Une plage pas comme les autres.

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Une plage pas comme les autres.
C’était je crois la période propice où chaque matin, lors de mes sorties, comme à l’ordinaire, j’étais fortement intéressé par des mecs qui exerçaient leur travail de très bonne heure mais qui pouvaient avoir certaines heures de disponible pour discuter, et pour bien entendu me faire voir monts et merveilles.

Des mecs faisant partie de la plage de…. et qui venaient pour l’entretien, le nettoyage, les terrains disponibles pour les constructions de plages privées etc…

Mais n’oublions pas leur côté sentimental et affectif, sensuel et beaucoup plus que cela, ce dont je n’oublierai jamais. Rendez-vous compte, des hommes mariés mais qui savent s’y faire avec les hommes.

Leur description était ainsi : costauds, bien entendu pour travailler à la plage, attentionnés, affectifs, poilus, musclés et le plus excitant était de garder leur maillot alors que par la suite, lors d’une belle partouze, je leur ai recommandé d’enlever le slip et de garder le maillot puis enfin, s’ils voulaient enlever le maillot, ils le pouvaient car il faisait fortement chaud.

L’endroit était près des barques ou des dunes mais pour être discret, il fallait utiliser les cabines afin de ne pas être repéré par des rapporteurs un peu fébriles ou jaloux parce qu’ils ne savent pas utiliser ce que je pense alors que c’est simple et que le but est de demander au lieu de faire les timides.

C’est justement en me rendant sur cette plage que je commence à entamer cette discussion avec les hommes pour un peu les rendre plus énergiques sur le plan sexuel.

Je leur dis :

– Bonjour messieurs!

L’un d’eux me dit :

-Salut, jeune homme, la vie est belle?

– Monsieur, elle pourrait être belle mais la perfection n’existe pas.

L’homme me dit à nouveau :

– Tu crois que pour nous, c’est bien? Nous sommes obligés de gagner notre pain pour vivre et travailler, ce qui n’est pas facile, du travail et de la fatigue physique.

A mon tour, je leur explique ma situation :

– Eh bien moi, c’est vrai, je me trouve en vacances, mais le boulot manque dans mon village, passez-moi l’expression, mais dans les grandes villes, les conditions sont meilleures pour ceux ou celles qui exercent autres activités.

Les hommes me regardent avec un petit sourire et me disent :

– Bonne philosophie, on voit que vous êtes un connaisseur.

– Messieurs, je dois avoir le même âge que quelques personnes travaillant avec vous.

Les hommes se mettent à rire et me demandent si je suis célibataire. D’emblée, je leur réponds que je le suis de naissance et leurs rires s’amplifient.

– Messieurs, vous avez deviné maintenant.

Cela se voyait me répond un homme de 49 ans et déjà enleva on maillot. Il me dit :

– Quelle chaleur!

Je lui réponds :

– Moi aussi, j’ai chaud, j’aurais voulu me baigner mais si cela ne vous dérange pas, un dialogue suffit pour nous connaître.

Les hommes peu à peu se confiaient et un jargon portant sur du vocabulaire osé commençait à faire gonfler mon sexe : je devais remarquer et cela est évident que des manuels sont toujours obsédés par la chose. C’est à ce moment là que je leur dis :

– Vous avez regardé ce samedi vers minuit exceptionnellement des films assez hard et hyper cochons avec des hommes voulant sucer sans arrêt?

Je voyais justement un homme parmi les six, qui bandait à travers son slip et qui me dit :

– Ah, c’était très excitant et en plus, je ne cessais de tenir la mienne.

Je leur dis :

– Moi, c’est dommage, personne n’était là, toujours tout seul.

Tous les hommes me disent :

– Cela t’intéresse que l’on te refasse la scène, si bien t’es homo comme nous, tu fais comme tu veux.

– Messieurs, venez tous vous exciter sur moi et me défoncer et éjaculer à volonté, léchez-moi aussi avec votre barbe, bref mettez-vous à poil! Ne laissez-pas l’occasion! Ce serait stupide!

C’est alors que chaque mec se met à m’embrasser, à prendre mes membres, me lécher, écarter mes jambes pour sucer mon pénis et me dire qu’ils n’en pouvaient plus.

Mieux encore, ce n’était pas avec un mec seul qui me faisait l’amour mais deux ou trois, homme sandwich.

Je n’arrêtais pas de gémir tellement ils me défonçaient chacun leur tout et m’avaient dit qu’ils avaient du plaisir avec un homme comme moi et que c’était la première fois.

Et comme, ils étaient nus et poilus, je les serrais fortement car non seulement ce n’était pas le fait de tirer son cou qui comptait mais aussi le fait d’être humain et affectif entre hommes, de s’aimer sur terre et de montrer que l’amour compte bien plus que l’argent.

Par ailleurs, je me faisais lécher la bite par des hommes moustachus et le fait de sentir leurs membres comme leurs jambes poilues et leurs bides augmentait pour moi l’érection.

Pour finir, j’ai décidé pour les faire jouir de plaisir de m’allonger et chacun leur tour de sauter sur moi comme à la ficelle.

La morale de cette histoire est qu’ils n’oublieront jamais une belle partouze qui ne s’est jamais déroulée et encore pire que le porn.

C’est ce que je recommande aux hommes s’ils veulent dans la vie améliorer leur caractère.

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