Avec ma mère 3.

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Avec ma mère 3.
Avec ma mère 3.

Je rentrais à la maison plus tôt que prévu, et qu’elle ne fut pas ma surprise en surprenant ma mère et ma sœur dans les bras l’une de l’autre et entrain de s’embrasser !!
« Eh bien les filles, on prend du bon temps à ce que je vois !!! »
Inutile de dire que je me mis à bander d’un coup, d’autant plus, qu’ayant bu un peu trop avec les copains, je me sentais tout guilleret et en pleine forme..
– Adeline chérie, viens vite mon amour, ma poulette adorée, j’ai envie de toi !!
Tout en disant cela, je sortis ma bite du pantalon et la pointais vers elles.
Adeline se précipita, se courba et la mit en bouche pour une succion divine. Puis se relevant, elle s’accouda sur une chaise, les fesses tournées vers moi. Elle passa une main entre ses jambes et de ses doigts elle ouvrit sa chatte en me disant :
– Je t’attends !
Je vins me placer derrière elle, pine au vent. Dès qu’elle sentit mon gland contre elle, elle le saisit du bout des doigts et le guida pour le faire entrer. Je la pénétrais en force et brutalement. Elle poussa un petit cri de protestation mais me laissa faire. Je la pilonnais de toutes mes forces. Ma mère s’approcha de nous, se mit à genoux et embrassa ma sœur dans le cou, se mit à lui pétrir les nichons. Cette dernière gémissait de plaisir. Je me retirais de cette grotte chaude dans laquelle je m’épanouissais et la tendis à ma mère qui s’empressa de la mettre dans sa bouche, pleine du liquide de ma sœur et qui la suça avec avidité. Je demandai, alors, à Adeline de se mettre à quatre pattes sur le tapis, les fesses en l’air. Je demandais la même chose à ma mère, ce qu’elles firent rapidement avec un ensemble touchant, leur cul levé vers moi. Je saisis ma sœur par les hanches et plongeais de nouveau en elle, par petits coups, puis me retirais pour faire la même chose à Yvette. En la pénétrant, je sentis quelque chose de dur et ne pus aller plus loin. Tout surpris, je me redressais et demandais ce qu’il se passait !! Adeline, en gloussant, vint se mettre à genoux derrière notre mère, enfonça ses doigts dans cette chatte toute mouillée de plaisir, et à ma grande surprise je la vis retirer lentement un truc tout rouge que je reconnus comme être un godemiché. Elle se releva en souriant et me disant :
– Vas-y maintenant, la place est libre !!
– Ben merde alors, je vois que vous vous êtes bien amusées pendant que j’étais absent !!
Je m’engouffrais de nouveau dans cet antre adorable, au plus profond possible, puis changeant, je revins vers ma sœur et ainsi de suite, je passais de l’une à l’autre et fus pleinement heureux de les entendre gémir de plaisir. Ma mère jouit la première, puis sentant que j’allais éjaculer j’en avertis ma sœur qui se releva prestement, me prit juste à temps dans sa bouche où je me déversais sans retenue…..
Plus tard, tous trois assis dans les fauteuils du salon, je leur demandais de me raconter cette histoire du godemiché, ce qu’elles firent sans aucune gêne. Au fur et à mesure que mes deux femmes racontaient leurs exploits, une idée me vint et d’un coup me fit de nouveau bander. Je me dépêchais d’ôter mes fringues pour me retrouver la pine à l’air. Leurs regards étaient fixés dessus. Je leur dis, en toute innocence, que je n’avais jamais vu deux femmes faire l’amour entre elles et que j’aimerais bien les voir faire et cela de suite.
Elles ne se firent pas prier une seconde et ce fut ma sœur qui entama les hostilités. Elle prit sa mère et commença par l’embrasser à pleine bouche tout en lui caressant les seins. Ses mains virevoltaient sur tout ce corps merveilleux que j’avais eu tant de plaisir à posséder. Tout en se tenant enlacées, elles se laissèrent choir sur le tapis, se mirent en position du 69 et les léchouilles ne cessaient d’être de plus en plus fortes et profondes. Les gémissements et les soupirs étaient de plus en plus rapprochés et de plus en plus forts. Un cri, un raidissement de tout son corps : ma sœur venait de jouir. Yvette la suivit de peu, mais elle, elle poussa un grand cri en se raidissant aussi. Ma sœur lui planta alors ses doigts dans la vulve et la masturba violemment. Les cris redoublèrent pour finir en un long gémissement. Je me penchais vers ma sœur, lui saisis le poignet et la forçais à entrer sa main plus profondément. Comme elle avait de petites mains et des petits poignets, cela se fit sans trop de difficulté. Ma mère se retrouva avec la main et la moitié de l’avant-bras de ma sœur dans le vagin. Adeline le fit aller et venir lentement et chose extraordinaire elle se mit à jouir rien qu’en faisant cela. Ma mère quant à elle ne cessait de geindre de bonheur et se mit à crier « je deviens folle !!!! » Je me masturbais comme un fou, moi aussi. Le calme revint, chacun reprit ses esprits et je pus contempler tout mon sperme étalé sur les fesses de ma mère et en partie dans les cheveux d’Adeline.
Tout le monde était épuisé et nous avons remis notre conversation à plus tard, pendant le dîner, peut être…..
Armand

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