cocu très content

cocu très content
Auteur : ste2010

Nous sommes un couple marié depuis 17 ans. 42 ans pour moi et 41 ans pour mon épouse. Elle, petite blonde appréciée des hommes, avec une belle poitrine. Moi, homme banal, châtain, de corpulence moyenne. Notre vie de couple et surtout sexuelle s’enlisait dans la routine jusqu’à cette soirée d’octobre 2017 que je vais vous raconter dans les lignes qui suivent.

Nous étions invités chez des amis pour une soirée apéro dînatoire avec d’autres amis. Nous nous présentons donc à leur domicile, moi, Olivier vêtu d’un jean et d’un tee-shirt, et Stéphanie, ma chérie, vêtue d’une jupe noire et d’un chemisier noir. Nous passons un début de soirée relativement calme autour de verre d’alcool… Ma chérie me taquine comme à son habitude. Les discussions se suivent sur différents sujets et sans retenir une grande passion de ma part, ni de Stéphanie.

Vers 23 h une amie nous propose de nous éclipser pour poursuivre la soirée dans un bar qui se trouve à quelques kilomètres de là. On accepte évidemment et nous voilà en route avec cette amie vers le bar. Je ne pouvais pas imaginer que c’est à ce moment-là que notre soirée allait vraiment commencer et pourtant, j’aurais dû voir dans le regard légèrement alcoolisé de Stéphanie la différence entre la femme joueuse taquine et la femme joueuse coquine. Il ne se serait d’ailleurs peut-être rien passé si ce jeune homme n’avait pas été dans ce bar. Donc, je continue…

Arrivés dans le bar, nous nous installons au comptoir, moi accoudé, Stéphanie face à moi et notre amie entre nous deux… Peut-être là ma première erreur ? Nous discutons de notre début de soirée bien sûr, après avoir commandé des verres. Mon regard passe de ma chérie à notre amie et je sens que le regard de Stéphanie m’échappe, elle regarde autre chose ou quelqu’un d’autre derrière mon épaule. Elle sourit toute seule par moments. Intrigué je me retourne et aperçoit un jeune homme qui est de profil et qui ne regarde pas dans notre direction.

Stéphanie me voyant me retourner me chuchote dans l’oreille :

— J’ai l’impression d’être une adolescente qui se fait draguer par un petit jeune.

Je la regarde étonné, elle se penche vers moi et me dit :

— Le jeune homme derrière toi me dévisage depuis que l’on est entrés dans le bar, il me fait des sourires… il me drague… J’ai un petit peu honte de te le dire, mais ça me plaît.

Avant d’aller plus loin, il faut que je vous avoue quelque chose… J’ai un fantasme que j’ai avoué à ma femme et dont on parle régulièrement. J’aimerais qu’elle couche avec un autre homme, devant moi. Je sais, c’est un peu étonnant mais je ne peux rien contre, c’est un truc qui me hante et m’obsède. Elle aime jouer avec cette révélation que je lui ai faite et lors de nos sorties, elle aime jouer à me rendre fou. Continuons…

Une fois de plus, je pense qu’elle joue avec moi. Je décide de faire de même. Je fais semblant d’aller aux toilettes et me rends à côté du jeune homme avec mon verre, à proximité du comptoir. Stéphanie, surprise de mon déplacement, me fait des gros yeux pour me gronder et me sourit en même temps. Est-ce une approbation ou autre chose ?

Je ne suis pas timide et je n’ai aucune difficulté à aborder le jeune homme qui s’appelle Philippe, qui a 29 ans, et qui attend des amis. Après dix minutes environ à discuter avec lui et ne voyant personne venir, je l’invite à nous rejoindre. Notre amie s’est une nouvelle fois éclipsé, trouvant le bar, je cite, “très peu ambiancé”.

Je fais les présentations « Philippe, Stéphanie ». J’explique à Stéphanie qu’il attend des amis et qu’il va bientôt partir. Un “Dommage” sort de sa bouche avec un regard que je ne connaissais pas chez elle. L’alcool avait transformé ma petite femme en prédatrice sexuelle. Philippe me regarde et pas décontenancé, ni gêné par ma présence, lui répond :

— Ça peut peut-être s’arranger.

On peut lire un large sourire sur les lèvres de ma chérie. Nous discutons de tout, de rien et après avoir vidé quelques verres supplémentaires, l’heure de la fermeture arrive. Stéphanie demande à Philippe où il habite et comment il rentre. Philippe lui répond que ses amis devaient le ramener. Il est à pied et il habite à dix km du bar. Elle s’empresse de lui proposer de le ramener, enfin plutôt que je le ramène (j’ai consommé très peu d’alcool). Il est d’accord et lui fait un beau sourire bien malicieux. J’imagine dans ma tête ce qu’il peut penser “Bien sûr madame vous pouvez me ramener mais avant de partir je m’occuperais aussi de vous”. Stéphanie me dit tout bas :

— Je vais te faire plaisir ce soir, mon chéri… ouvre bien les yeux.

L’excitation et la peur montent en moi… J’ai joué et j’espère que je ne vais pas le regretter. Nous sortons du bar en direction de ma voiture, je monte devant, Philippe monte derrière et Stéphanie ne nous a pas suivis… elle est toujours dans le bar. Après deux minutes d’attente, elle arrive enfin, elle ouvre la porte passager et s’assoit. Elle me regarde avec son petit sourire de coquine, elle me prend la main pour la poser sur sa cuisse et m’embrasse profondément en même temps. Je sens le goût de l’alcool dans sa bouche et, au toucher de sa cuisse, je comprends instantanément pourquoi elle est restée dans le bar. Elle est allée retirer son collant dans les toilettes… et sûrement plus.

Je demande à notre passager où je dois le raccompagner. Avant qu’il ne me réponde, Stéphanie me coupe et me dit :

— Deux minutes, je change de place.

Sur ces mots, en quelques secondes, ma chérie se retrouve à l’arrière. Philippe esquisse un léger sourire et m’indique la direction à prendre. Je démarre la voiture et la lance sur la route. Au bout de quelques secondes, la luminosité de la veilleuse se met à baisser jusqu’à son extinction totale. Je roule presque tout seul avec le bruit de fond de baisers échangés et des ombres dans mon rétroviseur. Je sens l’excitation monter et aussi grandir une boule dans mon ventre. Mon sexe durcit au son des gémissements. J’imagine qu’il profite bien de cette femme que l’alcool a désinhibée. J’ai des difficultés à me concentrer sur la route, j’aimerais tant les regarder et j’ai tellement peur de voir ce que j’ai toujours souhaité voir.

Le temps me semble long. Je ne retiens plus, je tends le bras vers la veilleuse et je l’allume. Je regarde dans le rétroviseur… Ma femme est là, les yeux dans le vague, la bouche ouverte. Le jeune homme l’embrasse dans le cou. Je repositionne le rétroviseur vers le bas. Son chemisier est ouvert, sa poitrine est libérée de son soutien-gorge… Je tourne la tête quelques secondes pour voir ce que le rétroviseur ne me permet pas de voir. Je vois sa jupe remontée et ce jeune homme pénétrant le sexe de ma femme avec ses doigts. J’entends la voix de Stéphanie qui me dit juste avant que la veilleuse s’éteigne :

— Tu en as eu assez pour l’instant.

Je me retrouve une nouvelle fois dans le noir. Je roule plus vite que l’autorisation de vitesse ne m’autorise jusqu’à l’endroit que Philippe m’a indiqué. Arrivé près de la destination, je demande le lieu exact. Philippe me répond en reprenant entre chaque indication une grosse respiration. Cela dure environ deux minutes avant d’atteindre la destination finale. J’arrête la voiture devant un immeuble de trois étages. J’attends quelques secondes et ne voyant personne descendre, j’allume le plafonnier. Je vois ce jeune homme avec sa main sur la tête de mon épouse, épouse qui s’applique avec sa bouche à lui donner beaucoup de plaisir. Je tends ma main pour lui écarter les mèches qui m’empêche de voir son visage. Elle est magnifique. Une déesse du sexe.

Philippe lui relève la tête et dit :

— Je peux vous inviter à boire un verre ?

Je ne sais pas si c’est le fait de l’avoir vue aller jusque-là, mais je veux maintenant la voir aller jusqu’au bout. Je réponds à Philippe par l’affirmative. J’éteins le moteur et nous sortons tous de la voiture. Après être rentrés dans l’appartement, je dis à Stéphanie :

— Je veux voir le reste maintenant.

Elle me regarde avec un grand sourire, elle comprend qu’elle me domine, qu’elle peut me demander ce qu’elle veut. Elle me dit :

— Regarde bien, je vais prendre du plaisir rien que pour toi.

Elle va chercher Philippe, lui demande ou se trouve la chambre, et lui chuchote un mot dans l’oreille. Elle revient vers moi, me prend par la main, m’entraîne dans la chambre. Philippe arrive avec un fauteuil. Stéphanie me fait asseoir dedans. Elle retire sa jupe et son chemisier qu’elle avait remis. Elle s’installe sur le lit, se couche sur le dos et lui dit :

— Baise-moi !

Le jeune homme ne se fait pas prier après le traitement qu’il a eu jusque-là. Il se déshabille rapidement et se présente devant ma belle le sexe dressé. Il l’approche du sexe de Stéphanie et la pénètre. Elle gémit tout d’abord tout doucement puis au rythme des coups de reins, intensifie ses cris. Je suis en admiration devant cette femme qui ondule sous les décharges de plaisir que lui prodigue son étalon, devant ses seins en sueur qui bougent sous les assauts de son maître. Elle est à lui, je le vois dans ses yeux.

Il intensifie encore le rythme comme une bête, il va finir. Elle crie de plaisir, elle jouit avec lui. Après les derniers soubresauts, ils s’arrêtent et se couchent l’un à côté de l’autre, son sexe toujours en elle. Elle me regarde, me tend la main et me demande de finir en elle. Philippe sort de ma femme et me laisse la place. Je pénètre ce sexe béant, dilaté par la charge qu’il a subie. Elle ne doit pas me sentir. Je suis tellement excité qu’il ne faut que quelques secondes pour déverser ma semence en elle. On s’endort tous les trois dans le lit. Pendant cette courte nuit, j’ai été réveillé. Cet homme n’en avait pas fini avec ma belle… il l’a prise à plusieurs reprises seule et on l’a prise aussi une fois à deux pour finir de la combler.

Au petit matin, nous sommes rentrés tous les deux, amoureux mais changés.

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