Quand Margot devient chienne 14

Quand Margot devient chienne 14
Le grand moment.

Pendant quelques jours, « BHV » fit découvrir à Margot la plupart de ses trésors moyenâgeux. Parfois seul, parfois assisté de ses deux aides de camp. Elle se retrouva suspendu, écartelée, pliée, offerte, baisée, enculée, tous ses trous furent sollicités de nombreuses fois. Elle connaissait par cœur l’antre des sévices. Ses chairs pétries, ses muqueuses malmenées et pourtant, toujours, elle en redemandait. Elle était devenue accroc au sexe. Elle avait eu droit à une double vaginale avec un plug dans le cul en prime et sans doute dans peu de temps, une double anale ne lui fera pas peur.
A la maison, rien de vraiment changé. Nous parlons chacun de notre journée comme si de rien n’était. Elle, la modèle d’un peintre racontant la banalité de ses journées et moi les miennes.
Par contre les parties de baise sont devenues assez torrides, mais Margot laisse entendre que c’est là le fruit de sa maturité, de son évolution normale de femme amoureuse. Elle a vraiment pris goût à la sodomie sans pour autant délaisser sa petite chatte mouillée. Maintenant elle ne met pratiquement plus jamais de culotte. En même temps elle ne fait pas plus attention lorsqu’elle se baisse ou qu’il y a du vent. Est-ce que ça semble la gêner ? Pas du tout ! Je ne dirais pas au contraire mais plutôt qu’elle s’en fout qu’on voit son cul dans la rue. Elle n’est pas plus gênée que dans un camp naturiste.
Un jour pourtant, elle est rentrée beaucoup plus tôt que prévu. Moi j’étais au boulot et « BHV » m’avait prévenu par téléphone qu’il entrait dans la seconde phase. Je suis donc rentré et feins la surprise de la trouver déjà là.
– Que se passe-t-il ma chérie, tu as une sale mine, es-tu malade ? Tu es rentrée quand ?
Le fait est qu’elle avait l’air tristounette ma petite chérie. Je savais qu’elle avait trouvé porte close au château et déçue, avait dû rebrousser chemin.
– Non, non, je ne suis pas malade. Je n’ai pas posé aujourd’hui, « BHV » n’était pas là. Mais c’est curieux, il ne m’avait même pas prévenue. J’espère qu’il n’a rien.
– Ne t’inquiètes pas, il a sans doute eu un empêchement. Il sera là demain.
– Mais non justement. Quand je suis arrivée au château, c’est son larbin qui m’a ouvert comme d’habitude, mais il ne m’a pas laissée entrer. Il m’a dit que le maître n’était pas là. J’ai dit que je repasserai demain, mais il m’a répondu que ce n’était pas nécessaire, qu’il ne serait pas là demain non plus. Il paraît qu’il aurait dit qu’il m’appellerait quand il sera de nouveau disponible.
– Et bien tu vois, rien de grave. Il a dû devoir s’absenter momentanément et ce n’était vraisemblablement pas prévu. Viens dans mes bras mon amour que je te console. Cela te manque à ce point de ne pouvoir poser ?
– Oui. Euh, non. Ce n’est pas ça. Enfin si quand même. J’avais pris l’habitude, comme un vrai boulot, tu vois.
– Oui je vois.
Tu parles que je vois ma salope. Tu fais la gueule parce que tu ne vas plus te prendre autant de bites dans le cul que tu le voudrais, oui, c’est plutôt ça.
Le lendemain, bien qu’elle savait qu’il serait absent elle y retourna quand même. Elle a attendu que je sois parti sachant pertinemment que je lui conseillerai de rester à la maison. Bien entendu l’accueil fut le même. Le larbin ne la laissa pas pénétrer dans le château, lui confirma l’absence du maître et lui fit remarquer qu’il l’avait prévenue hier déjà. Elle proposa de revenir le lendemain mais une nouvelle fois le larbin lui notifia qu’elle serait appelée au téléphone lorsque le maître serait de nouveau disponible.
Elle se résigna à rentrer. Tout en conduisant elle ne pouvait s’empêcher de se demander pourquoi « BHV » était absent et surtout, pourquoi il ne l’en avait pas informée. C’était de sa faute ! C’est ça. C’est à cause d’elle qu’il ne veut plus la voir. J’ai fait un truc de travers, c’est ça. Il est mécontent. C’est vrai que je n’ai pas réussi à avaler tout son sperme la dernière fois. Il a dû le voir. Il me punit. C’est pour ça, c’est obligé.
Là encore, perdue dans ses raisonnements, elle faillit avoir des accrochages. Elle finit néanmoins par rentrer à bon port sans encombre. A peine la porte refermée derrière elle, Margot se précipita sur le téléphone et tenta d’obtenir le château. Un fois encore c’est le larbin qui décrocha. Et non le maître n’était pas là. Et non il ne se cachait pas d’elle. Et non il n’était pas fâché contre elle. Et oui il ferait part de son appel. Et oui elle serait appelée dès son retour.
Le calvaire, du moins pour elle, dura plus d’une semaine. Son humeur s’en ressentait bien qu’elle fit des efforts pour le dissimuler. Nous faisions l’amour certes, mais l’enthousiasme des derniers jours n’était plus là. Je me gardais bien de faire des remarques, ne voulant pas la mettre en porte à faux. Et puis le but était bien qu’elle soit en manque. Et surtout qu’elle soit sans nouvelles de son mentor. C’est encore plus stressant de ne pas savoir. Pendant plus d’une semaine donc elle a tourné en rond comme une lionne en cage. Elle est même retournée au château mais pas jusqu’à la porte. Elle s’arrêtait avant, dissimulait sa voiture dans les bois et faisait le reste du chemin à pied. Ensuite elle se cachait de buisson en buisson jusqu’à pouvoir surveiller la propriété sans être vue. Parfois, accroupie derrière un laurier rose ou autre, comme en position de faire pipi, tout en épiant les fenêtres, elle se laissait aller à mettre sa main sur sa chatte et de constater qu’elle mouillait. Elle se disait qu’elle était vraiment devenue une belle salope accroc à la queue. Mais comme devant une boîte de chocolat où on se dit que c’est le dernier qu’on mange, elle finissait par se caresser et s’enfonçait autant de doigts que sa position lui permettait au fond de son vagin affamé.

Ce n’est qu’au bout de dix jours que « BHV » attrapa le combiné.
– Margot ? C’est Bertrand, comment allez-vous ?
– Ah Maître !! Mais où étiez-vous ? Cela fait une éternité que je tente de vous joindre. Vous ne voulez plus de moi ? Qu’est-ce que je vous ai fait ?
– Holà, holà, calmez-vous ma chère. De quoi parlez-vous ? Vous ne m’avez rien fait mais sachez que je n’ai pas à vous dire où je suis ni ce que je fais.
– Oui, pardon Maître. Excusez-moi, mais je n’avais aucune nouvelle, vous ne m’aviez rien dit, je me posais tellement de questions.
– Bon cela suffit ! Je ne vous dois rien alors restons-en là, au revoir.
– Non ! Non ! Ne raccrochez pas ! Maître s’il vous plaît, dites-moi ce que je dois faire. Que voulez-vous ? Je ferai tout ce que vous voulez, mais ne me laissez pas je vous en supplie !
– Tout ce que je veux ?
– Oui ! je vous le promets je serais sage, obéissante.
– Sur ?
– Oui, sur ! Je le jure.
– Bien, nous en reparlerons.
– D’accord ! Oui, demain ?
– Demain ?… Euh, non, demain je ne peux pas.
– S’il vous plaît !
– C’est ça que vous appelez être obéissante ? Au revoir.
– Noooonnnn !!! J’obéis, j’obéis ! Quand vous voulez !
– Bon, je vais voir, je vous rappelle plus tard, au revoir.
– Au revoir Maître, merci.

Malgré le stresse subit durant l’entretien, Margot se sentit toute ragaillardie. Elle se rua dans la salle de bain pour se rafraîchir sous la douche. Toute cette émotion l’avait fait transpirer et c’est sous la douche qu’elle était convaincue de retrouver la sérénité. Bien entendu elle ne pu s’empêcher de jouer avec la douchette et se fit jouir rien qu’avec le jet d’eau sur ses lèvres gonflées de désir.
Le soir je la retrouvais toute pimpante, le sourire au lèvres (les autres), excitée, virevoltante et amoureuse. Elle me sauta au cou et me gratifia d’une fricassée de museau avant que j’aie pu poser mon attaché-case et ma veste.
Une fois qu’elle me lâcha un peu et que je pu retrouver mon souffle, je lui demandais ce qui la rendait si gaie, alors que je le savais déjà, avisé par Bertrand. Elle m’annonça donc que « BHV » l’avait appelée mais sans entrer dans les détails de leur conversation qu’elle aurait d’ailleurs eu beaucoup de mal à m’expliquer. Elle me confirma qu’il allait la rappeler pour sans doute reprendre les séances de pose. Je lui répondais que tout rentrait dans l’ordre alors, et qu’elle avait eu tort de s’inquiéter et qu’il ne nous restait plus qu’à fêter dignement l’événement.

De nouveau, Margot attendait à la porte du château que le larbin vienne lui ouvrir. « BHV » l’avait appelée la veille au soir. Il avait été laconique. Pas de fioriture, il avait juste dit qu’il fallait qu’elle soit là à dix heure pétantes. Il lui aurait donné rendez-vous au pôle nord qu’elle y serait allée. Elle attendait donc, le cœur battant la chamade comme une collégienne à sa toute première heure de cours. Son chemisier quasi transparent laissait deviner des tétons prêts à péter sous la tension. Rien sous sa micro jupe. D’ailleurs en voiture plus d’un routier avait dû se rincer l’œil car une fois assise elle avait la chatte complètement à l’air. Au bout de quelques instants qui lui paraissèrent un siècle la porte s’ouvrit.
Margot ne jeta pas un œil au larbin et fila en direction de l’atelier du haut afin de se déshabiller. Elle avait à peine franchi le hall d’entrée qu’une voix la rattrapa.
– Margot ! S’il vous plaît venez par ici.
– Ah, Maître, vous êtes là, j’allais me préparer.
– Nous verrons cela plus tard. Venez dans mon bureau pour l’instant.

Margot suivit « BHV » qui s’installa dans son fauteuil et la pria de s’asseoir dans celui de l’autre côté de son bureau. Elle se demandait ce qu’il pouvait lui vouloir, ce n’était jamais arrivé qu’il la convoque ici. C’était même la toute première fois qu’elle y mettait les pieds. Elle était très mal à l’aise. Coincée dans son siège, elle tentait de trouver une contenance d’autant que « BHV » ne disait rien. Elle en était sur, il allait lui dire que c’était fini. Il l’avait initiée au sexe sous quasiment toutes ses formes et il allait mettre un terme à son apprentissage et lui dire qu’elle pouvait voler de ses propres ailes. Mais elle ne pourrait jamais sans son aide. Comment pouvait-il penser une chose pareille ? Elle avait encore besoin d’être guidée, dirigée peut-être même dressée afin de profiter pleinement de son corps et de toutes les sensations encore à explorer.

– Margot, j’ai quelque chose à vous proposer.

Ah super se dit-elle, il ne va pas me jeter à la rue. Mais que peut-il bien me proposer ? À part poser et encore, je ne vois pas bien.
– Oui Maître, que dois-je faire ?
– Attendez, ne soyez pas si impatiente. Je vous propose de m’occuper de vous. De votre vie sexuelle. D’être votre guide. Qu’en pensez-vous ?
– Mais je suis d’accord Maître, c’est ce que je veux aussi.
– Calmez-vous Margot. Ne vous emballez pas. Je vais vous demander de bien réfléchir à votre réponse car il y a des contraintes.
– Je les accepte !
– Margot !!! Arrêtez s’il vous plaît et écoutez moi bien. Vous ne m’interrompez pas et après avoir bien réfléchi, vous me donnerez votre réponse. Pas forcément aujourd’hui d’ailleurs. Je vous laisse le temps de digérer ce que je vais vous dire. M’avez-vous bien compris ?
– Oui Maître, tout à fait, je vous écoute.
– Margot, si je deviens votre guide ou plus exactement votre « Maître » comme vous m’appelez déjà, vous me devrez obéissance en tout. Vous ne ferez rien sans mon accord ou mon ordre. À partir de votre acceptation vous ne mettrez plus jamais ni soutien-gorge, ni culotte en ma présence. Les pantalons sont à bannir. Vous devrez être disponible en permanence, je parle de votre chatte et de votre anus. Je disposerai de vous comme ça me chante et je suis susceptible de vous prêter à d’autres. Vous viendrez avec moi lors de soirées si je le souhaite. Vous serez amenée à découcher de chez vous parfois ce qui entraine l’aveu à Laurent de votre nouvelle situation. Il pourra néanmoins participer à certaines soirées lorsque je le jugerai utile. Par contre chez vous et en mon absence vous aurez la vie que vous souhaitez, sans contrainte de ma part. Je m’engage par ailleurs à toujours veiller sur votre intégrité physique et morale. Vous ne subirez aucune v******e autre que celle que vous connaissez déjà et que vous appréciez me semble-t-il. Je serai peut-être amené à vous faire faire des choses encore inconnues de vous. Dans ce cas vous pourrez refuser si ces choses ne vous conviennent pas. Dans tous les cas de figure vous pourrez mettre fin à toutes situations en me disant par exemple : « je veux voir Laurent ». Ce serait en quelque sorte notre mot de passe d’arrêt d’urgence. Si vous acceptez, c’est la totalité que vous acceptez. Si vous avez des suggestions je suis prêt à les entendre. Si vous refusez, ce que je comprendrais très bien, nous mettrions fin à notre relation, même artistique. Mais si vous acceptez, je vous soumettrai un contrat qui vous engagera jusqu’à, soit un arrêt de ma part ou si vous voulez mettre un terme définitif à votre soumission. Le mot de passe émit n’engage un arrêt que pour la situation en cours. Pour autant, selon cette situation à laquelle vous auriez mis un terme, je me réserve le droit de mettre un arrêt définitif à votre soumission si j’estime que c’est une requête injustifiée. Dernier point, à partir de votre signature au bas du contrat, je vous tutoierai et vous continuerez à me vouvoyer et à m’appeler « Maître » comme vous le faites déjà. Avez-vous bien tout compris ce que je viens de dire ou souhaitez-vous que j’éclaircisse quelques points ?
– …
– Margot ?! Avez-vous tout …
– Oui « Maître », j’ai bien tout compris.
– Très bien. Alors lorsque vous aurez pris une décision, revenez me voir pour m ‘en informer.
– J’accepte.
– Margot ! Prenez le temps de réfléchir je vous prie.
– C’est tout réfléchi.
– Margot ! Pensez aux conséquences. Votre vie va changer. Votre couple va changer. Votre sexualité va changer. Votre soumission engendre un changement de comportement. Ne perdez pas de vue que tout manquement à mon règlement entrainera une punition. En êtes-vous bien consciente ?
– Je sais tout cela. Avant de venir et même tout à l’heure, je n’avais qu’une peur, c’est que vous me renvoyiez pour toujours. Je n’espérai qu’une chose même si je n’aurai pas su la formuler, c’est ce que vous venez de me proposer. J’accepte d’être votre soumise Maître. J’accepte de faire ce que vous voulez. Vous pouvez me prendre quand vous le souhaitez, vous et vos amis. Je vous obéirai. Mon corps vous appartient et je vous fais confiance. Donnez-moi le contrat je vais signer.
A suivre…

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