-Le soutien d’ une mère.

-Le soutien d’ une mère.
Sarah rentrait de son lycée, en pleure, et traversa le salon et le couloir de l’appartement, où elle vivait avec sa mère, ne faisant même pas attention à cette dernière.
– Sarah?? Mais que t’ arrives-t-il??

La porte de la chambre de Sarah se renfermant violemment fut la seule réponse qu’elle reçu. Éliane voulut alors savoir ce qui pouvait toucher à ce point sa fille, qui d’habitude ne laissait jamais paraître ses émotions. Mais Sarah avait fermer la porte à clé, sa mère n’insistait donc pas pour le moment mais comptait bien savoir ce qui lui était arriver aujourd’hui.

À 20 h, l’heure de dîner habituelle, Sarah descendit, les yeux rouges d’avoir pleurer pendant un long moment. Le début du repas se passa en silence, puis, juste avant de débarrasser la table, Éliane le brisa.

— Alors ma petite, que t’es-t-il arriver??

— Et bien, comme tu le sais je n’ai jamais eu de vrai petit ami.

Effectivement, songea sa mère. Sarah a toujours été à l’écart des autres personnes de son âge, ne supportant pas les filles superficiels qui ne pensait qu’à se rendre intéressante, et les mecs qui, comme elle le disait, fessait un concours du plus connard possible avec les filles.

Elle n’a cependant jamais eu d’ennui et a toujours été très bonne élève à l’école. De plus, elle a souvent eu des propositions de garçon qu’elle trouvait sympathique, pour sortir avec elle, mais elle ne s’est jamais vraiment intéressé à l’amour. Car avec son mètre soixante-dix, sa taille de poitrine 85 c, et ses longs cheveux blonds détachés, Sarah était vraiment une belle fille.

— Mais aujourd’hui, je devais me rendre à un rendez-vous avec un garçon que je trouvais très gentil et qui m’intéressait, mais en fait il avait tout prévu pour que je sois humilié. Une fois arrivée là ou je devais aller, on a commencé à parler, et avant que je ne m’en rende compte, nous étions entrain de nous embrasser. Et quand nous avons décoller nos lèvres, il m’a dit : Comment as tu put penser qu’ un mec comme moi voudrait d’une dérangé comme toi. Et là, ses potes sont sortis de leur cachette et on commencé à rigoler…je me suis alors…dépêcher de rentrer…et…

L’ émotion reprit Sarah et elle se mit de nouveau à pleurer. Éliane, ne supportant pas de voir sa fille triste, se jeta dans ses bras pour la réconforter. L’étreinte de la mère et le fille fut longue, le lien les unissant étant très fort et fusionnelle, au point qu’ Éliane se mit à pleurer aussi avec sa fille. Photos http://cuon.io/nbv4D

— Moi je serais toujours la pour toi, ma chérie. Si tu as besoin de pleurer, rire, ou juste parler dans mes bras, je serais toujours là.

— Merci maman?! Je t’aime de tout mon cœur.

Un jour ce cœur sera partagé avec quelqu’un d’autre qui te réconfortera mieux que moi.
Ha non?! Regardes moi?! Jamais personne ne pourra te remplacer?!

C ‘est gentil ma chérie, tu es l’étoile de ma vie.

Les yeux dans les yeux, Sarah et Éliane se regardèrent un moment, et leur visages se rapprochaient petit à petit, jusqu’à ce que leurs lèvres finissent par se coller les une sur les autres. Leur premier baiser fut long, plein de passion et ne semblait pas vouloir s’arrêter.

Ce n’est qu’en ouvrant les yeux qu’ Éliane se détacha brusquement de sa fille, toutes deux affolées par ce qui venait de se passer.

— Maman…je…je suis désolée…je ne voulais pas…

— Non Sarah c’est…de ma faute. Vas te coucher ma chérie, tu dois être fatiguée, je m’occupe de la table.

Sarah s’ exécuta et alla s’ allongée dans son lit, n’ayant en tête que ce baiser qu’elle venait d’échanger avec sa mère. En y repensant, son esprit s’embruma, et elle ne pensa que à la douceur des lèvres de sa mère.

Elle sentit son corps devenir de plus en chaud et ne pensait plus à autre chose que ce contact intense qu’elle venait d’avoir.

Le bruit de sa mère frappant à sa porte la fit sortir de sa rêverie, et d’une voix tremblante, elle lui dit d’entrer.
— Écoutes, ma chérie, commença sa mère après avoir fermer la porte. Ce qu’il s’est passer tout à l’heure, je…je le regrette, tu dois penser que ta mère est bizarre, tu dois être…

— Arrêtes maman, on était deux et tu voulais me consoler. Au contraire j ‘ai trouver ce baiser très réconfortant. Je te remercie beaucoup maman pour toute ton attention envers moi.

Sur ces paroles, Sarah ce leva, prit sa mère dans ses bras, et la serra de toute ses forces. Elle leva sa tête quelques secondes après, et elle retrouva le chemin des lèvres de sa mère, qui ne chercha nullement à protester. Mais pendant qu’elle s’embrassait de nouveau avec passion, Éliane glissa, et se retrouva au dessus de sa fille sur son lit. Cette petite chute allait changer leur relation mère-fille de façon radic

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