ma collègue (4), le jeu continu
Et voilà c’était fait, jeudi matin 9h45, je venais de prendre un pied pas possible avec elle, mais aussi je venais de tromper ma femme. Celle à qui j’avais juré fidélité. Ce sentiment ambigu était très désagréable, il venait et partait durant tout le reste de la journée. Je n’avais d’ailleurs pas très envie de rentrer, affronter Sophie, faire comme de si rien n’était…tout lui dire et briser ma vie et ma famille, pour une fellation ? Que dois-je faire ?
La journée passe vite, mais je ne suis pas concentré pour autant. Tout se bouscule dans ma tête, les images de ce matin, ce plaisir ressenti, le plaisir d’Océane, nos envies respectives, le boulot, Sophie, etc….
Un sms me sort de ma rêverie,
Sophie « Coucou chéri, n’oublie pas de rentrer à l’heure ce soir, je vais au sport, bisous, à ce soir, je t’aime »
Ah oui c’est vrai, elle a décidé de perdre les 11kg qui lui reste de sa grossesse, elle parait motivé cette fois, ça fait 1 mois qu’elle va au sport sans relâche, c’est bien. Et ça me permettra d’être moins en son contact ce soir.
« Pas de soucis, je serai là, bisous, je t’aime »
Je t’aime, aussi con que ça puisse paraitre, oui je l’aime, mais l’a****l au besoin primaire qui est en moi, a besoin d’assoiffer son désir d’expérience. Il faut avouer que Sophie est ma 1ere vraie partenaire sexuelle, mes compagnes d’avant avaient toutes un problème avec le sexe, vierge, vierge non pratiquante, vierge agressée sexuellement, vierge pas envie….Tout pour stopper l’élan d’un jeune ado en pleine découverte du corps féminin et de ses délices.
La fin de journée se déroule sans encombre, la routine. Un appel de la part d’Océane que je n’ai pas osé prendre.
J’assume qu’à moitié cette histoire, et pourtant j’ai envie de plus….
Un message vocal sur ma boite, c’était Océane :
« Ben alors, tu réponds plus aux appels ? Tu te défile ? Si c’est ton intention, sache que c’est une mauvaise idée, mais alors très mauvaise idée ! Tu as voulu jouer, maintenant tu vas jusqu’au bout ! Il n’y a pas de raison que toi tu ais pris ton pied, que je t’ai accordé la faveur d’avaler ton sperme, et que toi tu disparaisses dans la nature ! Demain matin avant le boulot, rendez-vous sur le parking, derrière le containeur, faut qu’on mette des choses au point ! »
Elle était bien remonté, et en même temps ça se comprend, c’était très égoïste de ma part.
La nuit va être longue…..
Le lendemain matin, je fais en sorte de partir plus tôt, effectivement il faut qu’on mette les choses à plat avec Océane, je ne voudrai pas qu’elle croit que je me suis servi d’elle, et encore moins qu’elle balance tout à Sophie.
« J’ai cru que tu te défilerai, petit joueur ! » me lança t-elle à peine j’étais sorti de ma voiture.
« J’avoue que hier je n’étais pas au meilleur de ma forme, et j’ai hésité à te répondre »
« Tu étais bien en forme, pour gicler dans ma bouche !! »
« Arrêtes, tu sais que je ne suis pas ce style de gars ! »
« Ecoute, moi aussi je prends des risques, moi aussi je suis en couple, mais maintenant on doit assumer, sans se cacher ! Quoi ça y est tu as eu ce que tu voulais, donc basta ? »
« Mais non, bien sûr que non ! J’ai envie de plus, mais plus on va avancer, plus ça sera dangereux, et je flippe un peu »
« Je m’en fou, tu me dois au moins un orgasme, et un vrai, celui qui te monte en l’air, qui te fait tourner la tête, celui qui te dévaste de l’intérieur, tu t’y prends comme tu veux, mais j’estime que tu me dois au moins ça, et ensuite on sera quit, sauf si …… »
Je suis surpris par sa demande, aussi légitime soit elle, il est vrai qu’elle le mérite, cela nous entrainera encore plus dans la tromperie et la débauche…
« Ah oui, et cet orgasme, je le veux aujourd’hui…tu dois bien imaginer que je suis toute chaude depuis hier matin, et que ce petit gémissement que tu as pu entrevoir, n’était qu’un petit échauffement…. »
Je suis choqué par sa demande, aujourd’hui ? Mais comment s’y prendre avec le boulot, les collègues, pas d’endroit sauf le bureau….Elle est forte, faut l’avouer.
« Ok, tu veux jouer ?pas de soucis, prépare toi à me supplier de te faire jouir ! »
« Tu es bien prétentieux, mais jouons, j’aime ça »
Nous sommes partis tous les deux en direction de l’immeuble, pour la réunion hebdomadaire, personne n’était encore arrivé. On est passé non pas par l’ascenseur, mais par l’escalier que l’on savait très peu emprunté. Elle était vêtu comme hier d’un robe courte moulante, et de collant ou bas couleur chair, ses talons claquaient dans les escaliers, et j’en profitais pour mater son fessier se déhancher à chaque monté de marche, on pouvait apercevoir les marques de son tanga à travers le tissu.
Entre deux étages, ma main se pose sur ses fesses charnues, et je la plaque contre le mur, je la débarrasse de son sac et de son manteau. Mes mains ont eu vite fait de remonter sa jupe afin de caresser ses fesses. Effectivement, ce sont bien des bas Dim up. Ses gémissements me poussaient à continuer. Ma main droite s’insinuait sous l’élastique de son tanga pour parcourir le sillon entre ses fesses. Je descendis jusqu’à son sexe, il était trempé et rien que ce contact lui fit dire :
« Hummm ouuuiii… »
Je plaquai ma main sur son sexe pour caresser son clitoris avant de glisser un doigt au plus profond.
Nos langues continuaient leur danse, on avait du mal à reprendre notre souffle. Ma main caressant toujours son sexe, je me baissai pour embrasser ses seins, par-dessus son débardeur en coton, ses tétons étaient gonflés et durs je les sentais à travers le tissus de son soutient gorge. En un mouvement habile, j’avais réussi à lui ouvrir, quelques autres mouvements aidés de sa part, les voilà en dehors de leur tissu, prêt à subir les assauts de ma bouche et de mes mains avides de plaisir.
« Ouuiii, c’est bon… continue, me dit-elle en caressant mes cheveux ».
Elle me plaquait la tête sur ses seins quand je reprenais mon souffle. Son bassin en demandait aussi en se frottant à ma main. Mon index rejoignit mon majeur, mes doigts allaient et venaient en elle doucement, mais profondément.
« On est fou de faire ça ici » dit-elle
« Tu n’aimes pas ? »
« Ooohh si… C’est troop… »
Je venais de lui couper la parole en enfonçant mon index préalablement trempé, entre ses fesses.
Je me mis à genoux devant elle et ma langue vint remplacer mes doigts, j’étais au contact de son sexe fraichement épilé, je retrouvais l’odeur que j’avais pu sentir dans son string souillé, légèrement salé, épicé, il était chaud, je prenais le temps d’embrasser chaque recoin de son anatomie, son pubis, ses lèvres, sa fente, son clitoris qui se dressait au contact de ma langue, sortant de son capuchon, fier et gonflé, elle était si excitée que mon visage fut très vite trempée de sa mouille. Mes mains caressaient ses fesses, les écartaient, les pétrissaient, ma langue allait et venait en elle.
« Prends-moi, implorait-elle, je te veux »
« Non, je n’en ai pas fini avec toi, lui rétorquai-je »
Ma langue remonta sur son clito et doucement j’introduisis mon pouce dans sa chatte et mon index continuait son avancé dans ses fesses.je savais qu’elle aimait ce genre de caresse, et moi j’en étais friand également, je jouais avec ces orifices, et je prenais un plaisir fou à le faire….
« Salaud, tu vas me faire jouir… mmmm, oooh oouuuiii »
« C’est ce que tu veux non ? »
Doucement, je refermai la pince que formaient mes deux doigts, ils se touchaient à travers sa fine paroi pendant que ma bouche suçait son clitoris. Je le sentais dur sur mes lèvres, et agaçant contre ma langue. Elle coulait de plaisir. Haletante, elle gémissait de plus en plus fort, son bassin bougeait de plus en vite, sa mouille abondante et la crispation de ses mains dans mes cheveux m’indiquèrent que j’allais atteindre mon but.
Mon visage était trempé, ma main aussi. Je me redressai alors, stoppant toute activité propice à son orgasme et je rejoignis sa bouche pour l’embrasser doucement. J’arrachais son tanga, et essuyais son sexe trempé avec.
Je le rangeais dans ma sacoche.
Elle remit de l’ordre dans sa tenue et en me caressant mon sexe elle me dit :
« Je me vengerai, mon salaud ! Tu es fou de me laisser à poil sous ma jupe sur ma faim, avec la chatte en feu ! Fais-moi jouir bordel !»
« Tu vas jouir, mais quand je l’aurai décidé…. »
J’avais repris la main, et maintenant j’étais plus que rentré dans le jeu, et je devais assurer.
On remonte doucement l’escalier direction la salle de réunion.
« Je garde l’odeur de ton sexe sur mes doigts » lui dis-je en respirant ma main.
« Un souvenir pour la réunion » me répondit-elle.