Le dressage de ma mère 13

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Le dressage de ma mère 13Le lendemain matin, je fus réveillé par une bouche qui m’aspirait.En ouvrant les yeux, je vis Caroline en train de me pomper consciencieusement.- Qu’est-ce que tu fais là ?- C’est ma mère qui m’a demandé de la remplacer pour votre réveil.- Va la chercher immédiatement !Caroline se leva et quelques secondes plus tard, elle revenait dans ma chambre avec Patricia qui venait de s’habiller, à son bras.- Dis-donc toi, quand je donne un ordre, je veux qu’il soit respecté. Pourquoi n’as-tu pas fait le réveil matin ?- Mais monsieur, j’ai pensé que ma fille pourrait me rempla…- Tais-toi ! Monte sur le lit et viens sucer immédiatement !Patricia baissa les yeux et vint s’installer entre mes jambes.- Et tu as intérêt à y mettre du coeur, ta fille et moi allons discuter de ta punition.Patricia commença à me lécher et à gober ma queue.- Alors, Caroline, tu préconises quoi comme punition ?- Malgré tout ce que vous lui faites faire, ma mère reste assez timide et coincée. Je pense qu’une bonne sodomie en public pourrait la remettre à sa place.- Oui, cela dépend du public. Je pourrais par exemple envoyer la vidéo où elle fait la truie à quelques uns de ses couples d’amis.- Ompff, ompfff, nooon, pas ça, je vous en supplie, pas ça, dit Patricia avec ma queue à moitié dans la bouche.- Tu te tais et tu suces ! Excuse-toi ! – Mfoui, monpfieur, mje m’excfusme ! dit-elle en reprenant sa pipe.- Regarde moi quand tu suces ! Allez, applique-toi, je veux que tu me montres que tu aimes ça.Patricia, certainement mue par l’excitation de la peur de sa punition commença à me lécher et pourlécher le gland.Elle s’appliquait à me faire bander pour tenter de m’amadouer. Elle me regardait et dit- Comme ça, monsieur, je fais bien ma pute ? Désirez-vous que je vous lèche le cul ?- Continue et tais-toi, et tu as intérêt à tout avaler si je te jouis dans la bouche !Je réfléchissais à la meilleure punition à lui donner. Je dis à Caroline.- Bon, aujourd’hui, pour son coup de bite de 14h, ta mère le prendra dans le cul. Ce soir, Eric vient manger à la maison, je pense qu’on la filmera et qu’on postera la vidéo.- Ommpff, non, s’il vous plaît, pas ça, c’est trop humiliant, si quelqu’un me reconnaît ? Supplia Patricia- Tu désobéis à nouveau ? Bien, ce sera une cam en live, et tu te feras enculer à la demande !Patricia n’osait plus objecter.- C’est très bien, monsieur, dit Caroline, mais je trouve la punition peu sévère.- Regarde comme ta salope de mère fait des efforts. N’est-ce pas Patricia que tu vas faire ta bonne petite cochonne.- Hmmm, hmmmm, dit Patricia, ma queue dans la bouche en clignant des paupières en signe d’acceptation.- Bien, maintenant Caroline, tu vas me branler et je vais jouir dans la bouche de ta mère. Patricia, prends mon gland dans la bouche et aspire.Caroline obtempéra et je ne tardai pas à jouir.- Aaahh, c’est bieeeen mes cochonnes, Patricia, ne laisse pas déborder une goutte, une fois que tu auras bien tout avalé, descends bien sur ma queue. Voilàààà, tu es une bonne pute.Patricia avala tout et attendais mes ordres.- Ce n’est pas tout ça, va t’habiller et appelle ton mari qu’il vienne nous chercher pour aller au bureau.- Il est déjà là, monsieur.Je sortis de ma chambre et trouvai effectivement Richard debout dans le salon.- Salut Richard, ta femme s’améliore, elle suce de mieux en mieux et elle avale comme une cochonne.- Bonjour monsieur.- Voyons, Richard, dis bonjour à ces deux salopes.- Bonjour- Bonjour qui ?- Bonjour les salopes.- Bien, va dans la voiture et direction le bureau.- Bien monsieur.Nous arrivâmes au bureau et je me mis à travailler. La matinée fut remplie et je sortis seul pour déjeuner. À mon retour, vers 13h00 j’appelai Richard. Il arriva quelques secondes plus tard.- Dis-moi Richard, cette Micheline de la comptabilité, ça fait longtemps que tu la baises ?- Deux ans monsieur.- Tiens, lui dis-je, tu vas prendre cette caméra et la poser sur ton bureau. Quand je te le dirai, tu l’appelleras et tu la baiseras comme tu le fais habituellement après l’avoir allumée. Tu me passeras un coup de fil pour me dire à quel moment ça commence. – Bien monsieur.Richard repartit avec la caméra et j’attendis. Quinze minutes plus tard, il m’appela. Je vis sur mon écran ladite Micheline entrer dans le bureau de Richard. Elle ferma la porte derrière elle et commença à se déshabiller. Richard était debout au milieu de la pièce. Elle s’agenouilla devant lui et commença à sortir sa queue et le sucer goulûment.Puis, il commença à la pénétrer en levrette. C’est à ce moment là que je décidai d’entrer dans son bureau dont j’avais la clef.J’ouvris la porte sans bruit et je fis semblant de les surprendre.- Eh bien, on s’amuse bien ici, on dirait ?Micheline se leva d’un bond en essayant de cacher son sexe et ses énormes mamelles.Richard, quant à lui remonta son pantalon.Micheline était tétanisée. Rouge comme une pivoine, elle se hasarda – Exc.. excusez excusez moi, je je suis… je suis désolée…- Rhabillez-vous et je vous attends dans mon bureau. Richard, viens avec moi.Richard me suivit et nous attendîmes Micheline dans mon bureau.- Mon cher Richard, j’ai baisé ta femme, ta fille, ta bonne et je crois que je vais me taper ta maîtresse.Richard ne dit rien, il savait dès le début que nous allions en passer par là.- On frappa à la porte du bureau- Entrez !Micheline s’était rhabillée et entra, penaude, sans oser rien dire. Elle se plaça face à moi.- Asseyez-vous Micheline. Nous avons quelques explications à avoir.- Je suis désolée monsieur Serge, cela ne se reproduira pas.- Votre mari est-il au courant ?- Non monsieur.- Ma chère Micheline, je veux maintenant être au courant de tout ce qui se passe dans cette entreprise. Depuis quand dure la relation avec Richard ?- Depuis environ deux ou trois ans- À quel rythme ?- Eh bien, c’est à dire que…- À quel rythme ?- Tous les jours- De mieux en mieux. Voyez-vous Micheline, j’ai trois options. La première est de vous virer, la seconde est de me débrouiller pour que votre mari soit au courant, la troisième enfin est que vous ne me cachiez rien.- Oui, je comprends monsieur, évidemment c’est la troisième solution que je préfère.- Je ne sais pas si vous avez bien compris. TOUT ce qui se passe ici doit m’être rapporté. – Oui monsieur, c’est d’accord.- Richard, va fermer la porte.Richard obtempéra et verrouilla la porte de mon bureau.Micheline me regardai et compris qu’il allait se passer quelque chose.- Bien, dis-je, quand je dis tout, c’est tout, y compris vos frasque avec l’ancien directeur ici présent.- Euh mais je.. je ne comprends pas… vous ne voulez tout de même pas dire que..- Si, Micheline, c’est à prendre ou à laisser. Je veux voir ce que vous faites au bureau.- Mais non, c’est impossible, je ne pourrai jamais.. devant vous.. c’est imposs…- Bien, Richard, va ouvrir la porte. Je vais devoir choisir une des deux autres solutions.- Nooon, non, je vous en prie. Non s’il vous plaît.- Alors ?- C’est d’accord, mais je suis terriblement gênée- Ne vous inquiétez pas pour ça, Micheline, je vais vous dire quoi faire.- Je… je .. je vous écoute.- Vous allez vous lever et vous déshabiller puis Richard reprendra là où je vous ai surpris.- Ici ? Dans votre bureau ?- Oui, c’est bien ici que Richard vous sautait avant, non ? Allez, mettez-vous debout au milieu de la pièce et mettez-vous entièrement nue.Micheline s’avança au milieu de la pièce. Étonnamment, sans cesser de me regarder, elle ôta sa chemise et son soutien gorge, puis fit glisser sa jupe et sa culotte. Elle se cachait les seins et le sexe.- N’ayez pas honte, Micheline, à toi Richard, je veux te regarder baiser ta maîtresse. Quant à vous, Micheline, mettez-vous en position.Elle continuait de me regarder et se mit à quatre patte. Richard bandait déjà. Il sortit sa queue et pénétra Micheline qui poussa un petit cri.Il la besognait consciencieusement et profondément. Elle avait l’air d’aimer ça et s’agitait de plus en plus.Je restai assis à mon bureau et la situation commençait à m’exciter sévèrement.Les gros pis de Micheline dansaient au rythme des coups de bite de Richard.- Faites ce que vous avez l’habitude de faire, ne trichez pas.Ils durent penser que j’avais déjà filmé leurs ébats et Richard s’enhardi à la fesser et à jouer avec son trou du cul. M’adressant à Micheline je dis.- Micheline, Richard ne vous prend que comme cela ?- No.. non… aaaah.. non monsieur, des fois il… il me prend.. par… par derrière- Allons Richard, montre moiRichard sortit sa queue et attrapa Micheline par les cheveux. Il lui enfourna sa bite dans l’anus. Micheline me regardait toujours, les yeux à présent mi-clos.- Aaaaah, ouiiii, cria-t-elle- Alors Micheline, c’est bon de se faire mettre comme une chienne ?- Ouii, ouiii, ouiiiiiiiiElle se mit à trembler et fut parcourue de spasmes.Richard se mit à grogner de plaisir et déchargea sur ses fesses.À présent, tous les deux me regardaient.- C’est parfait, vous pouvez vous rhabiller. Je vous interdis désormais de baiser au bureau sans que j’en sois averti.Ils ramassèrent leurs vêtements et sortirent de la pièce. Au moment de sortir, Micheline se retourna vers moi et me lança.- Merci monsieur.Je lui fis signe de revenir vers moi par un geste de l’index et, m’approchant Escort de son oreille, je lui murmurai- Un jour, tu danseras sur ma bite comme une pute.Elle rougit et, à son tour, me glissa- Je le crois aussi, monsieur.Puis elle se retourna et sortit du bureau.Quelques minutes plus tard, j’étais encore excité et je vis l’heure. Je téléphonai à Richard et lui demandai de venir dans mon bureau.- Oui monsieur ?- Alors ? Elle en pense quoi ?- Elle est encore un peu sous le choc, mais je pense qu’elle a apprécié. Micheline est assez exhibitionniste et ce genre de séance n’est pas faite pour lui déplaire.- Tu l’as déjà partouzée- Non, j’ai essayé une fois mais je crois qu’elle n’était pas prête. Maintenant un cap a été franchi.- Sa spécialité ?- Elle suce parfaitement et adore m’être soumise.- Parfait, elle m’obéira- Je n’en doute pas. Elle m’a confié avoir été très excitée, d’ailleurs, elle a joui plus rapidement que d’habitude.- Bien, il est 13h58, dans deux minutes, j’attends une visite.Richard s’assit en face de moi.- Tourne ta chaise, et regarde.Richard tourna sa chaise vers le milieu de la pièce. On frappa à la porte.Patricia entra et amorça un mouvement de surprise. Je lui indiquai silencieusement de continuer.Je dis à Richard- Regarde bien, ce que fais ta salope de femme tous les jours à 14hEn baissant les yeux, elle ferma la porte à clef puis vint à la fenêtre pour fermer les rideaux.Enfin, elle se mit à quatre pattes au milieu du bureau, devant son mari et me dit.- Il est 14h, monsieur, je viens pour mon coup de queue.Joignant le geste à la parole, elle releva sa jupe et écarta son cul de manière obscène.Je me levai de mon bureau et m’adressant à Richard je dis- Il ne serait pas juste que tu n’assistes pas à la punition de ta femme. Elle prend son coup de bite à 14h mais, comme ce matin elle a été désobéissante, elle va se faire enculer. N’est-ce pas Patricia ?- Oui monsieur- Explique à ton mari, et mets-y la forme, sinon la punition sera doublée.- Je n’ai pas sucé monsieur ce matin pour le réveiller, je vais donc me faire prendre par le cul comme la dernière des putes.- Tu vois, Richard, ta femme est une bonne salope domestique. Allez, cambre-moi tes fesses cochonne.Patricia , cambrait en écartant ses fesses. Je lui crachait sur l’anus et lui dit. – Allez, demande- Enculez-moi monsieur, mon mari va regarder sa femme se faire prendre des coups de bite dans le cul. Regarde Richard, c’est à cause de toi que je suis en train d’attendre une queue dans mon cul de salope.- Parfait, allez Patricia, on se laisse enculer comme une bonne puteJe rentrai ma queue dans son cul qui l’accepta sans résistance, puis, saisissant ses fesses, je repoussais ses mains afin qu’elle se mette à quatre pattes.- Regarde Richard comme ta femme est devenue un garage à bites en quelques jours.Je continuai à la besogner quelques minutes. Elle criait un peu, et l’on sentait bien que le plaisir y était pour quelque chose.- Allez, bouge tes fesses, et att**** mes couilles, je sens que je vais jouir.Patricia passa son bras entre ses cuisses et commença à malaxer mes couilles.- Richard, à ton avis, je jouis dans son cul, sur son dos ou dans sa bouche ?- Le cul me paraît plus approprié.- Tu as raison. Patricia, on va écouter ton mari, je vais te jouir dans l’anus. Presse bien mes couilles, aaaah, aaaah !!!Je venais de décharger une bonne dose de foutre dans les fesses de Patricia.Elle se rhabilla et alla chercher une serviette humide et chaude et vint me nettoyer la queue.- C’est très bien, cochonne, tu fais de mieux en mieux ton travail de pute de bureau.Je revins m’asseoir et leur dit – Sortez, maintenant, j’ai du boulot.Je mis mon fauteuil en position détente et fit une petite sieste.Après avoir dormi, je continuai à travailler jusqu’au soir.Richard fit son travail de chauffeur et je décidai d’abord de passer chez lui, qui était devenu, de fait, chez moi.En arrivant, je vis Maria qui sortait. Je lui demandai de rentrer quelques instants.J’intimai l’ordre à Patricia d’aller chercher quelques affaires. Elle allait encore me servir de vide-couilles pour la soirée.- Dites-moi Maria, vous travaillez ici tous les jours ?- Oui monsieur- Bien, désormais, vous partagerez votre temps entre ici et chez ma mère.- Bien monsieur.- Vous obéirez à ma mère comme à moi même- Oui monsieur.- Ah, dernier détail, je vous retire pour l’instant les primes que Richard vous donnait. Il faudra les mériter- Mais monsieur ?- Vous dissimuliez de l’argent pour cet escroc. Maintenant, pour avoir vos primes, il faudra les mériter.- Mais ? C’est que nous sommes à la fin du mois et je pensais..- Venez demain matin chez moi, nous en reparlerons.- Bien monsieur- Et pas de culotte, Maria, compris ?- Oui monsieurNous repartîmes vers la maison. En arrivant, je trouvai ma mère dans le salon- Bonsoir gros cul- Bonsoir monsieur- La petite pute est là ?- Oui monsieur, elle est en train de s’habiller- Parfait, tu n’as pas oublié qu’Eric vient manger ?- Bien sûr que non, je viens de l’avoir au téléphone, il sera là dans un quart d’heure.Je dis à Patricia- Tu vas venir me laver, allez, hop, au boulot.Je passai dans ma chambre, me déshabiller. Patricia m’attendait sous la douche. Sans rien dire, elle commença à me laver, s’attardant sur ma queue et me savonnant partout, puis, elle me sécha et sortit de la salle de bains sans un mot.Une demi heure plus tard, on sonnait à la porte.Laurence ouvrit la porte et Eric entra avec Christine, sa mère.- Bonjour Eric comment allez-vous ?- Salut gros cul. Toujours aussi bandante ?- Oh monsieur Eric, vous me flattez.J’arrivai vers eux- Salut Eric, comment tu vas ? smack- Hello frérot, plutôt bien. Alors, tu t’en sors avec toutes ces femelles ?- Oui, mais tu sais qu’elles t’appartiennent aussi. Nous sommes associés.- Ça tombe bien que tu viennes, je ne sais plus où donner de la bite.- Avec plaisir, si je peux t’aider.- Viens, allons manger et on discutera du cheptel après.- Ça tombe bien, j’ai faim.Nous nous installâmes à table pendant que les quatre femmes faisaient le service. Ma mère avait affublé Caroline et sa mère de tenues de soubrettes qui nous servaient les plats et se tenaient à disposition. Laurence et Christine étaient vêtues de robes très moulantes et très courtes qui nous permettaient de la palper à notre guise pendant le repas. J’appelai Christine et lui ordonnai de montrer ses fesses. Elle s’exécuta et tout en détaillant son cul je dis à Eric- Ta mère a un très beau cul. J’espère qu’elle est bien docile.- Oui, tu l’as bien dressée. Elle s’améliore de jour en jour mais n’est pas à l’abri de quelques bévues. Elle ne parle pas encore assez à mon goût.- Ah bon ? Dis-moi, vide-couilles, qu’est-ce que tu aimes qu’on te fasse ?- J’aime me prendre des coups de bite, monsieur- Mais encore ?- J’aime quand on me traite comme la dernière des putes- Eric t’encule suffisamment ?- Oui monsieur- Eh bien, raconte..- Mon maître aime me punir lorsque je ne lui donne pas assez satisfaction. Il me fait mettre à quatre pattes sur mon lit et vient m’enculer avant d’aller dormir. A chaque coup de queue je dois lui dire merci et il termine en m’éjaculant sur le visage.- Ah, tu vois Eric que ta mère peut être loquace.- Oui, c’est marrant, j’ai l’impression qu’elle se lâche plus avec toi. Et gros cul, toujours aussi salope ?- Oooh que oui. Je lui ai confié Caroline pour la journée, à mon avis elle n’a pas dû s’ennuyer.Après manger nous discutâmes de la suite des actions à mener pour gérer la société que nous venions de récupérer.Je demandai à Eric si sa mère avait apporté son matériel d’épilation.J’envoyai Christine dans la chambre de ma mère pour préparer Patricia.Eric me dit- Et gros cul ? tu ne l’épiles pas ?- Si, elle est passée au magasin de ta mère dans la journée avec Caroline. Le résultat est impeccable.- Viens ici, Caroline et montre-moi ta chatte.Caroline se présenta devant Eric et souleva son petit tablier.- Hmmm, c’est tout lisse, tourne-toi que l’on voit ton cul et penche toi.Sans faire de manières, Caroline se pencha et écarta ses fesses, laissant apparaître sa petite étoile fraîchement épilée.- Toi, ma petite cochonne, il faut que je te défonce ce petit orifice avant de partir.- Tu veux l’emporter chez toi ?- Ah, c’est très gentil. Mais pour ne rien te cacher, j’ai surtout envie de me faire ta mère. J’y pense depuis deux jours.- Aucun problème, je te la prête jusqu’à samedi, tu en feras ce que tu veux. N’est-ce pas gros cul ? Tu vas aller chez Eric pour lui servir de pute domestique.Ma mère baissa la tête et répondit- Bien monsieur.Nous continuâmes à discuter pendant que Christine était sortie pour épiler Patricia.- J’attends que ta mère ait terminé d’épiler Patricia, elle a été désobéissante ce matin.- Ah bon, et tu as prévu quoi comme punition ?- Elle va être exhibée en train de se faire enculer sur une cam d’un site porno.- Excellent : Si je peux aider- Evidemment, j’aurai besoin de tes services.- Avec plaisir. Cette pute est très excitante avec ses airs de bourgeoise coincée.- Tu viens chez Jacques et Solange pour la vente aux enchères ?- Bien sûr, je ne veux pas rater ça.- Je vais mettre les deux putes en location pour un week end. J’espère qu’elles nous rapporteront un bon prix.- Tu viens avec Escort Bayan gros cul ?- C’est toi qui l’amènera directement.- Ah oui, c’est vrai. J’ai hâte de l’avoir à la maison, je sens que je vais me régaler.- Ma mère est à toi jusqu’à samedi. C’est ton esclave de queue. Tu en fais tout ce que tu veux.- hmmm, je vais me régaler. Tu peux lui demander de nous exhiber ses gros seins.- Mais ne te gêne pas, frérot. Demande le lui toi-même et sur le ton qui te convient. Cette bonne chienne est là pour obéir. N’est-ce pas gros cul ?- Oui monsieur.- Eh bien, dis-le à Eric- Monsieur Eric, je suis à votre disposition. Utilisez-moi comme une bonne chienne soumise, comme vous l’a dit Serge.Eric reprit.- Adolescent, je me branlais en pensant à ta mère. J’adorais imaginer ses gros seins laiteux au travers de ses robes moulantes. Je n’aurais jamais imaginé qu’elle puissr être un jour mon esclave sexuelle.- Et tu imaginais quoi ?- Souvent, je l’imaginais en levrette, son gros cul en face de moi et ses deux pis qui ballottaient. Comme elle était plutôt sévère, j’avais pas mal de fantasmes de domination sur elle.- Eh bien, on passe du virtuel au réel. Ne te gène pas, Elle est toute à toi.- Je peux ?- Evidemment, frérot, ça me fait plaisir de la voir se faire dresser par mon pote. Ordonne, elle obéira. Allez, gros cul, au pied, face à Eric et tu répètes “Je suis votre pute soumise, et je vais vous obéir comme une bonne chienne bien dressée”Ma mère se plaça face à Eric et répéta.- Je suis votre pute soumise, et je vais vous obéir comme une bonne chienne bien dressée.- Ah tu vois, Eric, allez, fais en ce que tu veux. Toi, Caroline, viens me sucer, je vais regarder ce qu’Eric va faire de ma mère.Caroline vint se mettre à genoux sur le canapé et commença à me lécher la queue. J’en profitai pour lui caresser la croupe et introduisit un doigt dans son cul.- C’est bien ma grande. Allez, descends bien sur ma queue. Eric je t’en prie, sers-toi. Lui dis-je en indiquant gros cul.- Hmm merci, je sens qu’elle va prendre, hein gros cul ?- Oui monsieur- Sors nous tes gros pis, salope, j’ai envie de les voir bouger.Ma mère obtempéra et fit jaillir ses mamelles. Eric continua :- Bien salope, quand je te donne un ordre, tu réponds, soit “oui maître”, soit “oui monsieur” et tu commentes l’action. Tout manquement à l’ordre te verra affublée d’une gifle, d’une claque sur tes grosses fesses ou d’une bite dans le cul. Compris ?- Oui maître- Serge m’a dit que tu avais eu un amant ?- Oui monsieur, j’ai eu un amant- Tu l’as sucé ?- Oui monsieur, je l’ai sucé.- Raconte..- Je l’ai sucé plusieurs fois dans sa voiture et une fois à l’hôtel.- Il t’a enculée ?- Non maître, je ne voulais pas, mais il m’a baisée en levrette plusieurs fois et j’ai avalé son foutre comme une bonne salope.- Qui t’a enculée en premier ?- C’est mon fils monsieur, pour me punir d’avoir eu un amant. C’était la première fois que je prenais une bite dans mes grosses fesses.- Ça t’a plu ?- Non monsieur, pas au début. J’ai trouvé ça trop humiliant de me faire enculer par mon fils, puis j’ai trouvé ça rapidement très excitant.- Tu te masturbes souvent ?- Oui monsieur, presque tous les joursAu fur et à mesure de la conversation, je voyais ma mère serrer les jambes de plus en plus. De toute évidence, elle prenait du plaisir à se voir ainsi questionner. Caroline continuait de me pomper généreusement tandis que je lui flattait la croupe, introduisant parfois mon doigt dans son cul, ce qui avait pour effet de la voir enfoncer ma queue profondément dans sa bouche tandis qu’elle poussait de petits cris à peine audibles.Eric poursuivit- Enlève le reste que l’on admire ton gros cul.- Bien monsieur, dois-je me retourner pour bien les écarter devant vous ?- Evidemment, cochonne, allez, à poil, et vite !Ma mère fit tomber sa robe et se pencha en avant pour nous montrer son anus.- Voilà, est-ce que monsieur voit bien ou dois-je me rapprocher ?- Non, tourne-toi. Tu vas te branler devant nous et nous dire ce qui t’excite le plus.Laurence se retourna et commença à frotter sa main sur sa chatte.- hmmm, dit-elle, c’est bon monsieur, je commence à mouiller comme une salope.- Ce n’est pas ce que je t’ai demandé. Dis-nous ce qui t’excite- Et bien, monsieur, j’adore qu’on m’insulte comme vous le faites. Je pense souvent à me faire prendre par des queues devant mon fils et le sucer en m’excusant et en lui demandant de me punir.- Et qu’est-ce qui t’a le plus excité depuis que tu es soumise ?- Hmmm, la soirée chez Jacques et Solange, quand Fatou m’a promenée au milieu des invités et quand monsieur Serge m’a présentée comme une pute à baiser.- Et ?- J’ai aimé quand vous m’avez prise en double, une queue dans chaque orifice et quand…hmmm… oooh… ouiii- Quand quoi ? parle et branle toi, grosse cochonne.- Quand Patricia a été obligée de faire la truie hmmm.. oooh… s’il vous plaît, j’ai… j’ai envie d’une queue…- Et faire la pute avec ma mère, tu aimes ça ?- Ouii, oui, j’adorerais que vous nous fassiez faire les truies, c’est si bon et si dégradant… s’il vous plaît, je n’en peut plus, j’ai envie d’une bonne queue..- Allez, approche et lèche, interdiction de sucer tant que je ne t’en ai pas donné l’ordre.- Merci monsieur, je vais vous lécher comme une bonne pute à quatre pattes.Gros cul, s’approcha d’Eric et se mit à genoux devant lui. Sans cesser de le regarder, elle empoigna sa bite et se mit à lécher, langue sortie, des couilles jusqu’au gland.- hmmm, c’est bon monsieur, j’espère que mon fils apprécie de voir sa mère se régaler d’une bite.- C’est très bien, cochonne, puisque tu veux de la queue, tu vas me bien cambrer tes grosses fesses et Serge va te bourrer le cul. Seulement à ce moment là tu auras le droit de sucer.- Hmmm, merci maître, voilà, regardez, je cambre bien, j’attends mes coups de bite.Je me levai et dit à Caroline.- Lèche moi cette pute que je l’enfile comme elle le mérite.Eric attrapa Laurence par les cheveux et Caroline commença à la lécher. Ma mère exultait. Elle commençait à gémir de plus en plus fort. Caroline, sortit son visage des fesses de Laurence et me dit- Monsieur, je pense que votre mère est prête pour de bons coups de bite.Je repoussai Caroline et, me plaçant derrière ma mère je lui dis.- Demande, salope.- S’il vous plaît, monsieur, bourrez-moi bien fort, tringlez-moi comme une salope, je ne mérite que ça.J’enfonçai ma queue en l’attrapant par ses grosses fesses. Eric lui dit alors- Allez, Laurence, descends sur ma queue, tu l’as bien méritée.Elle engouffra la bite d’Eric dans sa bouche en gémissant de plus belle. J’en profitai pur la fesser.claaaack- Allez, salope, suce comme une chienne, mieux que ça, et cambre moi ton gros cul ou je t’encule.- hmmmm, mpppff, mmmmpfMa mère engoufrai la queue d’Eric avec délectation et remuai son gros cul en cadence. Comme pour me demander de la prendre par le cul, toujours avec la bite d’Eric en bouche elle écarta ses fesses comme une invitation, laissant apparaître sa petite rondelle rose et étoilée.ClaaackUne autre claque sur ses fesses et je lui dis- C’est très bien, gros cul, tu es une bonne esclave de queue. Eric, dis-moi si elle suce mieux quang on la baise ou quand on l’encule.- Vas-y, répondit Eric, encule bien ta mère, montre lui comment une bonne salope comme elle doit se faire mettre.Je sortis ma queue et commençai à l’appliquer sur le cul de Laurence. J’enfonçai peu à peu ma bite, lentement, pour aller la pénétrer jusqu’à ce que mes couilles tapent sur sa chatte.Pendant que ma queue s’enfonçait, gros cul poussa un cri de plaisir strident qui venait du fond de sa gorge. Elle essayait de couiner comme une truie, la bite d’Eric remplissant sa bouche.Eric lui maintenait la tête l’obligeant à une gorge profonde.- Aaaah oui, effectivement, on sent la pute qui aime se faire dresser, je sens sa langue bouger sous ma queue pendant que tu l’encules. Défonce cette salope, s’il te plaît, j’adore savoir que ta mère me suce en se faisant défoncer le cul.Je commençais à donner de grands coups de queue amples et lents, qui allaient du gland jusqu’à la base des couilles, quand Christine arriva, suivie de Patricia qui venait de se faire épiler.- Vous tombez bien, les cochonnes, dis-je, regardez ce que gros cul est obligée de se prendre en vous attendant. Patricia, montre nous comment tu t’es fait épiler.Patricia leva son petit tablier de soubrette et nous exhiba une petite chatte bien épilée.- Tourne toi et montre nous le reste.Bien obéissante, Patricia se tourna et écarta son cul.- Tu as bien travaillé, vide-couilles, dis-je à Christine qui répondit.- Merci monsieur- Pour la peine tu vas te faire lécher par Caroline. Mets-toi à poil, assieds-toi sur le canapé les jambes écartées, la petite pute va te bouffer la chatte.- Merci monsieur, répondit Christine. Elle fit ce que je lui ordonnai et Caroline commença son travail.Je me retirai du cul de ma mère et dit à Patricia.- À nous maintenant, tu sais ce qui t’attends ?- Oui monsieur, je dois être punie.- Tu sais pourquoi ?- Oui, je n’ai pas fait le réveil matin. dit-elle en baissant les yeux.- Bien, tu vas être filmée et diffusée sur un site porno. Si tu ne fais pas bien la cochonne, je montre ton visage.- Noon, s’il vous plaît, je ferai tout Bayan Escort ce que vous voudrez, mais ne diffusez pas mon visage, je vous en supplie.Je dis à Eric- Tu veux bien m’aider à punir cette chienne ?- Avec plaisir, tu as prévu quoi ?- Elle n’a jamais été prise en double, je pense que ça devrait suffire. Nous allons la filmer pour sa première double pénétration et on titrera “Mature punie en DP”, tu en penses quoi ?- hmmm, oui, ça peut être assez bien.Je donnai une claque sur les fesses de ma mère qui continuait à pomper Eric.claaack,- Debout cochonne et va chercher la caméra, c’est toi qui va filmer.- Bien monsieur, répondit gros cul en retirant sa bouche de la queue d’Eric, mais je ne sais pas si je vais savoir comment…- Tais-toi. On ne discute pas. Si tu filmes mal, je te ferai enculer par Richard et je diffuse le film- Non, s’il vous plaît, je vais m’appliquer.- Allez, file chercher la caméra.Je pris un feutre et dis à Patricia.- Viens ici, toi, qu’on écrive sur ton cul ce qui t’attends.Patricia vint vers moi, je l’attrapais par les épaules et la fit tourner et se pencher.- Alors, ma salope, on écrit quoi ?- Je ne sais pas, monsieurClaaack- Je te préviens que si tu ne choisis pas les bons mots, j’écris ton prénom, ton nom et ton N° de téléphone.- Non, non, non, s’il vous plaît écrivez euuuh..- Alors j’écris quoi ?- Euh, oui, voilà, je sais… grosse pute punie et prise en double.- Pas malJ’écrivis sur ses fesses “je suis une pute punie en double”Gros cul était revenue avec la caméra.- Bien, gros cul, tu vas filmer le cul de cette chienne. Eric, tu préfères sa chatte ou son cul ?- Elle va s’asseoir sur ma queue, j’aime bien, et je pourrai voir sa tête au moment où tu l’enculeras.- Parfait, Eric, allonge-toi par terre, nous allons commencer. Toi, gros cul, tu restes bien à filmer son cul. Quant à toi, Patricia, j’attends que tu commentes avec des mots choisis, à chaque claque sur ton cul, tu commentes l’action.- Mais monsieur, on va reconnaître ma voix.- Peut-être, mais tu préfères peut être qu’on voit ton visage ?- Non, non, non, monsieur, non, je vais être obéissante et je commenterai bien l’action, vous ne serez pas déçu.- Parfait salope. Tu exposes bien ton cul. Allez gros cul, “moteur !”Ma mère commença à filmer les fesses de Patricia sur lequel on pouvait lire “je suis une pute punie en double”. Je donnai une claque sur le cul de Patricia : Claaack !Patricia commença.- Je suis une grosse pute. J’ai désobéi à mon maître et, comme punition, je vais me faire mettre par deux bites.Elle écarta ses fesses et commença à s’empaler sur la queue d’Eric. Elle poursuivit- Voilà, je m’assois bien, comme une salope, oooh, aaaah, une bonne queue dans ma chatteElle commença à onduler sur la queue d’Eric. Ma mère se tenait avec la caméra, filmant les fesses de Patricia qui montaient et descendaient sur la bite d’Eric. Patricia s’efforçait de gémir de la manière la plus excitante et ponctuait les va et vient sur la queue d’Eric par “des oooh oui, la bonne bite.”Je donnai une autre claque sur ses fesses. Elle mit ses mains dessus pour bien les écarter. On pouvait voir sur le film, son anus qui était prêt. Après la claque, elle recommença, en bonne esclave obéissante à parler.- Voilààà, je suis bien baisée et maintenant je vais m’en prendre une autre dans le cul. C’est ma première fois et j’attends ma punition comme une bonne salope. Allez, qu’on m’encule comme la dernière des putes.Je m’installai derrière elle, et commença à poser ma queue sur son anus. Patricia tremblait un peu, mais continua à cambre son cul pour que je m’y installe. Ma queue rentra doucement et longtemps. Elle bascula jusqu’à s’allonger sur Eric et commença à hurler- Làààà, bien enculée, comme la dernière des salopes, j’espère que tout le monde voit bien comment une truie comme moi se fait punir. Deux queues… aaaah, elles sont grosses…. Allez-y bourrez moi comme je le mérite. J’ai été une petite salope désobéissante. Je suis une mère de famille qu’on baise et qu’on encule. Si je ne suis pas sage, la prochaine fois, tout le monde pourra voir mon visage de salope. Aaaaah, ouiii, les bons coups de bite dans le cul.Je tringlai Patricia maintenant sans retenue, ma bite allant et venant dans son conduit anal. Elle avait arrêté de parler et grognait maintenant comme une chienne. Quelques minutes plus tard, je la sentis tremble de tous ses membre et elle fut parcourue de spasmes. Une nouvelle claque sur ses fesses et elle continua.- Aaaaah, je vais jouir, je suis une esclave à enculer aaaah ouiii, plus fort, encore, encore lààààà, les bonnes queues, je suis une puuuuuute. Aaaaaaaaaah ouiiiiiiiElle venait de jouir si fort que je sentis son cul serrer ma queue.Je me retirai doucement de son cul et coupai l’enregistrement.- C’est très bien, dis-je, tu as été parfaite.Eric continuai de la pénétrer et lui dit.- Allez, maintenant salope, à quatre pattes, je vais te terminer en levrette. Puis s’adressant à Christine, qui se faisait toujours lécher par Caroline- Regarde bien, ma petite maman, je vais enculer Patricia. Tu vas aller sucer Serge, tu t’es assez fait lécher.Je m’assis dans le canapé et regardai Eric Enculer Patricia, à grands coups. Et je dis à ma mère.- Allez maman, tu vas venir aider Christine, approche, gros cul. Vous allez me vider les couilles toutes les deux. Quant à toi, Caroline, tu vas venir te faire lécher par ta mère pendant qu’Eric l’encule.- Ah oui, fit Eric, excellente idée. Viens ici, Caroline et oblige ta mère à te bouffer la chatte.Caroline s’approcha, s’allongea par terre et attrapant la tête de Patricia pour l’amener sur sa chatte lui dit.- Allez maman, ne décevons pas nos maîtres, bouffe-moi bien la chatte pendant que monsieur Eric t’encule. Vas-y maman, fais la putain et sors bien ta langue.Patricia, penchée en avant et subissant les coups de boutoir d’Eric léchait copieusement sa fille. Pour ma part, je regardait nos deux mères qui pourléchaient ma queue, chacune gobant tour à tour mon gland.Sentant que je n’allais pas tarder à jouir je dis à Eric- Je crois que ta mère va avaler mon foutre.- Tu peux y aller, elle s’entraîne tous les matins. Tu vas voir, elle est assez douée. Allez, vide couilles, lui dit-il, montre à Serge comme tu es une bonne suceuse.- Gros cul, laisse donc Christine me finir, on va voir comment Eric l’a dressée.Christine empoigna ma bite, le petit doigt en l’air et commença à me branler en gardant mon gland dans la bouche. De l’autre main, elle malaxait mes couilles en cadence, puis elle me regarda. Sa langue s’agitait sous ma queue et je commençai à jouir, lui remplissant la bouche de mon foutre. Je vis sa bouche grossir et ses yeux s’écarquiller. Sans cesser de me branler, elle avala tout consciencieusement.- hmmmpf, hmmmpf fit elle en descendant sur ma queue pour bien la nettoyer.puis elle ajouta- J’ai bien tout avalé, monsieur peut vérifier.Elle tirait la langue pour me prouver qu’elle avait tout pris.- C’est très bien, vide-couilles, Eric t’a très bien dressée. Tu as regardé, gros cul ? prends-en de la graine. Lorsque tu seras chez Eric, j’aimerais qu’il t’apprenne à bien sucer comme le fait sa mère.- Ne t’inquiète pas, dit Eric qui continuait à besogner le cul de Patricia, ta mère saura faire la même chose, ta grosse cochonne de mère m’excite beaucoup, elle sera notre esclave bien docile et servile. N’est-ce pas vide-couilles que tu vas t’amuser avec gros cul ?- Oh que oui, monsieur, j’ai hâte de la voir à l’oeuvre à la maison.Ma mère s’était mis à rougir, ce qui fit beaucoup d’effet à Eric. Il commençait à haleter et éjacula sur le dos de Patricia. Puis il ajouta.- Gros cul, viens lécher mon foutre.Ma mère passait sa langue sur le dos de Patricia et Caroline, les jambes écartées et la bouche de sa mère plaquée sur sa chatte poussa de petits cris et commença à être prise de convulsions orgasmiques.Une fois repus, Eric et moi nous rhabillâmes, interdisant à nos putes d’en faire autant.Nous discutâmes des événements à venir.- C’est à quelle heure, Serge, ce samedi, la vente aux enchères chez Jacques et Solange ?- Vers 20h, j’apporte les deux esclaves, dis-je en indiquant Patricia et Caroline. – Tu crois qu’on en tirera un bon prix ?- J’espère. Dis moi Patricia, tu feras tout ce qu’il faut pour faire monter les enchères, n’est-ce pas ?- Oui monsieur- Quant à toi, Caroline, je compte sur toi pour présenter ta mère comme une bonne cochonne. Vous serez louée pour un week end.- Oui monsieur, il y aura beaucoup de monde ? Dit-elle d’un air malicieux.- Suffisamment, ne t’inquiète pas. Ce n’est pas tous les jours qu’on propose la mère et la fille comme esclaves sexuelles.- J’ai hâte de voir qui va nous acheter dit-elle.- Et moi j’ai hâte de voir la tête que fera ta mère au moment des enchères, hahahaPatricia baissait les yeux.Eric regarda sa montre et me dit.- Bon frérot, je vais y aller, j’emmène gros cul, comme convenu et je te la ramène pour la soirée de samedi. Gros cul, tu mets juste un manteau, prends de quoi t’habiller pour samedi. Tu n’as besoin de rien d’autre, tu resteras à poil à la maison.- Bien monsieur, dit ma mère en passant juste un manteau.Ils sortirent et je restai à la maison avec Patricia et sa fille.- Vous avez très bien baisé les filles, allez vous mettre au lit, je vous rejoins. Patricia, tu feras le réveil matin pour 7h30- Bien monsieur- Et tâche de t’appliquer- Oui monsieur, je vais bien m’appliquer, j’ai regardé comment la maman d’Eric vous suçait, vous ne serez pas déçu.À Suivre

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