Les Bites Musicales

Anjelica

Les bites musicales: une histoire de baise incestueuse.

Une histoire de silkstockingslover

Traduit (avec son aimable permission) de « Musical Dicks: A Sibling Fuck Story »

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Rejoindre une sororité avait été un truc de fou… et ça devenait encore plus dingue que je ne l’avais imaginé.

Cela m’avait déjà donné l’occasion d’offrir une branlette à un inconnu dans un centre commercial, de brouter la chatte d’une de nos sœurs aînées devant toute la sororité, de sucer une bite à travers un glory-hole, et de chevaucher un Sybian aussi longtemps que je l’avais pu en face des autres.

Pas que je sois prude. J’avais déjà eu mon content de bites au lycée, baisé quelques mecs, m’étais essayée à l’anal plusieurs fois, et avais bouffé de la chatte au lycée (qui ne la pas fait?) mais rien ne m’avait préparé à ça.

Particulièrement la prochaine tâche… qui était d’une perversion délicieuse

Nous portions toutes la même tenue qui semblait issue d’un porno mal écrit. Un costume de pom-pom girl salope, avec un porte-jarretelles et des bas. Cela dit, j’avais l’air plutôt canon dedans. On nous demanda aussi de ne porter ni soutien-gorge ni culotte.

On nous mena jusqu’à la grande salle du rez-de-chaussée. Je vis une douzaine de chaises formant un cercle et je me demandais instantanément si nous allions jouer à un jeu de chaises musicales. Durant Thanksgiving, comme membre du conseil des élèves au lycée, j’avais participé à l’organisation d’une compétition de chaises musicales où l’on s’était fait un peu d’argent. Chaque participant payait deux dollars et le gagnant remportait une tarte à la citrouille.

Tout d’un coup, on nous mit des bandeaux sur les yeux. Une fois les yeux couverts, on entendit du bruit dans la pièce. Il devint évident que d’autres personnes nous rejoignaient.

La présidente de la branche locale de notre sororité, Amber nous donna des ordres :

« vous allez être menées à vos chaises. Une fois-là, arrêtez-vous et attendez. »

On me fit faire quelques pas puis on m’arrêta.

Amber continua : « Aujourd’hui, tenez-vous prête pour une aventure palpitante! »

On entendit des rires venir de tous côtés.

Son ton m’intriguait, elle impliquait quelque chose de vilain, et je ne comprenais pas comment un jeu de chaises musicales pouvait être décrit comme une « aventure palpitante. »

« Bizutes, à genoux, » ordonna Amber.

J’obéis.

« Penchez-vous en avant et n’utilisez que votre bouche. Pas de mains, découvrez votre première surprise. »

Je n’avais aucune idée ce que pouvait être la surprise et j’hésitais. Puis j’entendis un grognement juste à côté, et c’est alors que j’ai tilté.

« Dépêchez-vous bizutes Josie, Bonnie et Tiffany, » le ton était devenu ferme et nous grondait. Après quatre jours de bizutage j’avais compris qu’Amber n’avait aucune patiente face à la moindre insolence.

Tiffany… c’est moi. Je me penchais en avant supposant que j’aurais une bite face à moi, et sans surprise il y en avait une. Mais je dus me pencher trop loin en avant et je tombais tête la première sur un malheureux entrejambe.

« Ah merde, » grogna bruyamment le gars à qui j’avais de toute évidence donné un bon coup de boule dans les parties.

« Désolée, désolée, désolée, » je m’excusais, garder l’équilibre n’avait jamais été mon fort.

« Suce cette bite pour lui donner meilleure mine, bizute Tiffany, » ordonna une sœur alors que je me rééquilibrais. « Tu peux utiliser tes mains pour te maintenir, mais tu n’as le droit d’utiliser que ta bouche pour rendre cette bite suffisamment dure pour le jeu. »

J’étais encore plus curieuse du type de jeu que ce serait. Allait-on jouer à une variante sexuelle du jeu des chaises musicales?

Je plaçais mes mains sur les jambes de l’inconnu pour ne pas retomber pendant qu’il disait: « dorlote-moi ça avec tes jolies lèvres, bizute. »

Je me considère comme une plutôt bonne suceuse de bite. J’ai fini seconde au concours de vitesse pour avaler une giclée de sperme au glory-hole et je suis arrivée cinquième au concours du « plus grand nombre de décharges tirées ». On avait trente minutes et j’ai obtenu un score de sept. Je me penchais en avant et trouvais la queue toute flasque ; elle semblait être de bonne de taille, et je lui dis, en essayant d’être aussi sexy que possible : « je vais te donner de bons soins. »

Les yeux bandés et ne pouvant utiliser mes mains, une simple tache comme celle de mettre une bite dans sa bouche devenait plus bien compliquée qu’on aurait pu le croire au premier abord. Cela me prit trois essais avant que son champignon ne m’entre dans la bouche.

Une fois bien rentré, j’utilisais ma langue pour tourbillonner autour de la queue, sachant que je ne pourrais pas lui faire une bonne pipe avant qu’elle ne soit au moins à moitié dure… J’ai toujours aimé le moment où une queue durcit dans ma bouche… J’aime sentir en moi le pouvoir de faire raidir une bite avec juste ma langue et ma bouche… et de la préparer Acıbadem Escort pour la suite…

« Une fois que votre homme est dur, redressez-vous bizutes. » nous instruit Amber

Cela me poussa à engloutir sa bite à moitié dressée, je ne voulais pas être la dernière à finir.

Utilisant ma langue et y mettant une bonne dose de salive je le fis durcir en quelques secondes… et réalisais qu’il faisait au moins vingt bons centimètres et était bien épais. J’adore les bites bien larges qui me remplissent la chatte.

Le gars était impressionné car il dit : « Putain, celle-ci a une bouche de chaudasse. »

Comme je me relevais sachant juste que ce type serait un bon coup, je répondis : « On se voit plus tard, j’ai un autre trou où j’aimerais que tu me fourres ta grosse bite. »

« Bizutes, cette activité sera la dernière avant le gala de demain. Il décidera de votre place dans le grand bal et aussi de la robe que vous serez autorisée à porter, » expliqua Amber, qui ajouta, « ou si on vous permet de mettre une robe… »

Il y eut quelques hoquets de surprises dans la salle.

« Nous allons jouer aux bites musicales, » déclara-t-elle, ce qui était logique. « À chaque manche, celle qui n’aura pas de bite en elle sera éliminée. Une fois éliminée, vous recevrez une enveloppe qui contiendra soit une punition, soit une faveur si vous remportez suffisamment de manches. Lorsque vous êtes éliminées, vous pouvez choisir la robe que vous voulez. Mais la personne qui sera éliminée après vous aura la priorité si elle demande la même robe. Les règles sont-elles bien claires?

« Oui, Maitresse Amber, » dirent les vingt-quatre d’entre nous à l’unisson, comme nous avions été entraînées à répondre, comme de bons petits chiots soumis.

« Vous pouvez enlever vos bandeaux, » annonça Amber.

Curieuse de voir à qui appartenait la grosse queue qui venait de quitter ma bouche, je me dépêchais d’obéir. Je fus surprise de voir un binoclard malingre en face de moi. Il sourit un peu gêné comme le font les geeks. J’étais abasourdie de voir une aussi grosse bite sur un type aussi maigre.

Je souris en retour, essayant de paraître décontractée et non choquée, « j’adore toujours autant cette belle bite.

— Merci, » il hocha la tête.

Amber continua ses explications : « Le long de l’escalier vous pouvez voir vingt-quatre robes, enfin plutôt vingt-quatre habits, »

Je détournais mon regard du binoclard à grosse bite pour voir une série de robes magnifiques et de quatre… “habits.” Ces quatre choses-là étaient horribles : une robe vert pâle à pois violets. Une combinaison une-pièce de sport jaune que ma grand-mère n’aurait pas voulu mettre. Une grenouillère à points rouges au niveau des nichons et de la chatte. Et un simple t-shirt où était écrit “Bimbo vide-couille” avec une mini-jupe si courte que ce ne devait même plus être vraiment une jupe.

J’étais consternée.

Je devais gagner. Si être éliminée en premier pouvait permettre de choisir la plus belle robe, rien ne garantissait que les éliminées suivantes ne la choisiraient pas. Les quatre dernières robes seraient forcément les plus pourries, et elles seraient échangées contre celles que les gagnantes voulaient. Oui, il fallait finir dans le top quatre pour bien s’en sortir.

Sauf que, même pas… Puisque je me rendais compte que même en finissant deuxième on courrait le risque de se retrouver avec une des merdiques, si la gagnante choisissait de prendre la robe que vous veniez de choisir.

Merde!

Bordel de putain de merde!!!!!

Je devais gagner si je voulais être sûre de ne pas me retrouver avec un des costumes de clown.

« Par ailleurs, continua Amber, à chaque tour nous sortirons un des gars, et la perdante de la manche devrait sucer ou baiser ce gars, ou faire les deux… À moins qu’on lui donne une autre tâche. Et, je suis désolée pour vous les mecs, mais on vous sortira selon l’ordre croissant de ce que vous avez de plus important… la taille de votre bite. »

Toutes les filles, moi y compris, avons alors jetées un œil pour évaluer la marchandise qui était à notre disposition. À ma grande surprise, beaucoup des types dans mon périmètre avec de belles grosses bites.

Sarah alla vers un des mecs à quelques sièges sur ma droite et lui dit, « désolé, l’étalon. »

Le pauvre gars était mortifié de savoir être le premier à partir.

Sarah haussa les épaules : « Allez, soit pas triste, tu seras le premier à te vider les couilles dans l’une de nos bizutes. »

« Très bien bizutes, premier round. Comme pour un jeu de chaises musicales, vous allez marcher en cercle, sans vous arrêter jusqu’à ce que la musique stoppe. La seule différence est que vous ne vous devrez pas toujours vous asseoir sur leurs genoux… alors écoutez attentivement les instructions pour chaque manche, » expliqua Amber.

Je pouvais déjà envisager le mélange de branlette, de pipe et peut-être même de baise qu’on nous demandait. Bizarrement, en regardant ces Kaynarca Escort bites plutôt bien grosses qui nous saluaient toutes, je devenais assez excitée et j’étais déjà mouillée. Je souris à mon binoclard, remarquant que tous les mecs avaient des airs de geeks : « Je reviendrais pour celle-là. »

La musique commença et je me mis à marcher, me concentrant sur les queues qui étaient toutes dures et prêtes à l’action. Même si je n’étais pas une traînée, j’aimais la bite… beaucoup… et la taille avait son importante… et pas qu’un peu!

Je fis un tour complet, ayant vu les vingt-trois queues bandées, elles m’avaient presque toutes impressionnée. Deux étaient même noires et ça, c’était un tabou que je n’avais encore jamais franchi. Je me concentrais sur les bites et pas les visages.

Amber nous donna quelques renseignements pendant le second tour : « J’espère que vous appréciez ces grosses queues de la fraternité Beta Delta Kappa. Car bien que Alpha Kappa Pi soit notre fraternité associée, nous travaillons parfois secrètement avec Beta Kappa Pi… Je crois que vous comprenez pourquoi. »

Tout en continuant à marcher mes pupilles s’écarquillèrent, j’étais soudainement très inquiète. Est-ce que mon frère se trouvait parmi les vingt-trois bites sur lesquelles je venais de saliver? Il était en deuxième année et membre de la fraternité Beta Delta Kappa (il avait tout juste 14 mois de plus que moi, nos parents avait eu des bébés dos à dos). Je continuais à marcher, évitant les contacts visuels, je tremblais en pensant au risque, mais j’écoutais toujours les instructions d’Amber.

« Quand la musique s’arrêtera, vous vous mettrez à genoux et branlerez la bite sur laquelle vous pourrez mettre la main, » continua Amber.

Je finis le second tour, évitant de regarder les mecs de face, inquiète que mon frère soit parmi eux. Mais s’il l’était… tant mieux pour lui. Toutes ces bites avaient des tailles impressionnantes, et certaines étaient plus grosses que tout ce que j’avais expérimenté… deux semblaient aller au-delà des vingt-cinq centimètres.

Soudain, la musique s’arrêta.

Ça me surprit et je restais hésitante.

En voyant mes consœurs bizutes se mettre à genoux, je me rendais vite compte que toutes les bites autour de moi étaient déjà prises. Je paniquais et regardais désespérément autour de moi… j’avais besoin d’une bite dans ma main.

Je vis une autre bizute lancer elle aussi des regards affolés, et je me déplaçais rapidement à la recherche de la bite libre. Elle fit la même chose. Voyant finalement la bite solitaire et esseulée, je plongeais littéralement dessus, l’attrapant juste avant que ma camarade bizute ne l’atteigne.

Le type grogna. Je venais de lui donner un coup de tête dans ma précipitation… deux gars, deux bites, deux coups de tête. « Désolée, » je m’excusais, à la fois envers le type et envers la pauvre bizute bouleversée qui fut la première à se faire sortir.

Amber dit : « Eh bien, c’était à un cheveu. Erin, tu es la première éliminée. Rampe jusqu’à moi. »

Je la regardais ramper vers Amber, elle semblait à la fois dévastée et mortifiée.

« Choisis une robe, » lui ordonna Amber.

Erin se déplaça parmi les robes et en choisit une bleue, mignonne, mais pas étourdissante.

« Maintenant, ouvre ton enveloppe, » l’avisa Amber. Une troisième année dont je ne me souvenais pas du nom tendit une enveloppe avec le nombre vingt-quatre écrit dessus.

Erin l’ouvrit à contrecœur, sortant un papier rouge. En le lisant, son visage tout entier pali.

« Lis-le à haute voix, » exigea Amber.

Erin en pleurs, lut : « Finir dernière, il ne faut pas être fière. Ce soir, tu es un urinoir humain, c’est toujours mieux que de faire la putain. »

Il y eut un moment de stupeur accompagné de hoquets de surprise dans la salle.

Erin implora : « S’il vous plaît, je vous en prie. Ne me faites pas faire ça.

— Ton destin est scellé, répondit Amber avec dédain. Va d’abord servir le numéro 24, puis Valérie t’emmènera à une place spéciale pour la nuit.

— Pitié, non, supplia Erin

— Continue à te plaindre, et on te fera partir. On décidera alors si on t’exclut de la sororité ou si on fera durer la punition un mois, menaça Amber, suis-je clair?

— Oui, chuchota Erin, baissant la tête.

— Bien, maintenant profite du numéro 24, » dit Amber en renvoyant la bizute mortifiée qui se dirigea vers le premier gringalet.

Pendant tout ce temps, je jetais des coups d’œil autour de moi, priant que mon frère ne soit pas parmi les vingt-trois bites se faisant branler. Comme j’étais à genoux, je ne pouvais pas en voir beaucoup, mais je fus heureuse de ne pas le trouver parmi ceux qui étaient à proximité.

« Les bizutes restantes, debout, » ordonna Amber.

Je lâchais la bite dans ma main et répétais, « désolée. »

Pendant que l’on enlevait du jeu l’un des gringalets et sa chaise, je continuais à observer. Debout, j’avais une bien meilleure vue… je soupirais et Aydınlı Escort sentis une boule se former dans mon estomac. Mon frère était bien là. Je pouvais le voir à l’autre bout. Je ne pouvais voir que l’arrière de son crâne, mais c’est tout ce dont j’avais besoin. C’était bien lui.

Merde!

La musique recommença pendant qu’Amber donnait de nouvelles instructions : « Cette fois, quand la musique s’arrêtera, vous ferez une gorge profonde sur la bite que vous mettrez dans votre bouche. »

Quelques filles glapirent, d’autres pouffèrent. Ces bites étaient franchement grosses, et pour beaucoup de bizutes il ne serait pas facile de les enfourner dans leur gorge. Heureusement, j’avais une assez bonne expérience en suçage de bite, et je pensais être capable de le faire.

À force de marcher, je finis par arriver devant mon frère et je laissais échapper un soupir. Sa bite était énorme, peut-être la plus grosse de toutes. Merde, si je voulais gagner il y avait une probabilité majeure qu’à un moment ou un autre je finisse par lui toucher la queue… peut-être même par la sucer… peut-être même par me l’enfiler…

« Vous n’êtes pas sortie du bois jusqu’à ce que la bite soit enfoncée complètement dans votre bouche, » clarifia Amber.

Je continuais à marcher, j’avais le vertige à envisager les conséquences. Je devais gagner. Mais je ne voulais pas commettre un inceste pour ça. Bien que… je devais l’admettre… il avait une bite extraordinaire : grosse et épaisse… elle était même complètement rasée.

Marcher en rond me rapprochait à nouveau de mon frère, je soupesais le problème. Commettrais-je un inceste pour gagner?

La question fut résolue sans que j’aie à y répondre… Mon instinct et mon désir de gagner prirent le contrôle quand la musique s’arrêta. Je me trouvais entre mon frère et un autre type. Le chibre du type était entièrement englouti par une asiatique affamée dont je ne me souvenais pas du nom, quelque chose avec une sonorité bizarre, et avant de me rendre compte de ce que je faisais j’étais à genoux et l’énorme queue de mon frère en train de me chatouiller les amygdales.

Des rires, des bruits d’étouffements et des mouvements frénétiques résonnaient autour de moi, pendant que j’étais agenouillée en face mon grand frère avec ce qui semblait être vingt-cinq centimètres enfoncés dans ma bouche. Je respirais par le nez et me concentrais pour ne pas m’étouffer.

J’avais la bite de mon frère dans la bouche.

J’avais l’énorme bite de mon frère dans ma bouche.

Ma chatte, me trahissant, devenait très très humide.

Merde, j’aurais aimé porter une culotte.

Merde, je devenais bouillante à sucer l’énorme bite de mon frère, la plus grosse que j’ai eue dans ma bouche.

Merde.

Bordel.

Oh Dieu tout puissant.

« Il semble qu’on ait une perdante. Brenda, tu es éliminée, annonça Amber.

— Cette salope m’a poussé, protesta Brenda

— Tu n’aurais pas dû t’étouffer, répliqua Amber.

— Ouais. ben, tout ça c’est des conneries, » dit Brenda clairement en rogne.

Amber soupira : « Choisis ta robe, et vous autres bizutes, pouvez sortir la bite de votre bouche. La nuit est encore longue, vous ne voulez pas leur vider le chargeur si vite. »

Mes yeux s’humidifiaient légèrement, et je me concentrais pour ne pas m’étouffer en me reculant.

Je regardais mon frère qui me fixait avec la même expression de choc que je devais avoir.

Je lui lançais un regard qui voulait dire : “Pas un mot.”

Il hocha la tête, comme si on se comprenait par télépathie.

Personne ici n’avait à savoir que c’était mon frère.

En détournant le regard, je vis Brenda choisir l’une des plus belles robes, une rouge avec une longue fente sur le côté. Elle était plutôt sexy. Brenda se fit menaçante : « vous n’avez pas intérêt à me la prendre. »

Amber la réprimanda avec une colère féroce : « Pas de menace venant d’une putain de bizute, c’est clair?

Brenda semblait furieuse, mais, comme Erin, son ton changea rapidement elle hocha la tête : « Oui.

— Bien, maintenant ouvre ton enveloppe, » ordonna Amber. Sarah tendait à une enveloppe à la mauvaise perdante.

La vérité était que j’étais contente de voir Brenda éliminée. Non seulement c’était une sale garce, mais elle aurait été une des compétitrices les plus dangereuses pour le concours. Et puis, elle avait une choisit une des robe qui me faisait envie… même si le rouge n’était pas ma couleur favorite, je n’aurai aucun remord à lui prendre si… non… quand… je gagnerai.

J’entendis Erin gémir, « Oh mon dieu, oui, » je jetais un coup d’œil vers elle pour la voir se faire tringler par derrière… les yeux fermés et se caressant.

Merde, c’était vraiment chaud bouillant.

Brenda ouvrit l’enveloppe, et son visage tourna au blanc d’un coup. « Vous n’êtes pas sérieuses? » dit-elle avec le mépris et l’arrogance qui la caractérisait

« Lis-la, » ordonna Amber

Brenda soupira, mais lut, « Avant-dernière, c’est la misère, tu serviras de boute-en-train pour la nuit… En suçant des bites tu nous éviteras l’ennui. »

Amber pointa du doigt un endroit où un oreiller avait été posé sur le sol et ordonna : « À genoux bizute. »

Brenda était toujours furibonde, mais marcha jusqu’à l’endroit désigné sans dire un mot.

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