Les vacances de Mia – 5

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Les vacances de Mia – 5
Retour aux sources.

Aujourd’hui, Madame Jeanine doit laisser partir Amira, car elle doit faire des courses avec ses patrons. Résultat, c’est moi qui suis “de garde”. C’est-à-dire prête à bondir au moindre caprice d’un des invités.
Léo arrive et annonce à sa mère :
— Un pote m’a dit qu’il a vu des champignons vers le vallon de Clairette. Ils sont orange, paraît-il. A mon avis, ce sont des coucoumelles.
— Il t’a précisé où ?
— Oui.
— Super. Va les chercher. S’il y en a beaucoup, j’en préparerai un peu et on vendra le reste.
— D’accord, mais il me faudrait quelqu’un pour m’aider, il y en a beaucoup.
— Prends Mia.
Ouaaais ! Un peu de distraction ! Je sors de la cuisine avec Léo, qui m’explique :
— Tu dois mettre un jean et un tee-shirt à longues manches, Mia.
— Un short en jean ?
— Non, un vrai pantalon, on va dans les broussailles.
On va au garage où se trouve ma chambre, je demande à Léo :
— Vous ne montez pas ?
— Non, dépêche-toi. Et puis, tu peux me tutoyer, j’ai rien à voir avec les gens de la maison.
Je vais enfiler un jean un peu déchiré et un chemisier pas très propre, mais, bon, c’est pour aller dans les broussailles. Léo a une moto, une 50 de cross. Il me donne un casque. On roule sur une petite route qui monte dans les collines de l’arrière-pays de Grasse. Je me colle bien à lui. On arrive sur un chemin qui longe un profond vallon. Il y a beaucoup de végétation.
Il s’arrête et il cache la moto dans un buisson, après avoir mis un gros antivol. Je lui dis :
— Je suis si contente d’être avec toi. J’en ai vraiment assez de tout ce qu’on me fait voir.
— Fallait pas accepter de faire la bonne pendant tes vacances.
— C’est à cause de cette petite garce d’Emma qui…
Il me coupe :
— Non, le problème, c’est ton mari !
— Oui, tu as raison. Au début, son côté dominant me plaisait. Mais maintenant c’est trop. Je ne vais pas continuer comme ça.
— J’espère pour toi… Bon, on va descendre vers les sources de la Siagne. C’est assez raide, mais il y a des coucoumelles. Le nom français est oronges.
— Des oranges ?
— Mais non, oronges, ce sont des champignons. On les appelle aussi Amanites des César.
On descend un petit sentier, parmi la végétation dense. Léo regarde un peu partout. Soudain, il s’exclame :
— Là !
Je vois une boule orange. Il la cueille, puis m’explique :
µIl y a un pied et un chapeau, comme pour la plupart des champignons. Mais en plus, comme il s’agit d’une amanite, il y a une volve à la base du pied et un anneau en dessous du chapeau.
Il m’explique soigneusement la différence entre celui-ci, délicieux, et l’amanite phalloïde, mortelle. Tiens, je ferais bien une bonne omelette avec ces champignons pour Emma… Léo me dit aussi de ne prendre que les jeunes. Les plus âgées, on les laisse aux limaces. J’en trouve bien 6 ou 7. Ils sentent bon, j’espère que je pourrai en goûter un. La récolte des champignons, c’est un peu comme chercher des œufs en chocolat à Pâques.
Je ne drague pas Léo, il pourrait être mon fils… si je l’avais eu très jeune. Mais, bon, mon chemisier bâille et il louche quand même un peu sur mes nichons. Par moment, je m’appuie sur lui et je le regarde en battant des cils, des trucs de fille qui ne dirait pas non. On a très chaud tous les deux et il me demande :
— Tu veux qu’on aille se baigner dans les sources de la Siagne ?
— Oh oui, j’adorerais, mais une source, c’est un filet d’eau.
— Celles-ci se trouvent au fond d’une grotte et c’est une petite rivière quand elles en sortent.
Me baigner dans une source, comme une nymphe, l’idée me plaît beaucoup. On doit descendre tout le versant de la colline… D’assez haut, j’aperçois la Siagne qui semble surgir d’une grande ouverture dans des rochers. En fait, elle sort vraiment d’une grotte d’assez grande dimension. Le sommet de la grotte permet d’aller sur l’autre rive. Léo me dit :
— C’est le pont naturel de Donadieu. L’eau est très fraîche, je ne suis pas sûre que tu sois cap’ d’y aller.
— Moi pas cap’ ? Tu vas voir.
Quand on arrive au bord du ruisseau, Léo met le panier d’oronges à l’ombre et le recouvre de quelques feuilles de fougères. Oui, il y en a ici. Il se déshabille, moi aussi. On se regarde du coin de l’oeil, en se disant, moi «?Pas mal, les abdos et le torse musclé et puis un sexe qui a l’air tout à fait comestible?». Lui, j’imagine, “Beaux petits nichons, et puis un cul de pouliche, un sexe épilé, je vais en faire mon 4 heures.”
Quand on est nus, comme Adam et Ève, sauf qu’on sait très bien qu’on est à poils, je lui dis :
— C’est le meilleur moment de mes vacances, mille mercis.
Je m’approche pour lui donner un baiser sur la joue, on entend “plouf” ! Je saute dans ses bras de saisissement. Il referme ses mains sur ma taille en disant :
— N’aie pas peur, ce n’est qu’une grenouille.
On est collés l’un à l’autre par notre sueur et… il m’embrasse, mais bien. On mélange nos langues, on échange nos salives. C’est lui qui quitte ma bouche pour me proposer :
— On saute ?
— Oui, mais tu restes près de moi.
— D’accord. Un, deux, trois, go !
Ouch ! C’est glacé. Je m’accroche au cou de Léo. Il me dit :
— On doit bouger. Nage.
Je barbote un peu… Il y a des grosses grenouilles! Pppfff, même pas peur. Enfin si, un peu quand même. Je ne m’éloigne pas trop de Léo. Et puis, on joue, on se frôle, on s’embrasse, il caresse mes fesses, je caresse son sexe qui grandit dans ma main. Et si on passait aux choses sérieuses ? Je lui chuchote :
— Je suis mouillée.
Ça le fait rire, il répond :
— Moi aussi. Viens, on sort.
On est pressés tous les deux. On remonte sur la rive, je m’ébroue comme un chien mouillé… Léo a étalé nos vêtements sur l’herbe et les petites plantes de la berge. Je me couche sur le dos, parce que j’ai envie de le sentir sur moi et en moi, de la tête aux pieds. Je n’ai pas baisé pendant ces vacances, je vous signale. Il se couche sur moi et son sexe vient flairer ma chatte qui s’offre. Je croise mes pieds sur ses reins et ses fesses et je l’enfonce en moi. Je pousse un cri quand il me pénètre, je suis serrée à cause de l’eau glacée. Il m’a dépucelée…
On est bouche à bouche tandis que son sexe va et vient en moi. Comme je vous l’ai dit, je n’ai pas joui du tout pendant ses vacances, même pas avec mon médius chéri, tellement j’étais fatiguée et déprimée. Alors, là, c’est la fête à mon cul. Je bats des records et jouis en quelques minutes. Léo continue à me baiser… et ça repart… Mais ça prend bien une dizaine de minutes et c’est encore plus fort! Un vrai feu d’artifice : oh la belle rouge ! oh la belle bleue ! Il jouit, aussi. Il s’était protégé bien sûr. On reste un moment l’un dans l’autre, puis il me donne une claque sur les fesses en m’annonçant :
— On doit y aller.
On se décolle. À contrecœur, en ce qui me concerne. Je me relève avec les jambes tremblantes. Et puis on aperçoit deux jeunes couples assis un peu plus haut. Ils ont assisté au spectacle. Ils sourient. Une jolie blonde lève le pouce en disant :
— Wunderbar !
Léo répond :
— Danke schöne.
Ils nous rejoignent et se déshabillent, ils veulent nager ou baiser.
Léo récupère le panier de champignons. On leur fait signe de la main avant de reprendre le chemin qui monte sec. Nous repassons vers le coin à champignons, il y en a encore un peu. On arrive tard à la maison. Madame Jeanine commence par nous engueuler, mais Léo lui montre le panier plein de coucoumelles et elle se calme aussitôt.
Léo me plaît vraiment.
***
Ce soir, je trouve enfin trouvé le courage de parler à Amira. Je vais dans sa chambre. Elle était occupée à se déshabiller.
— Oui, Mia ?
Je suis hypnotisée par son corps qu’elle dénude. Elle est trop belle : des seins en poires, des fesses rondes, une peau ambrée, luisante parce qu’il fait très chaud, le buisson de poils noirs sur son pubis, les petits buissons de ses aisselles, les…
— MIA !
— Euh… oui… J’ai rêvé de toi, la nuit dernière.
Elle s’est couchée sur son lit, un bras derrière la tête, elle sent… l’Afrique.
— MIA !
— Oui…
— C’était quoi ton rêve ?
— Je… on était dans un lit et… je t’embrassais et….
— Vas-y, fais comme dans ton rêve.
Oh putain ! Après m’être assise sur le lit, je l’embrasse dans le cou, puis je descends pour couvrir ses seins de baisers. Ensuite j’embrasse les poils humides de ses aisselles. Ça la fait rire, elle caresse ma tête en murmurant :
— Descend d’un étage.
— Oh oui !
Je m’installe à plat ventre entre ses cuisses et j’embrasse sa chatte à pleine bouche. J’ai dit qu’elle avait une odeur d’Afrique, mais aussi marine. Une odeur acidulée vers le méat. Je commence à la lécher, sa chatte a un goût fort, épicé, légèrement salé. Marc Antoine a dû avoir le même goût en bouche quand il léchait le minou de Cléopâtre…

Elle a replié une jambe et me caresse la nuque avec son pied. Je lèche tout depuis le clito jusqu’à l’œillet foncé de son derrière, en suivant son périnée. Elle tangue sous ma langue. Je remonte et me concentre sur son clito. Elle doit être en manque, elle aussi, parce qu’elle réagit fort, son bassin vient au-devant de ma langue et rapidement, elle jouit. Je lèche encore, pour tout nettoyer : je suis une servante ! Elle me dit :
— Tu aimes ma chatte ?
— Ton corps, ta chatte, ton goût, tes odeurs… tout. Dis, je peux dormir avec toi ?
— Oui.
Elle se met sur le côté et je me colle à elle… Je suis trop bien.
***
C’est bientôt la fin du séjour. Emma continue à m’humilier chaque fois qu’elle en a l’occasion. Léo me montre comment reconnaître les asperges sauvages, tandis qu’Amira me laisse coller ma bouche à sa chatte.
Je passe sur les adieux, je ne regretterai qu’Amira, Léo, les oronges et la Siagne.
Nous prenons le train pour Paris. On dort dans un Formule 1. La chambre ressemble à une cabine de bateau. Mon mari et Emma dans un lit et moi seule dans un autre. C’est normal, ça, à votre avis ?

A suivre.

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