Lisa Sur Les Traces De Sa Fille

Amateur

2ie partie du plaisir vient dans l’acceptation.

Lisa : « Ohhhh … Non mon Dieu … ummmm … ohhhh, Madame …. ohhhh non pas ça, je ne veux pas …. nooonnnnnn uhhhh …outchhhh, ayyyyyyeee noooonnnn ohhhkeeeeyyyy maitresse c’est ohhhhhh ooooouuuuuiiiii huuuummmm … c’est bon. Oui … ohhh Dieu ooooouuuuiiiii je viiiieeeennnnnss……. Ooooouuuuiiiiii! »

Lisa prenant un café sur sa terrasse tentait de remettre ses esprits en ordre, cette nuit-là elle avait été victime de nouveau de cet affreux cauchemar. Il était temps qu’elle réagisse, depuis 1 semaine que ces délires nocturnes la tourmentaient ramenant à la vie ses incartades de couventine. Elle avait conservé dans son jardin secret ce désir charnel qu’elle avait eu pour cette nymphette noire qui contrôlait leur groupe de nubiles. Volonté et frustration l’avait accompagné tout le long de ce dénie corporel. Des années plus tard voilà que ce combat revenait à l’ordre du jour.

Décidée d’en finir au plus vite, elle réessaya pendant deux heures de rejoindre Mr. Brown l’employeur de son mari. Quand elle eut réussi à lui exposer ses plaintes, Mr. Brown joua l’outragé et lui suggéra de communiquer immédiatement avec Mr. Jimmy Brown directeur de la maison mère à Eatonville.

Lisa attendait depuis 15 minutes ayant été avisée que Mr. Jimmy Brown était déjà en ligne. Mr. J. Brown : « Oui bonjour. » Lisa : « Bonjour je suis Mme. Lisa Smith, je suis la femme de Peter Clarke. » Mr. J. Brown : « Que puis-je faire pour vous madame? » Lisa : « Je voudrais porter plainte contre le personnel de Mr. Dickson psychologue pour Private Massaï Training Institute. » Mr. J. Brown : « Je vous écoute. »

Lisa raconta le contrôle que subissait sa fille de la part de Mme. Rosy depuis qu’elle avait commencé ses rencontres thérapeutiques chez le psychologue. Pour la rassurer J. Brown l’avisa qu’il allait régler le problème et qu’elle aurait des nouvelles prochainement. Le reste de la journée se déroula gaiement pour Lisa maintenant qu’elle avait réglé le problème de sa fille.

Quoi de mieux que profiter de la piscine, Lisa enfila un bikini, se mixa une boisson rafraîchissante avant de plonger dans l’eau.

Toute bonne chose ayant une fin Lisa mit un terme à sa session de bronzage, l’heure du souper approchait. En entrant dans la maison elle remarqua les effets d’école de sa fille sur la table. Curieuse de savoir pourquoi elle était de retour de l’école de si bonne heure elle se dirigea vers l’escalier. À peine avait-elle posé le pied sur la première marche qu’elle sentit son cœur s’emballer au fur et à mesure qu’elle montait, les soupirs qu’elle entendait laissaient présager que sa fille avait eu une rechute et qu’elle s’adonnait de nouveau à la masturbation. Désapprouvant sa curiosité maternelle Lisa redescendit laissant sa fille à son assouvissement libertin.

Sa fille ne goûtait pas juste aux plaisirs de la chair. D’une main ferme Rosy la tenait pliée sur ses genoux. Élodie s’attendait à jouir d’une caresse anale quand Wackkkk la première claque s’abattit sur son cul. Élodie basculait entre la souffrance et le plaisir selon le bon vouloir de sa maîtresse. Privé de soulagement, l’excitation accumulée depuis quelques jours avait rendu ses besoins sexuels si exacerbés que la moindre câlinerie la faisait mouiller.

Wackk Wackk Wackk wackk Élodie : Oouuuuutchhhhhhh nnnnnnooooooounnnnn . Rosy : «Tu as quelques choses à dire salope? » Élodie sanglotait de douleur mais restait soumise. Wackk Wackk Wackk Wackk wackk Soudain Lisa arrêta sa descente, elle crut reconnaitre une voix autre que celle de sa fille.

Élodie : « S.V.P. maitresse je veux bien que Jamal prenne mes fesses. » Rosy : « Tu veux quoi? » Wackk Wackk Wackk Wackk Wackk Wackk Wackk. Élodie en pleure: « Je veux bien prendre la queue de maître Jamal dans mon cul mais maîtresse s.v.p. arrêté de me fesser, j’ai trop mal. »

Rosy fit signe à Jamal de s’approcher, Élodie sentit le membre imposant sonder le sillon de ses fesses malmenés. Rosy dans un souci d’aider son partenaire à compléter l’éducation de sa chienne glissa son doigt garnit de gelée dans l’anus vierge. Élodie réagit négativement à la pénétration mais au bout de 5 minutes Rosy constata un relâchement de l’anneau plissée et ajouta un deuxième doigt. Ce n’est qu’à la troisième intrusion que Rosy constata le mouvement arrière provoqué par Élodie pour aller au-devant de la pénétration.

Discernant un doux ramage de sa petite chienne et voyant la virevolte fessière s’accentuer Rosy constata que le plaisir était au rendez-vous. Pour accélérer l’enseignement elle fit la transition entre ses doigts et le membre imposant de Jamal. Elle dû mettre une certaine pression afin de permettre à la tête du monstre de se glisser dans la cavité anal. Ce fut un cri d’agonie qui se propagea hors de la chambre et écorcha les oreilles maternelles.

Aussitôt Rosy glissa sa main sous la jeune chienne et lui caressa le clitoris. Excité sexuellement Élodie basculait les hanches pour frotter sa chatte et son clitoris sur les doigts bienfaiteurs. Habilement Rosy amenait bursa escort Élodie à s’empaler de plus en plus sur le membre noir tout luisant de cyprine qui témoignait du plaisir que ressentait Élodie la salope. Elle en profita pour se glisser sous son élève excité. Voir le phallus noir profondément installer dans le conduit anal lui prodigua une montée de jouissance.

Inquiète, Lisa qui avait remonté quelques marches s’arrêta de nouveau devant le crescendo des litanies salaces de sa fille. Lisa une main entre ses cuisses tentait de deviner que faisait sa fille pour témoigner d’une telle fureur.

Rosy : « Ok tu vas être une bonne fille et faire comme moi. » Élodie affamée sexuellement s’empressa de retirer le tissus qui lui cachait la chatte de sa maitresse, une forte odeur d’urine lui monta au nez. Rosy : « Tu vois je vais te faciliter la tâche. » Rosy agrippa Élodie par les cheveux. Rosy : « Pour débuter, je vais t’expliquer le principe d’un bon 69, tu fais exactement la même chose que moi. » Élodie couché sur sa maitresse fut forcée de poser sa bouche sur la chatte noire. Elle déposa un baiser sur la vulve entre-ouverte comme venait de le faire sa maîtresse. Rosy : «Tu vois, tu as déjà compris. »

Quand Rosy enfonça son énorme langue pour cueillir la sève de sa chienne Élodie en fit autant. Rosy remonta embrasser Élodie pour lui faire goûter sa propre chatte. Néophyte, Élodie effectua le même geste, Rosy ressortit sa langue et bientôt tous deux furent prisent d’une passion l’une pour l’autre fusionnant leurs salives et leurs sèves intimes. Élodie était maintenant sous contrôle, sa maîtresse lui tordait les mamelons éveillant son corps aux caresses s/m, l’un après l’autre les tétons furent pincés et étirés.

Rosy doucement déplaça sa langue dans le cou de sa nouvelle adepte et avec des baisers et des petits coups de langue graduellement visita le vallon des seins exhibés. Élodie maintenant suivait la cadence exigée par Rosy, lécher cette peau noire provoquait sur elle un effet aphrodisiaque qui annihilait toute répulsion.

Après une quinzaine de minutes de suçage et de morsures sur ses tétons Rosy remarqua un bref mouvement d’Élodie vers le bas. Rosy savait que ce ne serait pas long, cette petite salope allait lui brouter la chatte à volonté. Élodie ne réalisait pas encore mais sa langue naturellement prospectait pour plus de sueur que sécrétait le derme noir.

Guidé par ses narines elle savait où elle trouverait la crème des secrétions et sa bouche salivait d’anticipation pendant que sa chatte jutait de désir. Rosy savait dans quel état Élodie se trouvait et poussait son envie à son paroxysme. Elle la voulait enchaînée par un appétit démesuré pour la chatte et amenait sa petite chienne à un point de non-retour. Jamal profitait du laissé aller d’Élodie et s’apprêtait à lui crémer les entrailles. Quand il lui barbouilla l’intérieur d’une série de décharge Élodie fut prise de spasmes jouissifs.

Lisa entendit sa fille marmonner : « Hoooooooooooooooouuuuuiiii hummmmmm. » Élodie était vaincu analement maintenant elle rapporterait des sous car Rosy pourrait la louer aux membres du club. Avec le petit cul qu’elle avait c’était sûr que les plus membrés du club paieraient un prix fou pour glisser leur langue dans ce petit anus et le lubrifier afin de l’ouvrir pour leur énorme gland. Emportée par la jouissance Élodie était à cent lieues des ouvertures qu’elle venait d’offrir à sa maîtresse.

Rosy : «Qu’est-ce que ma petite chienne désire maintenant? » Élodie : «Houuuuummmm. » Rosy : « Supplie moi sinon tu vas t’en passer. » Élodie : « Grrrrrrrrrr, je veux goûter votre chatte maîtresse. »

Lisa n’en croyait pas ses oreilles mais viscéralement elle se rapprocha de la porte de chambre de sa fille. À peine entre-ouverte, l’embrasure lui permettait de voir les deux femmes enlacées dans un sulfureux 69. Elle resta estoquée quand elle vit le noir qui était enfoncé dans les petites fesses de sa fille

Lisa fut chagrinée de voir sa fille dans une liaison lesbienne mais malgré elle son corps s’attisa et elle fut incapable de détourner son regard. Était-ce de voir la langue de sa fille léchant cette grosse chatte baveuse ou l’énorme pieu noir qui lui déformait l’anus. Elle avait déjà vu une telle scène dans des films pornos mais là cela se passait chez elle et l’actrice principale était rien de moins que sa fille. Une forte odeur de sexe caressait ses narines, un pas maladroit fit craquer le plancher, Lisa reteint son souffle espérant que le bruit soit passé inaperçu. C’était sous-estimer le sens auditif de Rosy.

Rosy : « Bonne fille dorénavant tu vas avoir le privilège de manger ma chatte. » Élodie : « Merci maîtresse je vais être une bonne fille, promit. » Rosy : « D’accord mais tu vas devoir m’aider à soumettre ta mère. » Élodie : « S.V.P. Maîtresse pas ma mère, elle n’est pas comme moi, elle aime mon père et elle n’a jamais laissé supposer qu’elle aurait un penchant pour les femmes. » Rosy : « Toi tu n’étais pas intéressée aux femmes avant, maintenant n’adores-tu pas manger ma chatte? – Tu vas voir bursa escort bayan un jour ta mère va me supplier pour prendre ta place entre mes cuisses mais ce jour-là elle devra accepter de lécher la tienne aussi. »

Un frisson traversa le corps de Lisa, cette femme l’exaspérait avec ses affirmations scabreuses et son assurance troublante. Agitée de voir sa fille contrainte à s’adonner à des plaisirs lesbiens avec cette femme, Lisa redescendit à la cuisine préparer le souper croyant à tort pouvoir se changer les idées. Lisa feignit d’ignorer sa fille et sa maitresse qui descendaient les marches d’escalier. Elle vit sa fille avancer avec difficulté et comprit quand elle vit Jamal 6′ 4” 240lbs suivre derrière, l’énorme forme qui déformait son pantalon expliquait l’horrible cri de sa fille et sa difficulté à marcher.

Lisa entendit l’adonis dire à sa fille qu’il reviendrait vendredi prochain pour une autre activité.

Élodie : « Merci monsieur. » Jamal lui administra une claque sur le cul avant de tourner le dos à sa mère pétrifiée et partit. Lisa était abasourdie devant la docilité de sa fille, elle fut prise par la peur que Rosy vienne lui parler. Les avoir vue en pleine action l’avaient troublée et connaissant les intentions de cette lesbienne elle aurait préféré garder ses distances.

Lisa voulait des explications car elle n’arrivait pas à comprendre comment sa fille avait pu faire l’amour oral avec une femme et en plus une noire. Un haut le cœur la rassura sur sa propre orientation sexuelle. Lisa : « Que faisiez-vous la haut avec ma fille et pourquoi cet homme était-il là avec vous autre? Je vous avertis j’ai porté plainte sur vos procédés auprès de la compagnie qui vous engage. » Lisa regarda sa fille et vit qu’elle portait un collier qui ne laissait plus aucun doute sur le type de relation qu’il y avait entre les deux femmes.

Rosy : « Votre fille est instable et présente un grand besoin d’encadrement et je suis formé pour satisfaire de tels besoins et comme elle avait tout ce qu’il faut pour recevoir l’enseignement Massaï, j’ai demandé à Jamal mon assistant de venir m’aider aujourd’hui. Nous préconisant ce traitement venu d’Afrique pour ses vertus gratifiantes et Jamal possède définitivement les outils nécessaires pour combler notre clientèle aussi bien féminines que masculines.

Lisa : « Oui mais. » Rosy : « Ne m’interrompez pas comme ça, c’est impoli. On m’a informé de votre plainte et on m’a recommandé de vous accorder une attention particulière mais je suis un peu débordée présentement et en attendant que je puisse vous aider personnellement et vous faire connaitre les bienfaits de notre enseignement, je vous ai emporté un livre pour vous renseigner sur les procédés inculqués par les Massaï. C’est facile de saisir la fonction de chaque chapitre et il y a de nombreuses images pour en encourager la pratique. Je suggères fortement que tu prennes connaissances d’un chapitre par jour et que tu m’envoies un commentaire par email tous les soirs après avoir pratiqué l’enseignement »

Lisa eu un tressaillement intérieur, l’assurance de cette femme était troublante. Ses sous- entendus la gênaient et involontairement son corps commença à réagir. Rougissante sentant la croissance de ses tétons, Lisa se retourna pour se soustraire à la vue de sa fille et de sa maîtresse mais aussitôt fait elle sentit une présence dans son dos suivit d’une main empoignant son sein gauche et lui pinçant le mamelon érigé. Rosy : « Super, j’aime ce que je viens d’entrevoir. Je suis sûr que tu es mûre pour un bon enseignement africain, quand ta fille ira mieux je vais te former à être une bonne fille. » Lisa : « Tu peux toujours rêver espèce de dépravée. » Lisa eu à peine le temps de terminer sa phrase que Rosy lui administra une puissante claque. Rosy : « Tu oublies que je détiens des photos de tes prouesses sexuelles, ce qui prouve bien que tu es comme ta fille et que tu as besoin d’être encadrée. Je suis sûr que si je montre ces photos à Mr. Brown et à ton mari ils vont surement trouver que tu as des impulsions immorales et est un mauvais exemple pour ta fille. Si je suggère que tu as besoin d’un bon encadrement, ils vont inévitablement être d’accord avec moi. »

Lisa : « S.V.P. Ne faites pas ça, je vous demande pardon si j’ai été impolie ou maladroite à votre endroit. » Rosy : « Bien je vois que tu peux être raisonnable, je suis impatiente de t’enseigner les bonnes manières mais ta fille demande beaucoup d’attention et de toute façon tu n’es pas encore prêtes pour ce que j’envisage pour toi. En attendant tu mets en pratique les conseils du livre et tu me rédigeras un commentaire tous les soirs sur ce que tu viens de faire et donneras ton appréciation des images inclus dans chaque chapitres. Maintenant, va chercher ton cellulaire. »

Lisa : « Pourquoi? »

Le regard de Rosy lui fit comprendre que la question était superflue. Lisa avait hâte de la voir s’éclipser, s’obstiner avec elle n’aurait pas été sage alors bien qu’autoritaire, elle céda à la demande. Ce ne fut qu’une formalité pour Rosy, en quelques minutes escort bursa elle s’était enregistrée en tant que Maîtresse Rosy avec mention entre parenthèse (éducatrice de c.lisa ) le tout en tête de listes des contacts de Lisa. Cette liste fut copiée sur le cellulaire de Rosy. En moins de dix minutes Rosy lui remit son cell, la destinée de Lisa était scellée sans qu’elle s’en doute.

Rosy : « Bon avant que je parte voyant voir si tout marche comme il faut. » Lisa impatiente de la voir déguerpir regarda Rosy utiliser son propre cellulaire quand le sien se fit entendre. Son cœur manqua un battement, la sonnerie de son cell était rien de moins que le son synthétisé de l’orgasme fulgurant qu’elle s’était donné sur le bras du divan. Elle répondit à l’appelle afin d’arrêter la sonnerie. La photo de Rosy apparut sur le cell avec la mention appel de ta maîtresse. Ébranlé par la tournure des évènements Lisa fondit en larmes.

Toute la semaine qui suivit Lisa vit Rosy et sa fille s’isoler dans la chambre, soir après soir les mêmes chuchotements se faisaient entendre. Seul dans son lit Lisa devenait de plus en plus excitée par les montés de jouissance de sa fille.

Élodie : «Hoooooooooooooooooooo je viiiiiieeeens encoooooooooooore Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ooooooouuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, Ohhhh … euhh mon Dieu …ohhhh, Maîtresse…. ohhhh …. ooouuuuhhhh c’est bon. Oui … ohhh Dieu oui … ça fait du bien! »

Lentement mais surement Lisa succombait sous les plans pervers de Rosy. Au bout de deux jours Lisa se laissa sombrer dans les abysses du plaisir. Lisa soulevait son bassin à la recherche de la pénétration. Dans son ivresse elle s’ouvrait pour Rosy qui la main formant un tout pointu forçait l’ouverture de sa chatte. Lisa : « Oooooooouuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii vas yyyyyyyyy au foooooonnnnnnnnnnd. » Sa chatte bavait d’une crème blanche de plus en plus visqueuse facilitant le travail de Rosy. Lisa : « Hoooooooooooooooooooo Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa. » Rosy tout en profitant de la langue experte d’Élodie appréciait les sons qui provenaient de la chambre de Lisa.

Le lendemain matin, Rosy prit un malin plaisir à humilier Lisa. Rosy : « Tu deviens une vrai salope comme ta fille, je t’ai entendu t’amuser hier soir, bientôt tu supplieras pour m’appartenir. » Lisa : « Pourquoi tu me fais ça? » Rosy : « Le regard haineux et hautain que tu as eu envers moi la première fois que tu es venue à la clinique à tout déclenché. Toute ta famille va en payer le prix maintenant. Tu as besoin d’être éduquée et que tu le veuilles ou non tu vas l’être, ta fille fais des progrès bientôt elle n’aura plus qu’un but dans la vie, me servir et honorer les chattes noires.

Toi aussi tu en viendras là et après on va amener ton mari à préférer les queues noires à la chatte. Qui sait peut-être qu’un jour qu’il bavera sur ton anus et sur la bite de Jamal afin que tu puisses te faire enculer sans trop de problème. Il est possible que je m’arrête là si tu es une bonne fille.»

Lisa baissa la tête embarrassée par cette déclaration mais surtout voulait cacher les larmes qui se formaient sur ses joues. Avant de refermer la porte derrière elle, Rosy lui releva le menton et l’obligea à soutenir son regard d’un geste rapide elle lui pinça les deux tétons, elle relâcha ses prises quand elle vit la supplication dans les yeux de la mère de famille. Après son départ Lisa resta accotée sur le cadre de porte le temps de digérer les deniers évènements.

Le son d’une femme en plein orgasme la ramena à la réalité. Lisa ne répondit pas mais baissa la sonnerie. Lisa était radicalement homophobe, elle avait mise sur le compte d’un débalancement hormonale les quelques pensées grivoises qu’elle avait eu envers Marie-Claude une amie d’enfance. C’est coupable qu’elle vécue ses premières jouissances sexuelles. Le sacrement du mariage fut le remède à ses égarements et Lisa se déculpabilisa en étant une bonne épouse. Voilà que sa fille et Rosy faisaient renaître l’abjection de ses dégoûtants désirs juvéniles.

Cette nuit-là Lisa n’arriva pas à dormir, enfin libéré de son image de femme vertueuse et nouvellement sous l’envoûtement de ses premiers vrais orgasmes grâce à une sexualité permissive, Lisa chercha une solution pour éviter ce gouffre pervers qui se dressait devant elle. Cinq fois cette semaine-là Lisa ignora les appels de Rosy, la conséquence arriva le jeudi quand Lisa reçu une lettre incluant une photo montrant les souillures qu’elle faisait subir au pauvre appuie-bras du divan.

Élodie en rentrant le soir trouva sa mère recroquevillée par terre avec une photo dans les mains. L’occasion était belle pour suivre les consignes de Rosy qui consistaient à médicamenter sa mère graduellement. Élodie guida sa mère à se mettre au lit, Lisa ouvrit la bouche et accepta le calmant et l’eau que lui donnait sa fille. Lisa : « C’est quoi cette pilule? » Élodie : « C’est un cachet contre l’anxiété que m’avait donné Rosy » En effet, Rosy lui avait fournie la benzodiazépine, c’est un médicament pour t’aider à réduire ta peur et faciliter ton sommeil avait dit Rosy. Pour Élodie, c’était grâce aux médicaments que Rosy lui avait donné qu’elle s’en était sortie. Comme l’avait dit Rosy : « Si tu vois qu’elle angoisse tu lui en donnes un autre. »

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