la soeur de ma copine!
Cette histoire s’est déroulée il y a un peu plus de 10 ans alors que j’étais étudiant. A l’époque je passais une partie des trois mois de pause estivale chez mes beaux parents qui m’ont accueilli comme un fils. Le mois de juin venait juste de commencé et je n’avais pas grand chose à faire mis à part buller devant la coupe du Monde de foot. En petit ami amoureux, je me levais tôt, en même temps que ma copine qui, elle était dans la dernière ligne droite pré-bac. Elle était d’une beauté sublime: petit brune d’ 1,60m, lèvres fines, des yeux de biche parfaitement mis en valeur par ses 1h de maquillage quotidien , un petit cul à se damner mais surtout, un 95D ferme et juvénile dont j’étais tombé fou dès le jour où, pour m’allumer, elle m’avait pris la main pour les peloter devant la TV, alors que nos potes, devant nous, ne se doutant de rien, mattaient tranquillement le dernier X-Files. Bref, notre histoire avait bien commencé. Inutile de vous préciser que la soirée ne faisait que commencer ce jour là car, quelques heures plus tard, bien aidé par l’alcool, elle m’avait attiré à l’abri des regards où elle m’avait fait une pipe d’enfer en me regardant comme une actrice porno. A ce train là je n’avais pas mis longtemps à jouir la plus extraordinaire quantité de sperme dans sa bouche mais, à ma grande déception, elle avait tout recraché! Mademoiselle n’avalait pas!
Bref, pour ma première copine, les premières semaines s’annonçaient comme l’introduction d’une initiation aux joies du sexe débridé!
Hélas, j’allais vite être déçu! En effet, j’ai vite découvert que ma copine n’était qu’une grosse allumeuse qui, paradoxalement, était vierge et ne prenait plaisir qu’à séduire… quelques caresses coquines, rien de plus! Tu crois que tu vas te la faire… mais non!
Mais je pars en digression…
Levé tôt tous les jours, je m’affalais après le départ de ma copine sur le canapé familial pour mon orgie de foot quotidienne (vive la coupe du Monde en Corée pour le décalage horaire!) étant presque seul! Presque? En fait pas vraiment! Sa petite sœur de 18 ans (ma copine en avais 19) était là ce jour là. Elle était pas trop mal elle aussi. Un peu plus grande, les cheveux noirs avec la frange qui s’arrêtait juste devant ses yeux d’un noir intense. Elle était plus gamine dans sa façon d’être, se couchant toujours avec son nonours, et sous ses éternels survet’ adidas ou elesse, on peut pas dire qu’elle se mettait en valeur! Jusqu’au jour ou je l’ai surprise en train de se déshabiller dans la salle de bain (la porte était légèrement entrebâillée, elle se pensait seule). Sa peau d’un blanc immaculé ses seins bien proportionnés et un petit cul….) Jolie vision matinale quoi!
Toujours est-il que je n’étais pas seul ce matin là mais n’en avais pris conscience que tard dans la matinée. Alors que, profitant de la mi-temps, me m’accordait une pause pipi bien méritée (et oui, la bierre dès le matin, ça pardonne pas!), j’entendis de l’autre côté de la cloison des pleurs étouffés. Je m’approchais alors de sa chambre et je frappais timidement ce qui eut l’effet d’ouvrir la porte. Elle était là, dans sa petite nuisette sage en coton, en boule sur son lit en train de pleurer. Je m’approchais et m’assis près d’elle. Il faut dire qu’elle me considérait comme son grand frère (elles ne sont que deux filles!) et je n’eut pas besoin de beaucoup la cuisiner pour qu’elle me raconte tout! C’était un chagrin d’amour bien évidemment! Une chaudasse de son lycée lui avait piqué son mec et c’était tout un drame… en attendant qu’elle s’en trouve un autre! En bon “grand frère” je la pris dans mes bras pour la conforter. Je sentis alors ses sein nus sous sa nuisette contre mon torse. Ils étaient fermes et doux et sa nuisette, un peu courte, cachait avec difficulté ses fesses menues. En manque à cause des nombreux espoirs de sexe décus, j’eus alors une gaule extraordinaire impossible à contenir par mon caleçon et qui est venue pointer sur son nombril. J’ai alors pensé qu’elle ne s’en était pas aperçu mais entre deux sanglots, je senti sa main s’aventurer bien trop au sud, passer dans l’entrebâillement de mon caleçon, remontant jusqu’à mes boules, les caressant doucement pour ensuite saisir ma queue. Sa main était glacée (ce qui ajouta du plaisir!) et entama un lent va et vient qui me fit instantanément fermer les yeux. Après quelques secondes de ce doux supplice elle entreprit de cesser le câlin et descendit son visage. Elle dégagea mon sexe et le goba avant même que je ne puisse dire quoi que ce soit! Mon Dieu, elle suçait encore mieux que sa soeur!!! De toute évidence, elle n’était pas à sa première pipe et je me dis que son ex était bien con de se passait d’un tel talent! Soudain, elle se releva et retira sa nuisette! Elle était la, entièrement nue dans la faible lueur de la porte. Se tenant dans le cadre de celle ci elle me regarda avec un sourire qui en disait long et me dis:
“Viens par là” Je la suivais jusqu’à la salle de bain. Là je bredouillais que ce n’était pas possible, que j’aimais sa soeur… bref je ne devais pas être très convainquant car elle me répondit:
“Ecoute, je sais que ma soeur n’est qu’une allumeuse qui prend plaisir à torturer ses mec. Je vais te donner ce qu’elle ne te donnera jamais”
Là dessus, elle pénétra dans la cabine de douche, largement assez grande pour deux et je la suivi sans protester. Je la caressais partout. Ses seins bien fermes qui pointaient sous l’effet de mes caresses puis ses petites fesses et enfin sa chatte délicatement entretenue, ne laissant entrevoir une petite bande de poils. J’y enfonçais un doigt, puis deux. De toute évidence, elle n’était pas vierge comme sa sœur. Sa respiration s’accélérait et très vite, elle me saisie la queue et en un instant, je fus en elle! Je saisis alors sa jambe gauche et je la poussais contre le mur de la douche. Elle poussa un petit cri car le carrelage n’était pas encore chauffé par l’eau qui ruisselait sur nous. Je repris mes mouvement et très vite elle poussa de petits gémissements. Au bout de quelques minutes (en fait j’avais perdu toute notion du temps!) je la senti se tendre et elle me planta ses ongles dans les omoplates (heureusement cela n’a pas laissé de traces!) avant de jouir. Fou de désir, je la retournais sans la prévenir et je la pris en levrette d’un seul coup. La vision de ses petites fesses que je pétrissais eut vite raison de moi! Je me vidais en longues saccades en râlant et en en profitant pour lui mettre un doigt dans les fesses (ma copine détestait que je la doigte par là!). Reprenant nos esprits tous les deux, elle sortit de la douche me laissant là! J’avais intérêt à effacer ces odeurs suspectes avant le retour de ma copine et j’en profitais pour me laver. C’est en sortant de la douche que j’entendis sa porte se chambre se fermer. “Je sors” me dit-elle. J’avais au moins réussit à lui rendre le moral! C’est la seule et unique fois où nous avons fait l’amour. J’ai plaqué ma copine quelques semaines plus tard, lassé de son comportement. Je l’ai oublié mais jamais sa délicieuse petite sœur!