L’étrange Mr Faust – 5 –

L’étrange Mr Faust – 5 –
L’étrange Mr Faust – 5 –

Après avoir connu l’orgasme au féminin, j’étais donc de retour dans mon corps d’homme.
Je savais qu’il me fallait reprendre la tâche que m’avait confié Satan, et que je devrai faire mes preuves sous peine d’encourir les châtiments les plus sévères.
Je m’attelais donc à la besogne avec de plus en plus de perversité et de cruauté.

Mes talents s’affirmèrent de jours en jours. J’étais à présent capable de discerner les désirs les plus enfouis des mortels que je côtoyais et de les entrainer vers les pires turpitudes.

Ainsi, un samedi après midi, passant devant une cathédrale, je m’incrustai dans un mariage très mondain , très religieux également.
Je repérai vite ma première proie : le marié.
Je le sus totalement inexpérimenté et hésitant sur son orientation sexuelle bien qu’il se considéra comme hétérosexuel.
Il me fut impossible de rentrer dans le lieu de culte mais, lors de la réception dans laquelle je n’avais eu aucun mal à m’immiscer, le jeune homme sentit mon regard fixé sur lui. Il me regarda à son tour, rougit fortement et baissa les yeux.
Quand il les releva, je lui intimai l’ordre de me suivre d’un geste discret de la tête.
Il ne put résister et me suivit dans les étages de cet hôtel luxueux.
J’entrai dans une chambre vide et laissai la porte ouverte.
Je pus aisément vaincre ses dernières hésitations et il pénétra dans la pièce déjà vaincu.
Mon ton se fit dur.
— Ferme la porte à clé derrière toi.

Le visage empourpré il obéit et , quand il se retourna vers moi, ses yeux se posèrent sur mon sexe raide, sorti de mon pantalon.
— A genoux et suce moi !

Il s’affala à mes pieds, ouvrit la bouche et entama une fellation des plus maladroites. Je sentis nettement le dilemme qui le secouait : assouvir ses désirs les plus profonds ou respecter son éducation, ses voeux . Ses dernières barrières tombèrent vite.
De tout son être exhalait maintenant le parfum du désir et je sus vite qu’il prenait un immense plaisir à lécher sa première bite.
Je pris sa tête entre mes mains et imposai ma cadence , ma bite cognant au fond de sa gorge.
A plusieurs reprises, il faillit vomir et je m’amusai à contrôler ses reflux.

Quelques instants plus tard, je le tirai par les cheveux pour le faire se relever.
— Baisse ton pantalon ! Lui ordonnai je d’un ton qui n’appelait pas la moindre réplique.

Il s’exécuta et se retrouva en caleçons, la tête penchée, les yeux hagards.
Je vis nettement dans son esprit qu’il savait ce qu’il devait se passer et je n’eus pas à lui demander de se mettre nu.
— Penche toi ! Mets tes mains en appui sur le lit !
Sans dire un mot il m’offrit ses fesses.

Je m’approchai. Il tremblait à présent de crainte mêlée d’excitation.
De mes pieds, je lui fis écarter davantage ses jambes maigrelettes et me positionnai en face de son oeillet.
Un peu de ma salive, mélangé à la sienne , vint humidifier davantage ma queue érigée et sans une once de délicatesse, je m’introduisis dans ses entrailles.
Il poussa un cri de douleur et je le laissai quelques instants s’habituer à la largeur de ma pine.

— Alors salope ? Quel effet ça te fait de te faire mettre ?
Il ne répondit pas.
— Je t’ai posé une question petite lopette ? Lui fis je en lui claquant les fesses .
— C’est bon….
— Qu’est ce qui est bon ?
— De me faire sodomiser…
— Qu’est ce que tu es ? Lui demandai je en entamant mes va et viens, mes mains bien posées sur ses hanches .

Il hésita et un coup plus fort , mon pubis venant cogner sur son postérieur, le poussa .
— Je suis un enculé. Cracha t il comme soulagé.

Mes mouvements commencèrent à le faire gémir de plaisir. Son sexe s’érigea à demi et, peu à peu, emporté par les nouvelles sensations que ressentait sa prostate, il se mit à couler de bonheur.
Puis soudain, ce fut un véritable flot de semence qui s’écoula de son pénis venant souiller la moquette , l’entraînant dans une extase totale.

— Oui, tu es une belle pute de te faire emmancher le jour de ton mariage !

Mes mots semblèrent lui faire prendre conscience de la situation et il fit mine de se reprendre.
— Trop tard ! Tu te souviendras toute ta vie que tu t’es faite tirer le jour de tes noces et que tu as aimé ça ! Tu ne le savais pas , mais tu es une fiotte de la plus belle espèce !

Je me retirai et le forçait à s’agenouiller devant moi.
Une grimace de dégout déforma ses traits quand mon chibre sali força ses lèvres.
Il dut recommencer sa fellation et les yeux remplis de larmes, il fut contraint d’avaler l’épais sperme qui se déversa au fond de sa gorge.
Il se releva enfin, déshonoré, indécent avec son vermisseau pendant , sa rondelle boursouflée et il s’enfuit en se rhabillant de son mieux.
Je sentis encore un instant son esprit torturé, ses regrets mêlés de lubricité mal assumée.

Un rire sardonique retentit dans ma tête et je souris sachant mon Maître satisfait.
C’est alors qu’une idée machiavélique me vint…

Je redescendis à la réception et me mis en quête de la mariée.
Je la trouvai papotant avec ses demoiselles d’honneur et me présentai à elle sous prétexte de la féliciter.
Je la trouvai quelconque. Non pas qu’elle ne fut pas belle, mais la nouvelle épousée n’attirait pas les regards .
Elle ne manquait cependant pas d’un certain charme et d’une fraîcheur qui eut pu paraître attirante à tout autre homme que moi.
Elle fut surprise par mon baise main et désarçonnée par le sourire charmeur que je lui adressai en la complimentant.
Je sentis son coeur battre un peu plus fort mais je dus déployer tout mes talents pour qu’une once de désir à mon encontre arrive en elle.
La partie ne serait pas facile mais tellement jouissive à remporter.

Je ne voulais pas l’humilier, l’avilir comme je l’avais fait pour son mari. Je voulais juste la transformer en bonne cochonne qui saurait aller chercher ailleurs le plaisir sexuel qu’elle ne trouverait pas avec son homme.

Je m’arrangeai pour être dans son champ de vision sans pour autant me montrer insistant.
Nos regards se croisèrent de plus en plus fréquemment et, petit à petit, le désir monta en elle.
Arrivant près d’elle, ma main frôla la sienne. Elle sursauta comme si sa peau eut été brûlée.
Je sentis alors les vannes de sa libido s’ouvrir.

De la même façon que son homme, quelques minutes auparavant, je l’entraînai dans la chambre.
Elle se jeta sur moi et chercha mes lèvres sans qu’aucun mot ne soit prononcé entre nous.
Sa respiration était haletante, sa langue douce se mêla à la mienne.

— Prends moi ! Fais de moi une femme ! Me susurra la vierge délurée.

Sous ses yeux enfiévrés, je descendis lentement ma braguette.
Hypnotisée, elle regarda mon chibre surgir de mon caleçon comme le diable jaillit de sa broîte.
Telle un automate, elle s’en approcha, le saisit et le manipula avec soin.
Je soulevai , non sans difficultés, sa longue robe blanche.
Elle frissonna quand mes doigts parcoururent sa cuisse, passant de la soie de ses bas à sa peau nue.
Je trouvai sa culotte et je m’y insinuai.
Je sentis son abondante toison moite et abordai sa fente dégoulinante.
Mon index titilla son clito et elle poussa un râle de bonheur, son bassin, comme mû par sa propre volonté, allant à l’encontre de ma caresse.

Je la fis se positionner comme son époux auparavant.
Je relevai sa traîne et eut la charmante vision d’un cul bien rebondi , tout juste caché par un bout de tissu en dentelle blanche.

— Vas y doucement . Eut elle la lucidité de me dire.
— Je vais te déflorer en douceur ma belle.

J’écartai le dernier rempart de sa vertu et humidifiai ma verge au contact de ses fluides.
Elle se trémoussa d’aise.
Je tâtonnait un peu avant de trouver la cible et de m’y introduire d’une poussé lente et continue .
Je forçai le passage de son hymen et elle poussa un petit cri de douleur.

— Ça va ma douce ?
— Oui, ne t’inquiètes pas, vas y, continue .. me répondit elle.

J’entamai donc mes va et viens dans sa chatte , la faisant ronronner de plus en plus fortement.
Elle commença à prendre tant de plaisir que sa mouille, mêlée de sang, coula le long de ses bas blancs jusqu’alors immaculés.
Continuant ma besogne, je me penchai vers elle et flattai son clitoris.
Cette double excitation lui fit totalement perdre la tête et elle hurla son bonheur sans que rien ne puisse l’empêcher.

Sa belle mère, la cherchant depuis un moment, vint à passer dans le couloir.
Attirée pas ces cris elle poussa la porte et nous découvrit en plein coït.
Son visage blêmit tout d’abord puis elle se mit à vociférer son courroux tellement fort qu’elle ameuta une partie de la noce qui nous surprit à son tour.
Je n’avais pas arrêté mes efforts et mon amante, emportée par ses sens , n’avait pas esquissé le moindre geste .

Une belle pagaille s’en suivit et , quand le cocu, rouge de colère , de jalousie et de honte, la gifla, son beau frère vint la venger .
La fête tourna au pugilat entre les familles, les hommes échangeant coups de poings et coups de chaises, les femmes se crêpant le chignon à qui mieux mieux.

Personne n’osa s’en prendre à moi et je m’éclipsai discrètement , arrachant de mon bras, jetant à terre, l’épousée qui voulait me suivre.

Le lendemain, la presse relatait le fait divers et mon Maître fut satisfait.

Quelques semaines après et quelques affaires de ce type plus tard, je fus promu chef de cohorte par Satan lui même qui commandait aux démons séducteurs.

Mon ascension fulgurante dues à mes performances vint à arriver aux oreilles du « père éternel » qui s’en alarma et décida d’envoyer contre moi un de ses anges combattant.

Bir yanıt yazın

E-posta adresiniz yayınlanmayacak. Gerekli alanlar * ile işaretlenmişlerdir