Quand le lion devient gazelle… (2)

Quand le lion devient gazelle… (2)
A peine vécue, ce genre de relation hors du temps, hors de toute logique et de toute morale… est toujours un moment de pur bonheur !

C’est malheureusement après que cela se complique… quand il faut reprendre le cours normal de la vie et côtoyer chaque jour ces mêmes personnes dans un contexte complètement différent. Le regard que j’avais maintenant sur ma jeune belle-fille et, réciproquement, le sien à mon égard, étaient de fait complètement modifiés.
Je ne parle même pas de l’autre petit trou du cul de Kévin qui s’enorgueillissait sûrement de m’avoir sodomisé comme une vieille pute et qui était encore plus arrogant que jamais !

Bien que sa mère n’en sache rien de ce qu’il s’était effectivement passé entre nous, ma relation avec Mathilde fut particulièrement difficile au cours des mois qui suivirent. Sans doute gênée au fond d’elle-même de m’avoir joué ce mauvais tour, elle était devenue agressive à mon égard et évitait de fait toutes situations où il pouvait y avoir complicité entre nous, comme c’était le cas auparavant.
Et puis, étant donné que nous n’avions pas pris le temps de rediscuter ensemble de l’incident, je ne lui avait toujours pas avoué tout le plaisir, toute la jouissance que cette expérience m’avait malgré tout réellement procuré…

C’est donc dans ce contexte tendu où nous n’échangions que le stricte minimum de paroles, qu’arriva cette fameuse journée d’août…
J’étais, ce jour-là, en repos hebdomadaire, en train de trier des papiers et de faire un peu de nettoyage dans mon bordel… Mathilde, quant à elle en vacances, était affalée sur le canapé du salon, à bouquiner le dernier roman d’Anna GAVALDA, “La vie en mieux”. Bien sûr, dans ces cas-là, l’autre tête de nœud, qui ne devait pas savoir lire plus que les gros titres de la page des sports, s’abrutissait sur la Play Station, dans la chambre de Mathilde.

J’étais concentré sur ma tâche, le rangement étant pour moi vraiment quelque-chose de contre-nature… Certes, j’avais bien remarqué que ma belle-fille portait une jupe relativement courte… mais ma réflexion n’était pas allée au-delà.

Ce fut donc seulement quand je l’entendis repousser Loustic, notre berger des Pyrénées… que je portai réellement attention à la tenue vestimentaire de Mathilde, ou tout du moins à celle en-dessous de la ceinture, étant donné sa position sur le canapé par rapport à où j’étais. Elle portait une jupe courte en flanelle de couleur foncée et une jolie petite culotte blanche qui, à mon grand étonnement, laissait dépasser une de ses lèvres vaginales.
C’est d’ailleurs sans doute ce que le chien essayait de lécher depuis tout à l’heure, attirer par les phéromones sexuels dégagés par le sexe à peine voilé de ma belle-fille…

“Allez… file, Loustic ! Allez… couchez ! Laisse-moi tranquille…

Mais le chien, sentant sûrement la chienne en chaleur, revenait à la charge tel un obsédé.

– Manu, tu peux enfermer le chien sur le balcon ?! Il m’empêche de lire tranquillement.
– Et un “s’il te plait”, ça t’écorcherait la gueule, Mathilde !?
– S’il te plait, Manou chéri…

Petite conne, va ! C’est la pensée qui me traversa l’esprit alors que je me levais et choppais le clébard par son collier pour le tirer jusque sur le fameux balcon. En passant, j’en profitai pour regarder l’entre-jambes de la jeune femme et constater qu’elle n’avait toujours pas remis sa culotte correctement.

Je m’apprêtais à me rasseoir sur ma chaise et à reprendre mes occupations quand je fus saisi d’un vertige… Une idée folle me traversa l’esprit, comme si je n’étais plus maître de ma pensée !

Je me laissai tomber à genoux sur le sol du salon et commençai à avancer vers la canapé à quatre-pattes, tel un chiard en bas-âge… mais dans une toute autre optique que la découverte de l’espace. J’étais dans un état second, obnubilé par ce sexe juvénile de ma belle-fille, comme si sa position indécente était un consentement implicite de tout ce que j’allais entreprendre.
Mes mains étaient moites et je suais à grosses gouttes de tous les pores de ma peau, sûrement conscient de l’interdit que j’étais en train de braver… mais rien ne pouvait m’arrêter.

La première chose que j’avais envie de faire était d’imiter Loustic et d’aller renifler l’intimité de la belle femelle. Je m’avançai donc en essayant d’avoir la même légèreté sur le canapé et en haletant de la même façon que le clébard. Mon appendice nasal commença à fouiller l’entre-jambes tout en jouant avec le tissu de la petite culotte…

– Loustic, non !…

Elle posa sa main sur mon crâne dégarni…

– Mais, ça ne va pas ! T’es complètement malade !
– Enlève ta culotte !
– …
– J’ai dit, enlève ta culotte !

Je m’étais redressé sur le canapé et mon ton tranchant et autoritaire enleva toute velléité de se rebiffer à Mathilde. Elle se retourna face à moi, toujours allongée sur le divan, et esquissa un geste en direction de sa petite culotte… puis s’arrêta.

– Tu ne m’as pas compris… je t’ai dit de retirer ta petite culotte et vite !

Alors, avec ses deux mains, elle remonta sa jupe et commença à faire glisser le morceau d’étoffe blanc le long de ses cuisses, soulevant légèrement son bassin pour faciliter l’effeuillage. Elle me regardait droit dans les yeux, comme pour essayer de déceler le fond de ma pensée, mais nullement terrorisée par ce qu’il se passait.

– Stop !… Maintenant, tu te retournes à quatre-pattes le visage sur le coussin et tu me montres bien tes fesses !

Sa petite culotte au niveau des genoux, elle s’exécuta docilement et m’offrit son cul dans toute sa splendeur. Je voyais son pubis palpiter d’excitation et restai quelques longues secondes silencieux et immobile, à profiter de la scène… Elle osa un bref regard dans ma direction, comme pour savoir ce qu’elle devait faire ensuite…

Et que devait-elle faire ensuite ?! J’avais agi instinctivement et n’avais donc aucun plan pour la suite. Une lueur de perversité me fit me dire que se serait elle qui déciderait, me permettant de voir jusqu’où elle était capable d’aller !?

– Et maintenant, Mathilde ?!

Pour la première fois, je la sentis réellement déstabilisée, comme si elle ne s’attendait pas à cette tournure des événements. Elle hésitait…

– Alors, Mathilde ? Et maintenant ?!

Je ne lâchai pas la pression, le ton toujours catégorique et mon regard d’acier comme seul réponse à ses coups d’œil implorant la suite. Et puis, avec une toute petite voix…

– Je veux que tu me fesses !
– Je n’ai pas compris… parle plus fort !
– Je veux que tu me frappes le cul… je le mérite ! Donne-moi la fessée, Manu !

Elle accentua encore la cambrure de ses reins, ses deux globes laiteux s’écartant pour laisser s’épanouir son joli petit œillet… comme une invitation à venir s’en occuper. Je bandais de toute ma virilité, malgré mon pantalon et le slip. Je me serais presque laissé aller à faire tomber mes fringues et à la prendre là, comme ça, dans cette position… mais elle m’avait demandé quelque-chose. Je ne pouvais la décevoir, ma belle et jeune belle-fille !
Je laissai donc tomber ma main sur sa fesse gauche, avec un claquement sec de celle-ci. Une marque rouge apparut immédiatement sur la peau d’albâtre…

– Ahhh !… Ouiii !… Encore !…

Devais-je continuer ? Oui !
Avec toujours autant de hauteur, trois à quatre fessées s’abattirent donc sur le sublime petit cul de Mathilde, laissant à chaque fois une rougeur supplémentaire… Et, à chaque fois, la jeune femme poussait un râle de jouissance, redemandant systématiquement la poursuite des sévices.

C’est donc avec la même excitation que je reproduisais le rituel, avec à chaque fois un temps de répit entre, pour laisser la douce chaleur se diffuser dans tout son corps. Sa chatte mouillais clairement maintenant, avec des gouttes de cyprine coulant le long des cuisses…
Quant à moi, je sentais de petits spasmes dans ma hampe, annonciateur d’un orgasme tout proche !

Jusqu’où devais-je aller dans mes coups, car j’avais clairement le sentiment qu’ils étaient à chaque fois un peu plus puissants et que la marque laissée était un peu plus rouge que la précédente ?! Je n’eus pas le temps d’apporter une réponse à mon interrogation, Kévin, a priori alerté par les cris de jouissance de sa copine, arrivant sur ces entrefaites dans le salon !

– Mais c’est quoi, ces conneries ?!
– Toi, le petit merdeux, tu fermes ta gueule et tu baisses ton froc !
– …

Le ton de mon injonction était encore plus impérieux que tout à l’heure pour Mathilde… et, scotché sur place, il ne broncha pas un mot supplémentaire. Il s’exécuta d’ailleurs de la même façon que sa copine…

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