Karine et moi pendant le stage 2
Karine et moi pendant le stage 2
Après vous avoir raconté certaines de mes aventures avec Karine pendant mon stage, j’ai décidé de vous raconter d’autres cochonneries que nous avons faites ensemble. La première partie de mon récit parlait de faits qui ont eu lieu régulièrement pendant mes six mois de stages. Je vais ici vous raconter des parties de jambes en l’air qui ont eu lieu dans des contextes plus uniques et hors de la routine habituelle du travail (même si baiser dans une planque en cartons n’est pas très habituel !).
Au sein de l’entreprise où j’ai effectué mon stage, des repas étaient régulièrement organisés et l’ensemble du personnel était convié à venir avec sa famille. Le premier repas qui a été organisé lors de ma présence dans l’entreprise a eu lieu fin aout. Je baisais donc avec Karine régulièrement depuis quelques temps. Comme j’étais en stage assez loin de chez moi, je me suis rendu à ce repas tout seul. Ce repas a lieu dans un restaurant non loin de l’entreprise. Je suis arrivé dans les premiers et j’ai été accueilli par le directeur et sa femme qu’il m’a présentée. Il s’agit d’une femme très élégante mais je comprends qu’il aille fourrer sa bite dans les trous de Cécile ! D’ailleurs cette dernière arrive juste après moi accompagnée de son cocu de mari et de ses enfants qui sont en bas âge. Je trouve la scène assez marrante. En effet, le cocu salue chaleureusement le type qui baise sa femme pendant que la femme trompée fait des compliments à la salope qui baise avec son mari.
Je vois ainsi défiler tout mes collègues avec leur famille. Je me rends compte que celle qui est assise dans le bureau en face de Karine cache bien son jeu puisqu’elle a cinq enfants. Finalement elle sait que les humains peuvent baiser ! Karine arrive à son tour avec son mari et ses deux enfants. Sa fille lui ressemble beaucoup mais elle doit avoir onze ou douze ans alors je n’y pense même pas. En approchant de moi elle me jette un regard et semble assez gênée. Elle tente d’aller vers d’autres collègues mais son mari vient vers moi en disant à Karine qu’elle pourrait me présenter les nouveaux. Karine réussi à cacher sa gêne et elle me présente à son mari qui me serre la main en souriant. S’il savait tout ce que j’ai fait à sa femme, il rigolerait moins ! Sa fille me fait la bise et son fils me serre la main du haut de ses huit ans. Karine entame la conversation :
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K : – Voici notre petit stagiaire du moment.
C : – Petit stagiaire, petit stagiaire, c’est un beau mec quand même. Heureusement que je ne suis pas jaloux ! Enchanté, moi c’est Christophe.
J : – Enchanté. Rassures toi, je ne vais pas draguer une femme mariée sur mon lieu de travail même si elle est très jolie ! (Karine me jette un regard complice et sourit pour cacher son envie d’exploser de rire).
K : – Il fait du très bon boulot. C’est lui qui m’a beaucoup aidé pour l’inventaire.
C : – Maniaque comme elle l’est, tu as du avoir la vie dure pendant cette journée non ?
J : – Ca été. Elle est très à cheval sur la rigueur mais on a bien collaboré. J’ai réussi à travailler seul avec elle pendant les deux semaines de congés alors une après midi j’ai pu tenir !
C : – A c’est aussi toi qui l’a eu rien que pour toi quinze jours. Encore elle devait être moins chiante que d’habitude parce qu’elle parlait moins travail et elle était moins stressée.
K : – Forcément il y avait moins de boulot et personne d’autre ! Si on allait voir les autres collègues aussi ? »
Karine prend son mari par le bras et l’entraine plus loin. Elle regarde vers moi et semble plus à l’aise en éloignant son mari de moi. Le repas commence. Je ne suis pas assis à proximité de Karine et j’en suis un peu déçu. Je vois que le directeur a réussi à s’assoir à coté de sa maitresse qui contrairement à Karine, ne semble pas du tout gênée de parler et de rigoler avec son amant en étant assise à coté de son mari et de la femme de son amant. Le repas se passe bien même si je dois avouer que je commence un peu à m’ennuyer. Vers la fin du repas, la musique est lancée et la plupart des gens commencent à aller danser. N’étant pas un grand danseur, je reste assis en discutant avec d’autres personnes. Je regarde Karine danser. Elle se déhanche et fait magnifiquement bouger son cul qui est bien mis en valeur par la robe qu’elle porte. J’avoue que cela me captive plus que les ragots que me raconte l’épouse d’un collègue. Voir le petit cul de Karine en mouvement m’excite et me fait très envie. A plusieurs reprises, nos regards se croisent et je peux voir à ses yeux qu’elle a envie de sexe. A un moment, elle me fait un clin d’œil puis elle chuchote à l’oreille de son mari avant de partir vers le couloir qui doit mener aux toilettes. Je prétexte donc avoir un coup de fil à passer pour (enfin) me débarrasser de la femme de mon collègue qui me raconte des choses dont je me moque totalement depuis un long moment et je me lève pour me rendre vers ce fameux couloir.
Lorsque je suis dans le couloir, je vois qu’il mène à l’étage du bâtiment, aux toilettes et au fond je vois Karine qui tient une porte. Nous entrons. Il s’agit en fait d’un petit débarras dans lequel sont entassées des dizaines et des dizaines de boites. Nous savons que nous n’avons pas beaucoup de temps et nous savons que nous risquons de nous faire surprendre. Mais cela nous excite tout les deux. La porte est à peine refermée que nous nous embrassons. Nos langues se mêlent et nos corps s’enlacent. Les mains de Karine atteignent ma braguette et rapidement elle ouvre mon pantalon et elle baisse mon boxer. Elle s’agenouille devant moi et commence à me sucer. Je peux entendre des gens qui marchent dans le couloir. Ils doivent se rendre aux toilettes. Cela m’excite énormément. Ma bite est maintenant extrêmement dure. Je veux faire un cunni à Karine mais elle me dit que l’on n’a pas le temps. Je la retourne et je la plaque contre le mur. Elle se cambre et je remonte sa robe jusque sur son bassin. Je baisse sa culotte et je frotte ma bite contre son cul. Puis je pénètre sa chatte d’un grand coup de bite. Pour ne pas qu’elle éveille les soupçons de ceux qui vont aux toilettes, je lui fourre sa culotte dans la bouche. J’agrippe ses hanches et je la saute sauvagement. Je la bourre à haute vitesse pendant environ dix minutes. Elle me regarde alors et me fait comprendre qu’elle doit retourner dans la salle principale avant que son mari ne commence à la chercher partout. J’accélère encore la cadence et finalement, j’inonde sa chatte. Karine m’embrasse puis rebaisse sa robe et quitte le débarras. Comme elle a laissé sa culotte, je la prends pour que personne ne la trouve et je sors à mon tour.
J’ouvre la porte doucement et à travers le faible espace par lequel je peux voir, je vois Cécile entrer en douce dans les toilettes des hommes. Une fois qu’elle est entrée, je sors enfin et j’avance dans le couloir. J’entre en silence dans les toilettes. L’une des cabines est verrouillée. J’entends alors des gémissements étouffés. Ce vieux pervers est en train de sauter sa salope de secrétaire. Mais tout s’est arrêté au moment où le mari de Karine est entré. Comme j’étais devant l’évier, je fais mine de me laver les mains. Tout en pissant, il me parle :
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– T’as pas vu Karine parce que ça fait au moins quinze minutes que je ne l’ai pas vu ?
– Non la dernière fois que je l’ai vu elle dansait et après je suis venu ici.
– J’espère qu’elle ne me trompe pas !
– En tout cas c’est pas avec moi puisque je suis là !
-Oui c’est vrai. Je sais pas si elle serait capable de me tromper ? Je suis pas toujours très attentionné mais je l’aime quand même. Après je la baise pas beaucoup mais elle m’excite plus trop. J’essai de me la faire une fois par semaine pour la calmer. J’espère que ca lui suffit !
– Moi je peux pas te dire (je sais, c’est mal de mentir mais bon je vais pas non plus lui dire que j’ai la culotte humide de sa femme dans ma poche).
– Je sais pas si tu as remarqué mais je crois que la secrétaire et le directeur, y a quelque chose !
– Ah oui tu crois ?
– Je trouve qu’ils sont très proches.
– J’ai rien vu d’anormal.
– Au pire je le comprends parce que la secrétaire elle est carrément plus bonne que sa femme ! Elle a une paire de nibards et un cul. Si j’étais marié avec ça, je la sauterai deux fois par jour ! »
Etant donné que les deux dont nous parlons sont juste à coté, je me dépêche de passer mes mains sous le séchoir et de sortir. Je retourne dans la grande salle où je vois Karine qui danse. Lorsque son mari arrive à son tour, je lui dis qu’elle est là et qu’il a du la rater tout à l’heure. Je remarque que l’alcool a fait effet sur beaucoup de monde dans la pièce. Au bout d’un moment, c’est un slow qui est diffusé. Karine commence à danser avec son mari. Beaucoup de couple sont enlacés et danse tendrement l’un contre l’autre. Je regarde Karine et je vois qu’elle semble être gênée par quelque chose. Elle essai de se frotter discrètement la cuisse. Je crois que j’ai compris son problème. Je m’approche l’air de rien et effectivement, je peux voir mon sperme qui coule contre sa cuisse. Je dois admettre que c’est assez excitant de voir son sperme couler sur le corps d’une femme qui est enlacée avec son mari.
Karine fini par s’éclipser pour aller aux toilettes. J’attends un peu et je me rends également aux toilettes. J’entre donc dans les toilettes des femmes alors que Karine entre dans l’une des cabines. Je bloque la porte de cette cabine puis Karine la verrouille. Je m’accroupis devant elle et je relève encore sa jupe. Je vois mon sperme qui coule le long de sa cuisse depuis son vagin tout lisse. Je commence à lécher sa cuisse depuis son genou et je remonte lentement jusqu’à sa chatte. Lorsque j’ai récupéré tout mon sperme, je prends sa main et je recrache le sperme dessus. A ma grande surprise, elle met sa main dans sa bouche pour avaler tout mon sperme pendant que je continue de lui bouffer la chatte.
Lorsque nous avons baisé tout à l’heure, je n’ai pas eu le temps de m’occuper de son cul. J’att**** ses hanches et je la retourne pour que son cul soit face à moi. Toujours la tête à moitié sous sa jupe, je commence à embrasser ses délicieuses fesses puis à lécher son petit trou. Elle me redit que l’on n’a pas beaucoup de temps. Je me redresse et je la pousse vers la cuvette sur laquelle elle prend appui. Son cul et parfaitement bombé et offert à ma bite qui sort par ma braguette que je viens d’ouvrir. Je me mets derrière elle et j’agrippe ses hanches après avoir bien remonté sa jupe. Je me penche contre elle et je lui murmure :
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– Tu es sur que l’on n’a pas beaucoup de temps ?
– Oui j’ai dit à mon mari que j’allais aux toilettes et que je revenais.
– Dans ce cas, il va falloir que j’aille très vite dans ton cul.
– Si tu veux ! Défonce moi aussi fort et aussi vite que tu peux mais dans cinq minutes je suis là-bas !
– Ok ! Si tu es pressé on va faire vite. »
Je m’enfonce alors d’un seul coup jusqu’au fond de son cul. Je la culbute à fond la caisse. Ma bite ressort quasiment entièrement de son cul avant de s’y enfoncer jusqu’à la base. Nos corps claquent l’un contre l’autre à un rythme incroyable. Elle prend sur elle pour ne pas hurler. Je lui mets aussi des fessés car j’ai découvert qu’elle adore ça. Je la lime ainsi quelques minutes avant de finalement me lâcher dans son cul. Je sors alors sa culotte de ma poche et je lui remets pour ne pas qu’elle est à nouveau le même problème. Karine sort de la cabine. J’allais en faire autant lorsque j’entends la porte des toilettes s’ouvrir et Karine qui commence à parler avec la femme du directeur.
«
– Alors Karine, la soirée se passe bien ?
– Oui très bien Madame. Et la votre ?
– Ca va. En fait à force, toutes ses soirées ça devient assez lassant. Et à mon âge, ça me fatigue !
– Quand même vous êtes encore en forme !
– Oh ce n’est pas tellement physiquement que ça me fatigue.
– Comment ça ?
– C’est mon mari et toutes les femmes qu’il y rencontre qui me fatigue le plus !
– Vous le croyez infidèle ?
– Ne faites pas l’innocente, depuis le temps que vous travaillez pour lui vous devez le savoir !
– Euh non enfin…
– Vous voyez. Peut être même que vous couchez avec lui.
– Non Madame pas du tout !
– Vous allez me faire croire qu’il ne saute aucune de ses employées ?
– Pas moi en tout cas.
– Vous avez l’air tout guillerette, vous êtes essoufflée et toute rouge alors que votre mari était dans la grande salle mais pas le mien.
– C’est d’avoir danser et je suis juste venue aux toilettes.
– Alors pourquoi aviez-vous du sperme qui coulait le long de votre cuisse ? Et pourquoi ai-je entendu des gémissements en entrant ici ?
– Euh, ce n’est pas ce que vous croyez.
– Ah oui alors si j’ouvre cette porte, je ne vais pas y trouver mon mari ?
– Non.
– Alors qui ?
– S’il vous plaît, ne dites rien à personne.
– Ca va dépendre de qui je trouve en ouvrant. (Ne pouvant pas rester indéfiniment enfermé, je déverrouille la porte que la femme du directeur ouvre violement).
Tiens le stagiaire !
– Je vous avez dit que je ne couche pas avec votre mari !
– Vous êtes quand même une sacrée garce. Coucher avec le stagiaire ! Et toi, ça ne te fait rien de te taper une femme mariée et mère de deux enfants ?
– Honnêtement non ! Elle est si jolie et je ne l’ai pas obligé.
– Ferme-la. Vous êtes tous pareil les hommes. Et c’est à cause de garce comme vous Karine, que les hommes se croient tout permis !
– Calmez vous, je ne couche pas avec votre mari et si je veux coucher avec le stagiaire trop sexy c’est ma vie !
– Vous devriez avoir honte. Même s’il est très attirant, vous êtes mariée Karine ! Cependant vous avez raison, si vous voulez être une garce infidèle qui s’envoi en l’air avec le stagiaire dans le dos de son mari, c’est votre droit ! Mais si vous ne voulez pas que tout le monde soit au courant, vous allez me dire qui se fait prendre par mon mari. (Je vois que Karine panique et elle crache rapidement le morceau).
– C’est Cécile Madame.
– Ca ne m’étonne pas ! Telle mère telle fille comme on dit.
– Comment ça ?
– La mère de Cécile était une salope qui vendait son corps pour arrondir les fins de mois et devinez qui lui offrez le plus d’argent. Devinez dans le lit de qui je l’ai retrouvez ? Devinez dans le bureau de qui je l’ai surprise ?
– Votre, votre mari ?
– Oui ! Et ce n’était pas la seule. Toute ma vie il m’a trompé !
– Si je peux me permettre, pourquoi vous n’en avez pas fait autant ?
– Pourquoi jeune homme ? Vous me demandez pourquoi. Et bien parce que je suis une femme respectable ! Pas comme mon mari qui a du se faire toutes ses secrétaires ! D’ailleurs pour en revenir à la secrétaire actuelle, saviez vous que sa mère à toujours était célibataire à cause de sa réputation ? Personne ne sait qui est le père de cette salope. Si ça se trouve, mon mari baise sa propre fille !
– Mais pourquoi vous ne le quittez pas ?
– Ca ne vous regarde pas ! Partez ! »
Nous nous regardons avec Karine puis nous partons sans demander notre reste. Son mari lui dit qu’elle en a mis du temps. Elle lui explique qu’elle discutait avec la femme du directeur. Elle ajoute qu’il est grand temps de rentrer car les enfants doivent être fatigués. Ils partent donc de la soirée. Comme la seule fille que je peux baiser vient de partir et que j’ai quand même eu chaud, je pars à mon tour. Vous pouvez mes donner votre avis sur ce récit ou poser vos questions à l’adresse suivante : [email protected] ou intégrer le groupe Facebook : Fan des histoires de Jerinak.