Les aventures de Brigitte – CHAPITRE 4
CHAPITRE 4 – Robert
vendredi soir
_Ding dong !
_C’est surement Robert ! Comment je suis ? Demande Gertrude en ouvrant un petit meuble à chaussures rempli de mules de toutes sortes.
_Sublime, tu vas le faire baver comme un fou ! Et moi je vais essayer de me controler, ça va etre dur de resister et de ne pas te regader !
_ c’est tres simple, regarde dans ma penderie, il y a une autre petite robe comme celle que tu portes mais elle est evasée à partir de la poitrine, donc meme si tu ne porte pas de culotte avec celle la on ne verra rien ! Maintenant il faut que j’aille l’accueillir, à tout de suite ! Dit elle en enfilant des mules en vinyl noir. Elle lui adresse un baisé de loin et sort de la chambre.
Brigitte ouvre la penderie et sort la robe en question, elle est rouge avec des petits pois blanc. Elle quitte sa robe et enfile la nouvelle. Sa legereté lui procure la sensation de ne rien porter du tout.
Elle se regarde dans la glace et souleve sa robe.
_ comme tu es jolie avec tes petits bas et ton petit string ! Se dit elle en se tremoussant
_ Faisons un petit test !
Brigitte libere sa queue de son ecrin de dentelle.
_ effectivement on ne voit rien mais par securité je vais mettre une cullotte quand meme !
Tout en remontant son string, Brigitte se dirige vers le petit placard à chaussure pour trouver quelque chose d’assorti à sa robe.
_ voila parfait, j’ai trouvé ! Dit Brigitte en sortant du placard des mules en velours rouge avec un gros noeud sur le dessus.
Un dernier regard dans la glace, une grande inspiration et Brigitte s’engouffre dans l’escalier qu’elle descend sans faire trop de bruit.
_ bonsoir Robert ! Dit Brigitte en surgissant derriere lui.
Robert sursaute en se retournant et sourit.
_ bonsoir Brigitte ! Dit il en la dévisageant de la tete au pied et en la regardant s’avancer au milieu du salon.
Brigitte se dirige derriere le bar ou elle s’assoie sur un tabouret, jambes croisées.
_ tu es ravissante, ma cherie, cette robe te va à ravir je ne regrette pas de te l’avoir faite elle te va comme un gant.
_ à parce que c’est vous qui …? demande Robert
_ oui , c’est moi qui l’ai faite. Repond Gertrude.
_Je t’ai piqué tes mules rouge, tu ne m’en veux pas, je n’avais rien d’assortis à me mettre aux pieds sinon ! Dit Brigitte en allongeant une de ses jambes sous les yeux de Robert.
_ Tu as bien fais, ma puce ! Tes petits pieds sont si exquis qu’il faut bien les mettre en valeur ! Vous ne croyez pas Robert ?
_ si si euh ! Biensur ! Oui il faut les mettre en valeur ! Vous aussi ma chere amie, vos pieds son superbes !
_ oh mais quel flatteur ! Voyons Robert, vous me génez ! Dit Gertrude
Brigitte se sent dominante sous l’oeil abusé de Robert. Elle leurs propose un verre qu’ils acceptent et leurs enumerent le contenu du bar.
_ pour moi ce sera un punch s’il te plait ! Dit Gertrude
_ La meme chose ! Dit Robert en souriant
_ Ok ! Pour moi pareil alors ! Punch pour tous le monde !dis Brigitte
Une fois les verres preparés elle se leve de son tabouret et sert les boissons tout en proposant un toast. Les verres s’entrechoque et chacun boit une gorgé. Brigitte retourne s’assoir sur son perchoir et profite que Robert aille au toilette pour changer quelques details. Elle se leve sous l’oeil interrogatif de Gertrude qui se demande se qu’elle est en train de faire. Elle baisse legerement son string et retrousse sa robe pour poser ses petites fesses nue sur le coussin du tabouret. Gertrude reste bouche baie et jettant un regard en direction des toilettes, elle ecarte les cuisses lui montrant qu’elle avait déjà baissé la sienne depuis longtemps. Brigitte se met à rire et Gertrude en fait de meme.
_ j’ai raté quelques chose ? Demande Robert de retour dans le salon
_ non pas du tout ! Nous etions en train d’echanger un avis vestimentaire toutes les deux! Repond Gertrude, mais dites moi vous n’avez pas un peu chaud, Robert ? Vous avez des couleurs
_ Non ça va! C’est certainement un petit coup de soleil ! Dit il
_ allons mettez vous à l’aise ! Nous sommes entre nous ! Brigitte va donc lui chercher une paire de pantoufle dans l’entrée, tu veux bien ma cherie !
_ Non, non je vous assure, ce n’est vraiment pas necessaire !
_ biensur ma tante !
Brigitte se leve de son tabouret et la petite robe reste perchée en haut devoilant l’espace d’un instant sa petite culotte baissée à mi cuisse.
Robert hallucine de ce qu’il vient de voir et rougit en insistant à refuser que l’on se derrange pour lui.
Brigitte ouvre la commode de l’entrée et sort une paire de chausson moltonée
_ combien faites vous ? Demande Brigitte
Robert n’a pas le temps de repondre que Gertrude lui dit
_ du 40 ! donne lui quelques chose de pas trop effeminé quand meme, car je n’ai pas de chausson pour homme.
_ c’est pas grave ne vous embetez pas ! Dit Robert
_ ça y est, j’ai trouvé ! S’ecrit Brigitte.
Elle se redresse et revient dans le salon triomphante, une paire de mule en satin noire a la main.
_ allez Robert ! Laissez vous faire ! Dit Gertrude en croisant largement les jambes vers lui pour attirer son attention sur la jarretiere de son bas.
La vue qu’elle lui offre le laisse béa, elle balance sa mule noire sur le bout de son orteil juste au dessus des mules de satins que Brigitte vient de deposer par terre. Si il se baisse pour les enfiler, il aura le privilege de sentir l’odeur de se pied tendu vers lui.
_ bon allez ! D’accord pour vous faire plaisir !
Il se penche en avant pour se dechausser et son nez n’est plus qu’a quelques centimetre du pied de Gertrude qui ne cesse de balancer sa mule. En se dechausssant sous l’oeil attentif de son hotesse, il renifle par petit coup discret, ce pied et cette mule qui s’offre à lui.
_ Voila vous ne vous sentez pas mieux ainsi dit Gertrude en designant à Brigitte les chaussures de Robert pour qu’elle les ramasse, ce qu’elle fait discretement sans dire un mot.
_ Robert vous avez l’air d’avoir encore chaud ! Vous etes vraiment sur que ça va ?
_ Oui oui, ne vous inquietez donc pas ! Tout est parfait dit il en se votrant un peu plus dans le fauteuil. Il croise à son tour les jambes et se met à imiter un peu Gertrude. Brigitte réapparait et propose un deuxieme verre à Robert, qu’il accepte volontié ainsi que Gertrude
_ Une deuxieme tournée générale alors ! Dis Brigitte déjà bien guillerette.
Une demi heure supplementaire passe et Brigitte se leve pour allée préparer quelques choses à manger. C’est l’occasion de les laisser un peu seul tous les deux.
_ Alors qu’est ce que l’on a de bon à manger dans ce frigo, du jambon cru, de la salade, deux melons, trois concombres, des carrottes, du paté … eh bien il y a tous ce qu’il faut pour faire un apero dinatoire ! Allez au travail Brigitte !
Elle sort le tout sur le plan de travail et commence par rincer les legumes. Un petit coup d’oeil au salon pour s’assurer qu’ils ne font pas trop de betises ! Non tout va bien il discute !
Elle coupe les carrottes en allumettes, le melon en dés et le concombre en rondelles, quelques feuilles de salade par ci par là pour la deco et le clou du plateau, le jambon cru en chiffonade sur la salade.
_ bon plus que les toast à tartiner et c’est pres !
_ Oh Robert, hum oui !
_ Mais qu’est ce qu’ils fabriquent de l’autre coté ? Se demande Brigitte.
Elle se dirige derriere le ficus de l’entrée pour les espionner. Gertrude à les jambes allongées sur les genous de Robert qui s’applique à lui masser tendrement les pieds.
_ Quelle douceur, Robert ! S’exlame Gertrude.
Le massage se fait de plus en plus precis et se dirige petit à petit vers le mollet et les cuisses de Gertrude qui laisse entrevoir les jarretieres de ses bas.
Robert, les yeux fixés sur ce petit bout de lingerie, se sent à l’etroit dans son pantalon. Gertrude le remarque et confirme son doute en effleurant l’air de rien cette bosse qui vient d’apparaitre. Au passage de son pied, la queue de Robert sursaute de plus belle.
_ ouhf, Robert ! Vous avez l’air bien ferme, dites moi ! Est ce moi qui vous mets dans cette etat ?
Robert rougit et ne sait plus quoi faire pour dissimuler sa honte.
_ Je suis flatté que vous ressentiez encore des sentiments de ce genre à mon egard !
_ Eh bien oui je l’avoue ! Mais n’allez pas me trouver vicieux ou que sais je encore, j’ai l’odeur de vos pieds qui me stimule depuis tout à l’heure et je viens d’apercevoir ce … dit il en designant le petit bout de jarretiere.
_ Biensur ! Je comprend ! Et dites moi ce que vous en pensez comme ceci ! Dit Gertrude en dressant le bout de son pied sous le nez de son invité, devoilant largement ses bas et sa petite culotte à mi cuisses.
_ quelle charmante coquine vous etes, Gertrude ! Dit Robert en inspirant profondement ce parfum.
_ je ferais n’importe quoi pour vous ! Dit il
_ n’importe quoi ! Vraiment tout ? Demande Gertrude
_ oui ! Tout !
_ eh bien … vous pourriez peut etre me prouver votre loyauté à mes désirs !
_ oui ! Dites moi, je m’executerai ! Affirme Robert
toujours cachée, Brigitte n’en rate pas une miette, attendant avec impatience la suite des evenements.
_ vous pourriez peut etre commencer par baisser votre pantalon et votre slip à vos cheville et me montrer votre belle grosse queue ?
_ Mais … et votre niece si elle me surprend ?
_ ne vous inquiété pas pour elle ! Elle sait ce qu’est une bite, croyez moi ! Et puis je pense qu’elle est bien occupée en ce moment !
Robert se leve et baisse dans le meme geste son pantalon et son slip. Une grosse queue assez courte mais d’un diametre enorme apparait sous les yeux de Gertrude.
_ approchez vous, cher amis et mettez vous de profil pour que je puisse bien la voir !
Robert s’execute et se tourne offrant à Brigitte une vue imprenable sur la scene. Gertrude s’empare de cette grosse queue entre ses mains et la caresse tout doucement. Elle la renifle et dit.
_ hum ! Quelle bonne odeur de bite, Robert ! Et elle la renifle à nouveau puis leche delicatement le dessous de son gland.
_ vous aimez ? Demande t’elle
_ oh oui ! J’adore ! Continuez s’il vous plait
Elle s’arrete aussi sec et lui dit
_ il ne faut pas reclamer, Robert, c’est mal poli, pour la peine j’en ai fini avec elle ! Desirez vous toujours m’obeir ?
_ oh oui biensur, maitresse ! Dit Robert
_ mettez vous à poil et asseyez vous ! Je vais vous bander les yeux !
_ Mais… ! Oui, maitresse! Il se deshabille completement et se rassoit
Gertrude se leve et defait sa large ceinture en vinyl qu’elle utilise comme un bandeau sur les yeux de Robert.
Elle fait signe à Brigitte de s’approcher discretement.
_ maintenant Robert ! Reprenons ! Dit Gertrude en invitant Brigitte à prendre place au pied de Robert pour continuer ce qu’elle avait commencé.
Brigitte s’execute et prend place à quatre pates devant Robert. Elle renifle à son tour cette grosse bite et se met à la lecher puis à la sucer doucement. Pendant ce temps Gertrude vient se placer derriere Brigitte et lui retrousse sa robe, devoilant son petit cul nu. Elle se penche en avant et ecarte largement les fessses de Brigitte. Elle renifle son petit cul et le leche amouresement jusqu’a ce qu’il soit suffisement dilaté pour recevoir un premier doigt, puis un second. Brigitte se retient de gemir et se venge en suçant de plus belle la grosse queue de Robert. Gertrude retire ses doigts du cul de Brigitte et pose une main sur son epaule pour lui faire comprendre d’arréter sa pipe.
Gertrude donne une petite tape au cul de Brigitte pour la faire retourner à ses fourneaux et se penchant sur Robert, elle lui glisse delicatement à l’oreil :
_ ça vous a plu Robert ?
_ oh oui ! Mais pourquoi vous arretez vous vous en si bon chemin ?
_ ma niece pourrait nous surprendre ! La pauvre, vous imaginez sa reaction si elle nous surprenait à batifoller de la sorte ?
_ Oui ! Biensur vous avez raison, Gertrude où avais je la tete !
_ Sur vos epaule, Robert ! Dit elle en eclatant de rire
Robert se redresse et renfile son pantalon à la hate pendant que Gertrude retire sa culotte.
Brigitte surgit alors dans la piece.
_ voila ! C’est pret !
Robert rougit et regarde Gertrude en se disant que c’etait moins une.
_ je vous ai préparé un apero dinatoire ! Vous m’en direz des nouvelles ! J’espere que cela va vous plaire ? S’exclame t elle en posant le plateau sur la table basse.
Bien penchée en avant, Brigitte offre une jolie vue sur ses bas à Robert, qui a son tour n’en rate pas une miette.
_ et bien ça m’a l’air delicieusement bon tous ça ! Dit il d’une voix tendre et amicale.
_ Merci, c’est gentil ! Repond Brigitte
_ Je suis désolé de ne pas t’avoir aidé ma cherie, mais avec Robert nous nous ressassions les bons moments passés ensemble ! N’est ce pas Robert ?
_ Oui ! Oui effectivement, les bons moments… c’est tout à fait ça !
_ oh mais … tantine! Tu as perdus ta ceinture on dirait ? Dit Brigitte
_ non ! Je l’ai retitré pour etre plus à l’aise car Robert c’est gentiment occupé de moi ! Il m’a massé les pieds … hum c’etait divin Robert, encore merci !
_ mais de rien ! Tout le plaisir fut pour moi !
_ ah oui ! Et moi alors ? Demande Brigitte
Robert et Gertrude restent sans voix.
_ Robert ! Vous accepteriez de vous occupper de mes pieds aussi ?
_ c’est à dire que … ! si vous insisté !
_ Bon et bien je vais m’occuper de finir de preparer le reste alors ! Dit Gertrude en se rechaussant pour se diriger vers la cuisine.
_ à tout de suite ! Et ne faites pas trop de betises tous les deux ! Je vous ai à l’oeil ! Lance Gertrude en rigolant.
Robert rougit et n’ose pas regarder Brigitte qui s’installe à coté de lui. Elle lui tend ses pieds pour l’insiter à les déchausser. Robert degaine son plus beau sourire histoire de cacher sa gene et dechausse les petites mules rouge de Brigitte febrilement.
Le massage est exquis, Robert est tres doué lui fait remarquer Brigitte completement aux anges.
Gertrude refait son apparition avec le plateau de petits toast.
_ voila ! J’ai moi aussi contribué à ce petit en-cas ! Dit elle en s’asseyant sur un petit pouf de cuir posé à coté de Robert.
_ Dites moi Robert ! Vous etes tellement gentil de vous occupez de nous ainsi que vous accepterez bien un petit massage des epaules, non ? Propose Gertrude en decroisant suffisemment les jambes pour montrer à Robert son petit minou tout trempé.
_ Oui ! Pourquoi pas ! Ce n’est pas de refus !
Gertrude se leve et se glisse derriere Robert.
_ dites moi si je dois y aller plus fort ! Demande Gertrude
_C’est parfait ! Vous avez de vraix doigts de fée
_ mais vous aussi Robert ! Retorque Brigitte
Robert rougit et Brigitte en profite pour attrapper un bout de melon.
_ merci Robert ! Pour ce delicieux massage ! Mais je prefere vous laissez savourer le votre, c’est tellement plus agreable lorsqu’on se laisse aller ! Vous ne trouvez pas ?
_ Oh oui, c’est vrai ! Dit Robert en se relachant completement.
_ Brigitte, ma cherie … tu veux bien donner un toast à notre invité s’il te plait !
_ Biensur ! Je vais meme faire mieux que ça ! Dite ahh
Robert ouvre la bouche et Brigitte depose le toast sur le bord de ses levres qu’il referme delicatement.
_ moi aussi je veux bien la becquée ! S’exlame Gertrude un peu jalouse de cette intention envers Robert.
Brigitte s’execute et lui donne à son tour un bout de melon qu’elle depose sur sa langue.
_ hummm ! C’est delicieux ! J’adore sucer le melon ! Dit Gertrude. Encore ! Reclame t’elle
Brigitte se retourne et se penche au dessus du plateau, offrant une fois de plus à Robert, une vue imprenable sur ses bas.
Apres s’etre bien rassasiés, avoir bien rigolés tous ensemble et bien allumés Robert, Gertrude déclare qu’il est déjà bien tard et propose à Robert de finir la soirée par quelques bouffées de fumées à éléphants roses pour achever ce delicieux moment passé en sa compagnie.
_ comment ! Vous fumez Gertrude ? S’exlame Robert
_ oui ! Ça m’arrive de temps en temps pour me detendre ! Dit elle en jetant un coup d’oeil complice à Brigitte.
_ eh bien ça alors ! … Robert n’en revient pas
_Alors, Robert ? Etes vous des notres pour clore cette merveilleuse soirée ? Demande Gertrude
_ eh bien … oui ! Pourquoi pas apres tout ! Dit il en eclatant de rire. Je veux bien essayer !
Ils se dirigent tous les trois dans la cuisine et Brigitte s’affaire à la préparation du digestif festif, sous les yeux attentifs de Robert qui detail chacun de ses gestes. Brigitte allume le briquet et aspire quelques bouffées avant de le passer à Gertrude. C’est au tour de Robert, il tire une boufée, l’inspire profondement sur les conseils de Gertrude et recrache la fumée en toussotant legerement.
_ Alors Robert ? Ça va ? Demande Gertrude
_Oui ! En fait … ça va plutot bien ! Et il eclate de rire sans raison.
_ excusé moi, mais …. hihihiiii ouhouhh !
Brigitte et Gertrude se regardent un instant et eclate de rire à leur tour. Au bout de quelques minutes les rires se calmes et chacun reprend ses esprits. Robert le repasse à Brigitte qui tout en l’attrapant, tend sa jambe pour venir effleurer l’entre cuisse de Robert qui sursaute et rougit aussitot en la fixant du regard.
_ Merci ! Dit Brigitte
_oh mais de rien ! Bredouille Robert
Gertrude a devinée que Brigitte en a profitée pour passer à l’action et vient à son tour carrésser le mollet de Brigitte du revers du pied.
_ et si nous jouions à un jeu ? Demande Gertrude
_ OH OUI ! S’ecrit Brigitte en massant de plus belle la braguette de Robert du bout de son pied.
_ Un cache cache dans le noir total ! Et lorsque l’on est decouvert on doit faire quelques choses d’agréable à celui ou celle qui nous a trouvé.
_ Agreable comment ? Demande Robert un peu inquiet de ce qui va l’attendre
_ un simple baisé sur la joue peu suffir ! Mais apres c’est à chacun d’apprecier ce qu’il souhaite faire, du moment que c’est agréable pour l’autre. Repond Gertrude en regardant Robert qui a l’air de plus en plus crispé.
Gertrude se leve de sa chaise et se dirige vers l’interupteur.
_ Vous etes pret ? J’eteinds et c’est vous qui commencez Robert !
La piece est plongée dans le noire. Brigitte et Gertrude se faufilent vers le salon, eteignent les dernieres veilleuses et se cachent. Quelques instants plutard, Robert arrive dans le salon à tatons et tombe presque tout de suite sur Gertrude, sans dire un mot elle s’accroupit devant Robert, abaisse sa braguette et sort sa grosse bite. Elle la renifle, puis la goute avec volupté.
_ etait-ce agréable ? Demande t’elle
_ Oh oui ! Tres !
_C’est à mon tour de chercher alors !
Robert va se dissimuler derriere le bar et Gertrude par dans la direction opposée, esperant tomber sur Brigitte. Elle ne l’a trouve pas mais tombe de nouveau sur Robert. Ni une ni deux, il la retourne, la fait se pencher en avant et tout en lui ecartant bien les fesses, lui leche la chatte en reniflant son petit trou du cul.
_ est-ce agréable ?
_ oh oui, Robert ! Tres ! Mais si court !
_ C’est la tout l’interet du jeu, n’est ce pas ? Attention c’est moi le loup maintenant !
Pendant quelques instant Robert ne trouve ni l’une ni l’autre, quand soudain il met la main sur Brigitte qui été cachée dans la cuisine. Elle s’assoit sur la table et baisse le pantalon de Robert qui stupefait se laisse faire sans réagir. Elle att**** cette grosse bite entre ses pieds qu’elle serre legerement et le branle delicatement.
_ Est ce agréable, Robert ?
_ oh ! Inantendu mademoiselle ! Tres inattendu ! Bredouille Robert
elle retire sa culotte et devoile sous la lueur du clair de lune sa charmante petite queue bien raide et bien taillé.
_ voulez vous devorer mon gros clito, Robert ?
_ oh mademoiselle je suis emmerveillé je n’aurais jamais cru vous etes si ravissante que …
il se laisse fondre sur la fraise bien rose de Brigitte et la suce comme une friandise.
_ Tati, sort de ta cachette ! Je crois que Robert à tres envies de nous prendre toutes les deux ! N’est ce pas Robert ?
Gertrude pointe le bout de son nez et decouvre avec plaisir que Brigitte n’a plus a se cacher devant Robert … et d’un se dit elle !
Elle monte sur la table en 69 au dessus de Brigitte. Gertrude est au paradis, deux bites dans la bouche et une langue agile dans la chatte, le tout rehaussé par le parfum des pieds de Brigitte qui continuent de branler Robert qui ne tarde pas à balancer sa purée dans un rale orgasmique.
_ ouh mes dames, j’aurais aimais etre plus efficace !
_ ne vous inquietez donc pas Robert, le rassure Gertrude, vous sentez vous heureux ?
_ oh bah oui ! Alors, je suis ravi de votre charmante compagnie.
_ quel charmeur !! s’exclame Gertrude en s’essuyant la bouche encore maculé du sperme de Robert.
Brigitte fait la boudeuse et Gertrude le remarque.
_ qu’est ce qu’il y a ma cherie ?
_ moi aussi j’aurais bien voulut gouter son jus !
Robert eclate de rire, _laisse moi cinq minute à renifler le cul bien ouvert de ta tantine en me sucant le bout et tu auras ta dose ma jolie ! Et si tu en veux encore plus j’ai beaucoup d’amis qui on aussi pleins d’amis si tu vois ce que je veux dire… je peux vous apporter sur un plateau d’argent des fontaines de foutres !
_ oh oui, Robert ! Repondent en coeur les deux co-pine.
Gertrude presente son cul à Robert qui lui bouffe tellement profondement qu’elle a l’impression que son cul est à l’envers.
Sous la table Brigitte suce ardemment la bite bien ferme de Robert qui ne tarde pas lacher sa purée bien epaisse dans la bouche de Brigitte.
_ hum c’est trop bon ! Dit elle en etalant le foutre tiede sur ses levres avec le gros pinceau de Robert.
_Alors ? Je te l’avais bien dis ma cherie.
Brigitte se releve et semble rassasiée de ce festin juteux, elle rechausse ses mules et depose un tendre baisé sur la rondelle encore bien ouverte de Gertrude.
_Elle a l’air d’avoir son compte ! Dit Brigitte à Robert, ne vous en faites pas je vais bien m’occupé d’elle, je vais allé la border car elle travaille demain !
_Oui tu as raison d’ailleur moi aussi je dois me lever demain. Dit il en se dirigeant vers l’entrée pour récupérer ses affaires.
_Je vous remercie encore pour cette delicieuse soirée et j’espere que nous aurons le plaisir de nous revoir rapidement et pourquoi pas chez moi avec quelques amis en plus …
_ oh oui ! Qu’elle delicieuse idée ! Lance Gertrude en descendant de son perchoir et tentant de se redonner bonne figure.
_ Au revoir mes douces, faites de beaux reves !
La porte se referme sur Robert.
_ Tu veux bien dormir avec moi ? Demande Gertrude, Je n’ai pas envie de me reveiller dans un lit vide demain, apres la soiree que nous venons de passer !
_ Mais bien sur, tatie, je monte tout de suite, le temps d’eteindre en bas et de remettre un peu d’ordre.
_ Tu es decidement adorable, je ne vais plus pouvoir me passer de toi !
Brigitte rougit un peu et sourit en tournant les talons vers le salon d’un pas tout legé et le coeur comblé.