Nouvelles Chaussures

Blowjob

(J’ai d’abord publié cette histoire en anglais sous le titre “New Shoes”)

Un après-midi tranquille d’automne à Montréal, on était allé au centre-ville voir un film dans un cinéma situé dans une galerie commerciale, les cours Mont-Royal. Après le film, en retournant en direction de la voiture on s’était arrêté pour faire un peu de lèche-vitrines dans les boutiques assez haut de gamme. Une d’entre elles vendait des chaussures, sacs et autres accessoires de mode pour dames. En passant à côté j’ai vu que son attention avait été attirée par un présentoir de très belles chaussures à talons hauts.

J’adore les talons, mais je savais qu’elle n’en possédait pas. Je la tenais par la main en entrant dans la boutique pour jeter un coup d’œil. Une jeune et jolie vendeuse est venue nous accueillir alors que ma copine admirait les chaussures. La vendeuse en prit une pour les lui montrer, en lui disant : « celles-ci vous iraient très bien. » Les talons faisaient près de dix centimètres, très fins mais pas tout à fait aiguille. Elles étaient d’un cuir blanc cassé poli d’un fini plus satiné que brillant. Je les trouvais très élégantes. Elles avaient l’air sexy mais pas outrancières.

Elle dit : “J’aimerais bien les essayer. Je n’ai jamais porté des chaussures à haut talons comme celles-ci avant.”

“Tu devrais absolument les essayer”, répondis-je. “J’aimerais beaucoup te voir porter des talons comme ceux-là.”

La vendeuse partit chercher une paire à sa pointure, ramenant avec elle une deuxième boîte de chaussures. Nathalie s’assit pour enlever ses propres chaussures et enfiler les nouvelles. Elle fit quelque pas sur le plancher de la boutique, sa démarche pas très assurée sur les talons inhabituels. Elle était bien habillée comme à son habitude mais rien de spécial, juste ses jeans et un blouson de cuir fin par-dessus sa chemise. Mais je la trouvais très attirante en la voyant marcher avec les belles chaussures. Ses pieds étaient très jolis dedans, et le regard un peu gêné et timide qu’elle faisait en les portant était très attachant. Évidemment, la vendeuse lui dit que les chaussures lui allaient très bien.

“C’est sûr que ça prend un peu de temps à s’habituer à porter des talons comme ceux-là, mais vous y arriverez vite” lui dit-elle.

Ma copine ne semblait pas si sûre que ça qu’elle s’y habituerait rapidement, mais elle était visiblement ravie du look des chaussures sur ses pieds, et de l’attention et des compliments de la vendeuse et de moi-même.

La vendeuse sortir la deuxième paire pour que Nathalie puisse les essayer. La forme était similaire, mais dans un imprimé en faux-léopard. Assez spectaculaires, c’étaient plutôt des chaussures à porter avec une petite robe pour une sortie en boîte, alors que les blanches étaient plus versatiles, du genre qui iraient aussi bien avec une jolie robe que des pantalons.

Elle essaya aussi celle à motif léopard. Sa démarche n’était pas plus assurée qu’avant, et elle rougissait un peu alors que la vendeuse et moi étions d’accord que les chaussures lui donnaient un air très sexy.

“Celles-là sont plutôt du genre à porter pour une soirée ou une occasion spéciale”, lui dit la vendeuse. Nathalie était d’accord, et demanda le prix. Les chaussures étaient relativement chères, quelques centaines de dollars chaque paire. Ce n’était pas le genre de folie qu’elle se permettait d’habitude, et je me doutais qu’elle hésitait à dépenser autant pour un type de chaussure qu’elle n’avait jamais porté avant, et qu’elle n’était pas sûre encore de porter plus souvent.

“Je te trouve très belle avec ça”, lui dis-je. “Je peux te les offrir si tu veux, un peu comme une avance sur un cadeau de Noël ou d’anniversaire”. Elle était très contente, et maintenant ne savait plus si elle devait choisir la paire blanche plus passe-partout ou la paire léopard plus m’-as-tu-vu.

“Si tu n’arrives pas à choisir, ne t’inquiète pas. On prendra les deux paires” dis-je. Elle était vraiment heureuse et m’embrassa sur la joue pendant que la vendeuse remettait les chaussures dans leur boîtes et Escort dans un sac. J’ai payé pour les deux avec ma carte de crédit et on a quitté la boutique, vers la voiture.

En arrivant à la maison plus tard dans l’après-midi on avait encore des courses à faire avant le diner et quelques autres trucs anodins. Les boîtes de chaussures s’en allèrent dans la garde-robe et je n’y pensais plus pour l’instant.

Quelques semaines plus tard, on venait de finir le repas du soir à la maison et on se préparait à se coller sur le divan pour regarder un film à la télé. J’avais préparé des cocktails martini à siroter en regardant le film. Dans le film il y avait une scène avec une femme assez sexy qui essayait de courir alors qu’elle portait des talons hauts.

“Dis, tu n’a jamais encore mis les chaussures à talons qu’on t’a acheté il y a quelques jours”, lui dis-je. “Quant-est ce que je les verrai?”

“Il n’y a pas vraiment eu d’occasion de les porter”, répondit-elle. “On n’a pas eu de soirée ou de sortie depuis un petit bout de temps.”

“Alors faisons notre propre occasion”, lui dis-je. “Monte te changer, et tu pourra me faire un petit défilé avec tes chaussures”. Je levai mon verre pour lui porter un toast, et pris une gorgée. Elle rougissait encore. Elle but une bonne quantité de son martini, et se leva du divan vers le hall d’entrée et l’escalier.

“Ta jupe la plus courte irait très bien avec les talons”, ajoutais-je pendant qu’elle tournait le coin pour monter à l’étage.

Pendant qu’elle était partie se changer, je m’assurai de baisser les stores dans les fenêtres du salon derrière le divan, et ajustai l’éclairage de la pièce avec le gradateur. Nos fenêtres de rez-de -chaussée étant au niveau de la rue, la nuit on pouvait parfois se sentir un peu comme dans un aquarium. J’ai fermé la télé, mis sur la sono un CD qu’elle aimait bien. Dans un moment d’intuition, je fis un petit détour pour la salle de bains, retirai mon slip et remit mon pantalon. J’ai ensuite rempli nos deux verres et suis retourné m’asseoir sur le divan.

Elle a probablement essayé plusieurs ensembles. Après une bonne dizaine de minutes, j’ai entendu le cliquetis des talons sur le parquet à l’étage, puis des pas un peu hésitants dans l’escalier.

J’étais soufflé. Elle était absolument magnifique. Elle portait les chaussures blanches, jambes nues, une jupe à mi-cuisse en velours bourgogne, et un haut noir légèrement transparent sous lequel un très joli soutien-gorge en dentelle noire mettait ses seins en valeur. Elle portait aussi un collier d’argent, plusieurs bracelets d’argent sur ses poignets, et elle avait aussi mis des boucles d’oreilles, ce qu’elle faisait rarement. Elle avait retouché son maquillage léger, et remonté ses cheveux dans un espèce de chignon lâche noué avec un ruban. Elle s’était arrêtée au pied de l’escalier, la main toujours appuyée sur la rampe, pas encore très à l’aise dans ses talons.

“Wow!” fis-je. “Tourne sur toi-même un peu pour moi”. Elle fit quelques pas dans le hall, toujours en rougissant, pivotant sur elle-même et s’approcha de moi, avec un sourire gêné. Ce défilé improvisé l’excitait visiblement. Comme elle s’approchait devant moi je me penchai en avant dans le divan pour lui caresser la jambe. “Monte sur la table basse, pour que je puisse mieux voir tes jolies chaussures”dis-je, lui tenant la main pour l’aider à monter. J’avais une petite intuition qu’elle avait omis de mettre une culotte, c’était quelque chose qu’elle aimait faire à l’occasion dans sa jeunesse selon certaines histoires qu’elle m’avait racontées. Elle savait que ca m’excitait, bien évidemment, et on avait joué à ce petit jeu de temps en temps.

Elle rougissait encore timidement en mettant un pied sur la table, puis l’autre, de côté par rapport à moi. Juste un flash de cuisse spectaculaire, dit la chanson de Steely Dan. Elle fit un autre petit tour sur elle-même sur la table. J’avais une vue très sexy en contre-plongée, mais avec l’éclairage tamisé c’était plus une suggestion de trésors cachés qu’une exhibition assumée. Escort Bayan Quoi qu’il en soit je bandais à mort. Son air timide et hésitant avec ses talons et la jupe courte me donna une idée pour jouer un peu. Je me suis levé du divan pour aller me rasseoir dans un fauteuil de l’autre côté de la table basse.

“Ah, Nathalie. Entrez, je vous prie” lui dis-je, passant du français à l’anglais, avec un accent britannique appuyé. Elle m’avait déjà parlé d’un patron anglais qu’elle avait eu dans son premier boulot dans une maison d’édition à Toronto, où elle avait été pour fuir sa vie de banlieue et ses parents, et pour améliorer son anglais. J’essayais d’avoir une voix entre celles de Hugh Grant et de Bill Nighy, probablement avec peu de succès, mais le passage à l’anglais avait joué son petit effet. Elle semblait interloquée par mon jeu.

“Je vous ai demandé de venir pour passer en revue votre performance, comme ça fait maintenant un certain temps que vous êtes à notre emploi. Maintenant comment dirais-je? Vous êtes une dactylo pourrie, Nathalie.” C’était une phrase qu’elle m’avait déjà citée en me parlant de ses premières expériences de travail. Elle m’avait assurée que son boss était gentil et délicat, aussi exaspéré qu’il ait pu être par sa maîtrise du clavier. Mais ce n’était pas comme ça que j’avais envie de le jouer.

“Franchement je me demande pourquoi on vous garde. Votre simple présence est une source majeure de distraction dans notre équipe, quoi avec ces talons qui claquent et ces jupes ridiculement courtes. Je suppose que ça vous amuse de vous pavaner en sachant que vous faites bander tous les membres du personnel masculin, et faites mouiller les chattes de certaines?”

“Descendez-moi votre dossier d’employée de la tablette”, lui dis-je en pointant un document imaginaire sur une des étagères du salon. Plus tôt dans la soirée j’avais monté depuis le sous-sol un escabeau d’aluminium pour changer une ampoule dans un des plafonniers encastrés, et il était toujours là dans le coin de la pièce derrière mon fauteuil.

Elle voyait très bien où je m’en allais, mais semblait vraiment timide et nerveuse. Ce petit jeu de rôle avait touché un nerf sensible. Elle posa un de ses magnifiques pieds en talons sur la première marche de l’escabeau, puis l’autre, en se servant de ses mains pour se stabiliser.

Un pas lent après l’autre, et finalement son cul superbe et déculotté était à la hauteur de mes yeux depuis ma position assise dans le fauteuil. Son pied droit était sur une marche plus haute, les fesses en arrière, me donnant une vue superbe de sa chatte humide et entrouverte sous sa belle et, effectivement, ridiculement courte jupe. Je me levai du fauteuil pour me tenir derrière elle, et fit glisser lentement ma main du talon de son pied gauche à l’arrière de son genou, puis le long de sa cuisse jusqu’à sa chatte. J’en écartai les lèvres, insérant deux doigts dans sa vulve et titillant sa rosette avec le pouce. Elle frissonna avec un petit gémissement.

“Et en parlant de chattes mouillés, qu’est-ce que nous avons là? Pas de culotte? Il me semble que nous vous payons assez pour que vous puissiez vous en permettre une paire ou deux? Je suppose que vous comptez sur votre cul magnifique pour éloigner notre attention de votre brillante performance à la machine à écrire”, dis-je en continuant de la doigter, puis en retirant ma main pour lécher son jus.

“Vous avez été une vilaine fille, Nathalie. Maintenant descendez ici recevoir la punition que vous méritez”. Je l’aidai à descendre de l’escabeau. Elle tremblait un peu, un regard d’excitation mêlé de honte dans les yeux. Je me suis assis de nouveau dans le fauteuil, toujours en lui tenant la main, puis la fit s’installer en travers sur mes genoux et les accoudoirs. Je caressai le derrière de ses cuisses, glissant sous la jupe pour la remonter lentement sur ses hanches, puis insérai à nouveau deux doigts dans sa chatte, pour ensuite retirer ma main soudainement pour lui donner une claque sonore sur les fesses. On n’avait jamais encore joué Bayan Escort à la fessée, mais je trouvais que ca collait avec le personnage. Elle eut un petit sursaut à la première claque, son corps se raidit, mais elle n’émit pas de protestation et ne cherchait pas à se relever.

Je lui donnai une autre bonne claque sur les fesses, puis les caressai de nouveau, chatouillant encore les lèvres de sa chatte du bout des doigts, pour de nouveau soudainement asséner une autre bonne fessée.

“C’est ce qui arrive aux vilaines filles qui excitent leur collègues avec leur accoutrement scandaleux” dis-je en alternant les caresses, les doigts dans la chatte et les claques sur les fesses. Elle respirait fort, très excitée, pinçant le bout d’un de ses seins à travers sa chemise et son soutien-gorge de sa main libre. Je continuai à la doigter, poussant avec deux doigts dans la zone spongieuse du haut du vagin tout en titillant son clito d’un autre doigt, et en me servant de mon autre main pour la caresser et la fesser en alternance, jusqu’à ce qu’elle jouisse sur mes doigts en tremblant.

Je l’aidai à se relever, la tournant face à moi, et lui dis : “Et puisque vous semblez aimer faire bander les queues, faites-nous donc la démonstration de certains de vos autres qualités pour tenter de nous convaincre de vous garder”, en la faisant s’agenouiller devant moi devant le fauteuil. Ça aussi c’était une première. Les fellations étaient fréquentes dans notre vie sexuelle mais pas ce petit jeu de domination. Je continuai d’admirer les jolies chaussures blanches sur ses pieds alors qu’elle se mettait à genoux devant moi, détachant ma ceinture et ma braguette, toujours avec ce regard à la fois nerveux et honteux, évitant de croiser le mien.

Elle fit un petit “oh” en découvrant que j’était nu dans mon pantalon, et sortit ma bite dure en l’ouvrant. Elle se pencha en avant pour la lécher lentement de bas en haut, pour ensuite prendre le gland dans sa bouche. J’étais presque au paradis. Mon verre de martini était à portée de main sur la table basse et je le pris, buvant quelques gorgées pendant que sa tête allait et venait en me suçant. Une de ses boucles d’oreille faisait un mignon tintement en se cognant contre la boucle métallique de ma ceinture à chaque va-et-vient. Le martini dans une main, l’autre caressant sa joue et ses cheveux pendant qu’elle continuait sa pipe magistrale. Maintenant j’étais absolument, complètement au paradis. Le tempo s’accélérai et après quelque minutes je sentais que j’étais près de jouir.

“Finalement je crois qu’on pourrait peut-être vous garder, puisque vos talents semblent s’améliorer avec l’expérience” lui dis-je en caressant son menton et en relevant sa tête. Alors que j’allais me lever, elle se releva d’un coup de ses genoux jusque sur ses belles chaussures à talons. Empoignant ma main, elle me tira du fauteuil pour m’entraîner de l’autre côté du salon et du hall, les talons faisant clac-clac-clac sur le parquet en direction de la salle à manger.

Elle se pencha en avant sur la table, le cul cambré, en tenant les bords avec ses mains, face à la rue à devant les grandes fenêtres. J’avais coupé l’éclairage en passant devant l’interrupteur, mais il y avait quand même pas mal de lumière des réverbères et de la lune qui entrait dans la pièce. Elle voulait ressentir l’excitation de savoir que des passants qui s’adonneraient à jeter un œil par la fenêtre à travers le feuillage puissent la voir troussée sur la table, prise par derrière dans sa petite jupe et perchée sur ses magnifiques chaussures blanches.

J’enfonçai ma queue profondément dans sa chatte en un seul mouvement, pour ensuite commencer à la pilonner pendant qu’elle poussait son cul vers l’arrière. Nous étions tellement excités tous les deux qu’au bout d’une minute j’éjaculai en elle, déclenchant son deuxième orgasme. Je pouvais sentir les muscles de son vagin pendant nos spasmes jusqu’à l’épuisement final. Ça avait été rapide, mais intense. Elle était toujours penchée sur la table, respirant fort. Mon sperme avait commencé à couler goutte à goutte de sa chatte jusque sur le parquet, évitant heureusement ses jolies chaussures blanches entre ses jambes bien écartées, son corps encore pris de petits tremblements.

Repassant au français, je lui demandai “et l’autre paire?”

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