sur l’herbe:
– Bah ça va tu es à l’aise toi.
Avec un regard un poil pervers, elle m’a dit:
– Tu sais,on se dit tout entre filles et Pamela m’a tout raconté pour mercredi.
– Elle t’a dit quoi précisément?
– Elle m’a dit que c’était trop bon, que tu es doux et attentionné mais j’ai surtout retenu que tu as une grosse bite toute épilée.
Je ne savais plus quoi dire. Elle enchaina:
– Et moi j’aime voir des grosses bites.
En l’écoutant parler, j’étais en train d’halluciner. Cette nana que je pensais sage et prude, était en vérité une sacrée cochonne. Elle m’a expliqué qu’elle adorait se masturber en matant des photos de mecs à poil bien montés. Elle ajouta:
– Tu veux bien me la montrer?
– Mais ça ne va pas tu délires, je te rappelles que je suis le mec de ta cousine.
– Oui je sais, mais je ne te ferais rien, je veux juste la voir.
– Mais pas question et surtout pas ici.
Elle a insisté:
– Mais viens, on va dans un coin, si tu veux je te montre mes fesses.
Je fantasmais tellement sur son corps que je n’ai pas pu résister. Nous avons trouvé un endroit à l’abri des regards et elle a soulevé sa jupe. Elle avait un joli petit cul, moins beau que celui de “Pam”, mais pas mal quand-même. Entre ses fesses se nichait un string blanc. J’ai approché ma main pour les caresser, mais elle m’a tapé sèchement sur le dos de la main:
– Pas touche!!! Allez à toi maintenant.
J’ai baissé mon froc et j’ai sorti mon zob, dur comme du bambou.
Elle était émerveillée comme une gamine qui vient d’ouvrir son cadeau de Noël:
– Hum j’adore elle est bien grosse et bien droite, tu pourras me l’envoyer en photo?
– On verra, si tu es sage.
Puis on s’est quitté comme ça et elle est répartie en cours toute contente.

Le soir j’ai repensé à cette scène. J’étais tiraillé entre ces deux femmes que tout opposait. D’un côté, “Pam”, métisse au corps d’ado à la mentalité de gamine coincée et insouciante, avec qui je sortais depuis 15 jours et de l’autre Cindy, blanche au corps de femme, mystérieuse et très coquine sur laquelle je fantasmais.

Pamela est venue à la maison le lendemain, nous avons fait l’amour. Puis nous avons pris un bain. J’étais assis derrière elle, je lui ai fait un massage. Je lui ai dit de se mettre debout. J’ai massé ses fesses, je les ai embrassé, léché. Je la doigtais en même temps. Dans l’excitation, j’ai écarté ses fesses pour voir son trou du cul et en passant ma langue dessus, elle a avancé son bassin, me coupant net dans mon élan:
– Mais qu’est ce que tu fais?
– J’ai envie de te prendre par derrière.
– Ha non c’est dégueu et puis ça doit faire mal.
Quelle frustration, j’ai ce parfait petit cul devant moi et je ne peux pas rentrer dedans.
On est sorti du bain et pendant qu’on se séchait je lui ai dit:
– Au fait, tu n’étais pas obligée de tout raconter à ta cousine…
– Comment tu le sais?
– J’ai mangé avec elle hier midi.
Elle a piqué une crise de jalousie. J’ai eu beau lui expliquer que j’étais venu pour la voir et lui faire une surprise, elle ne voulait rien savoir. Elle s’est mise à bouder et ça m’a enervé:
– Bon allez prends tes affaires et casse toi, tu me saoules, tu me prends trop la tête. Elle s’est mise à pleurer:

– Excuse-moi je ne veux pas qu’on se quitte, je t’aime.
– Et ben pas moi, je n’ai pas besoin d’une gamine coincée, va t- en. Elle est partie effondrée. Elle a essayé de m’appeler plusieurs fois ce soir là, je n’ai jamais répondu.
Je n’avais qu’un seul regret, j’avais peut être été trop dur dans mes propos.

Le lendemain matin, j’ai reçu un message de cindy: “Est ce que je peux passer te voir aujourd’hui, il faut que je te parle de Pamela? ”
J’ai répondu positivement.
Elle est arrivé en début d’après-midi, super sexy. Les cheveux détachés, un rouge à lèvres aussi vif que son vernis. Elle portait un petit blouson en cuir noir, dessous un bustier rouge, une mini jupe en jean’s et des bottes noires qui montaient jusqu’à ses genoux.
J’ai failli en péter ma braguette…
Je lui ai proposé de boire quelque chose, elle refusa. Je me suis assis dans le canapé du salon et je lui ai demandé:
– Bon alors, tu voulais me parler de Pamela?
– Mais non, on s’en fout d’elle, je suis venu pour toi, maintenant que tu es libre je veux en profiter…
-Tu es consciente qu’il ne se passera rien d’autre entre nous?
D’un ton autoritaire, elle m’a ordonné:
– Allez mets toi à poil, je veux voir ta bite.
– Ok mais tu te déshabilles aussi.
Une fois nus tous les 2, son regard ne quittait pas ma queue. Elle s’est exclamée:
-Hum je suis folle de ta grosse pine, branles toi pour moi.
J’ai pris ma queue d’une main et je me suis decaloté en matant son corps. Elle avait de jolis seins bien rond (85c) et une petite fente “close-up” surmontée d’un fin ticket de métro.
Pendant que je me masturbais méthodiquement, elle s’est assise sur la table basse en face de moi, elle a écarté ses cuisses et elle s’est fourrée 2 doigts dans sa grotte humide. Avec son regard lubrique elle m’a dit:
– Putain c’est trop bon, continue je veux te voir éjaculer. Ce que je fis quelques instants plus tard en déversant mon sperme sur mon ventre. Cela l’a rendu folle:
– oh Putain, c’est génial, je n’ai jamais été autant excitée…
Je me suis mis à genoux devant elle et j’ai léché son minou gluant de mouille. Ma langue a fouillé son abricot et elle a joui en énonçant:
-Oh putain que c’est bon, hum oui, hum oui, continue, ne t’arrêtes pas.
Je me suis ensuite occupé de son clito et elle a perdu le contrôle d’elle-même, ne cessant de crier:
– oh putain, oh putain, oh putain…
J’ai bandé à nouveau en la voyant prendre autant de plaisir et c’est là qu’elle m’à dit:
– relèves-toi, j’ai envie de goûter ta bite
– avec plaisir.
Je me suis mis debout, elle a pris mon manche dans sa main et elle m’a sucé doucement. Vu qu’elle était novice, je lui ai expliqué un peu comment s’y prendre. Elle a accéléré le rythme et a utilisé sa langue de mieux en mieux. Elle avait l’air d’adorer ça. J’ai eu le droit à une bonne turlutte, mais j’en ai eu assez, je voulais la baiser. Je l’ai adossé sur la table basse, j’ai mis ses jambes en l’air et je les ai écarté. Sa foufoune ruisselait et je l’ai pénétré d’un coup dans précaution. À ma grande surprise, elle n’a eu aucune douleur, alors je l’ai limé de plus en plus vite. Sa lubrification vaginale me laissait coulisser parfaitement en elle. Elle murmurait des ” hum,hum,hum”, puis des “ha,ha,ha”. Tout en la ramonant vivement, je lui ai embrassé ses magnifiques pieds, je les ai léché et j’ai sucé ses orteils un par un. Au moment où j’ai senti que j’allais jouir, j’ai agrippé ses cuisses et dans un gémissement bruyant j’ai giclé en elle, tel un extincteur. Nous nous sommes ensuite regardé sans rien dire et nous avons éclaté de rire, nos nerfs ne se maîtrisant plus.
Nous avons bu un verre d’eau et elle m’a expliqué que Pamela était très triste. Je lui ai dit que j’étais désolé, mais qu’on n’était pas sur la même longueur d’ondes. Elle m’a répondu en souriant:
– Oui surtout sur la sodomie…
– Oui j’avoue, mais c’est un truc que j’ai envie d’essayé.

– Bah viens essayons ensemble.
Cindy s’est mise à quatre pattes sur le tapis.
Je suis comme un fou et je me jette sur son anus que je lèche comme un porc, je lui ai craché sur la rondelle et lui ai glissé mon index. Cindy m’a lancé:
– Hum c’est aussi bon que quand je le fais seule.
– Ah ouais? Et ben tu caches bien ton jeu petite coquine…
Je suis retourné farfouiller son fion avec ma langue, puis j’ai pris ma bite en main, j’ai inséré mon gland entre ses fesses, j’ai forcé un peu pour m’enfoncer en elle. J’ai réussi à rentrer mon gland et elle a poussé un cri terrible, de souffrance cette fois-ci.
– Non, non arrêtes, ça me fait trop mal.
Je me suis retiré et je lui ai demandé si elle voulait réessayer.
– Non, j’ai l’impression que tu es encore dedans. J’ai la sensation de m’être fait enculée avec un fer à souder tellement ça me brûle.
– Laisse moi te juter sur le cul, ça calmera la douleur dis-je en plaisantant.
Elle s’est cambrée, la face collée au tapis et elle a écarté ses fesses, consentante. À la vue de cette position, je me suis branlé avec joie et j’ai libéré mon foutre sur son anus. Elle l’a étalé sur toute sa raie, heureuse d’être souillée de la sorte et elle a sucé son doigt en dégustant ma semence. Elle m’a avoué qu’elle trouvait le goût pas terrible mais que ça ne la rebutait pas.
Nous avons pris une douche ensemble, puis elle est repartie, fière de n’être plus vierge, en me disant:
-A un de ces jours…
Elle savait qu’on ne se reverrait pas de si tôt. Est-ce pour ça qu’elle s’est lâchée ou était-elle vraiment aussi coquine?
Toujours est-il que dans la même semaine, j’ai dévergondé les deux cousines.

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