Femme BCBG, escorte, non, pute…. (2)

Femme BCBG, escorte, non, pute…. (2)
Nous sommes prêtes à partir vers Paris, Virginie me tend les clefs de sa mini pour que je conduise. Je décline l’offre avouant que je n’ai jamais passé mon permis. Habitant la capitale depuis ma naissance, les taxis me permettent de me déplacer sans avoir de soucis de stationnement. De plus, la profession de mon époux me permet de prendre l’avion pour les longues distances.
— Nous allons remédier à ce problème, si tu le désires, j’ai un ami qui possède une auto école et qui va te prendre en charge ?
Cette proposition m’intéresse, depuis quelques temps j’avais envisagé de passer mon permis. De Chennevieres sur Marne au Centre de Paris nous prend de longues minutes ce qui nous permet de parler de mes goûts, des siens. Un grand nombre de points nous rapproche. Sauf le sexe ou elle à cent fois mille longueurs d’avance.

Elle me raconte comment un ami de son père lui a pris son pucelage chez lui, lorsqu’elle est venue voir sa fille qui était sa copine. Lorsqu’elle arriva, en entrant dans le jardin, un bruit de tondeuse à l’arrière de la maison attira son attention.
Ayant sonné à la grille, comme à chaque fois et n’ayant pas de réponse, elle entra et se dirigea vers l’arrière où Olivier, le père de Marie tondait. La voyant arriver, il coupa le moteur et vînt l’accueillir.
— Tu as rendez-vous avec ma fille ?
Non, je passais devant chez vous et je viens récupérer le CD que je lui ai prêté.
Entre me dit-il, elle est partie pour l’après midi à la piscine. Je l’ai vu sur la table du salon ce matin lorsque j’ai fait le ménage, mon épouse étant en stage pendant une semaine. Il entra dans la cuisine par une porte arrière.

La nuque en sueur de cet homme m’attira comme un aimant, j’osai avancer ma main pour essuyer ces perles, Olivier se retourna, surpris de ce geste. Ce mouvement me projeta contre la poitrine nu de ce bel homme dans la force de l’âge.
Un regard et d’un coup nos bouches se trouvèrent, se fouillèrent. Il descendit sa main vers mon petit short et à travers le tissu caressa ma fente. Il m’enleva mon débardeur, fait jaillir mes seins. Prise dans un tourbillon que je ne maîtrisais pas, je sentis mon short s’envoler, me sentis saisir et portée sur la table de la cuisine.
— Tu veux me demanda-t-il ?
Je murmurai oui…. Et le sexe entra en moi. Pas de douleur, rapidement les va et vient dans mon vagin m’entraînèrent des larmes de plaisir. Un orgasme me submergea dès cette première pénétration. Mes glandes pour la première fois inondèrent nos jambes et le sol de la cuisine. Olivier se retira de mon sexe pour éjaculer sur mon ventre pour éviter le maximum de risque. Après la séparation, je constatai les dégâts sur mes jambes et sur le sol.
Pendant quelques secondes je pris peur de ce qui les avait inondées.
Voyant mon désarroi, Olivier me rassura et m’expliqua ce qu’on m’avait dit plutôt sur les femmes fontaines. Il alla chercher une serpillière, puis, à quatre pattes tous les deux, moi les fesses et le vagin à l’air, lui le sexe pendant, l’envie nous rattrapa, il m’empoigna par les hanches, se frotta contre moi et me prit en levrette.
Ayant déjà éjaculé une fois, il lima ma fente longtemps, ce qui me permit de prendre mon pied plusieurs fois.

Les jours qui ont suivi chaque fois que sa femme et sa fille s’absentaient, il m’appelait, j’accourais et nous faisions l’amour toujours de façon plus ardente.
Un après midi où il m’avait téléphoné, il me laboura couchée sur une vieille couverture dans la remise du jardin. Un bruit, la porte s’ouvrit et sa femme entra.
Elle était partie en course pour l’après midi, avait oublié son porte feuille, ne voyant pas son homme, elle l’avait cherché et nous a trouvés en train de copuler.
Virginie avait détallé sans demander son reste, me confia-telle.
Dans les jours qui suivirent, la maison fut mise en vente et leur divorce prononcé.
Elle ne les a jamais revus.

Grâce à son histoire, le trajet a été court et nous sommes arrivées au parking privé de l’institut où une place est réservée pour la mini. Pour la première fois je n’entrai pas comme cliente. Virginie me présenta à ses deux employées que je connaissais déjà, Antoinette et Odile.

Toute la matinée je restai à la caisse où j’encaissais les sommes dues par les clientes. Je pris ce travail très à cœur ayant l’impression d’être très utile a mon amie.
A midi nous sommes allées manger dans un bistrot voisin toutes les quatre.
A la table voisine deux hommes dînaient, ils tentèrent d’engager la conversation, mais comme de belles garces que nous sommes, nous nous sommes évertuées à les ignorer. Après le café je les ai embrassées toutes les trois devant rentrer chez moi avant que Pierre n’arrive et ne me pose des questions embarrassantes.
Comme prévu-il arrive vers quinze heures, il m’embrasse sur le front, me demande de venir m’asseoir dans le salon.
— Deux détails m’intriguent, pourquoi ce chaste baiser et pourquoi n’a-t-il pas ses bagages ?
S’asseyant face à moi, il m’annonce qu’il va me quitter. Nous allons nous séparer.
Il a rencontré une de ses hôtesses de l’air, depuis quelques semaines, ils sont tombés amoureux et à chaque escale ils ont une vie de couple. Elle l’attend au bas de l’immeuble et après avoir récupérer quelques affaires il va la rejoindre. Pierre m’explique que depuis que nous sommes mariés la femme soumise que je suis ne le satisfaisait pas et que sa nouvelle compagne a un tempérament de feu. J’éclate en sanglots, ce qui ne l’émeut pas, il me dit qu’il prend en charge le divorce, qu’il a déjà contacté un avocat, qui a déjà mis en marche la procédure. Il me donne un papier sur lequel il a marqué ses coordonnés afin que je l’appelle rapidement. Comme je ne le saisis pas, il le pose sur la table du salon. Il me dit que ma situation financière, ayant quelques bien personnels à la suite du décès de mes parents emportés par un chauffard sur un passage clouté et l’assurance m’ayant indemnisée, me permettra de vivre puisque je ne travaille pas.
Les affaires de mes parents, dont j’ai hérité, outre un compte en banque confortable et une maison à Saint-Palais sur mer située directement sur la plage de cette charmante station balnéaire de Charente maritime, me permettront de voir venir avant de toucher la part de la vente de notre appartement commun.
Je continue à pleurer à chaudes larmes me surprenant même à le supplier de ne pas me quitter. Pourtant dans mon fort intérieur, je vois déjà ce que cette séparation va m’apporter. Il se lève s’avance vers moi pour me redonner un baiser sur le front, je le repousse, il se retourne et part vers la chambre. Je ne bouge pas et quelques minutes plus tard, j’entends la porte d’entrée claquer. Je reste quelques minutes prostrées, je respire un grand coup et me rend dans la salle de bain me passer de l’eau sur la figure. Ma tête dans la glace avec mon maquillage dégoulinant à la suite de mes pleurs me fond partir dans un fou rire que rien ne semble vouloir arrêter.

Je me lave, me remaquille et retourne au salon pour appeler Virginie. N’ayant pas de vis à vis, j’enlève mes habits et m’assois nue dans le canapé. Bien installée, j’appelle Virginie. Antoinette me répond qu’elle ne peut venir au téléphone étant en cabine avec une cliente. Je lui demande de lui laisser un message pour qu’elle passe à mon appartement après avoir fermé son salon. Elle n’aura qu’à appeler à la porte afin que je lui ouvre, elle montera à l’appartement dix, troisième étage.

Toujours nue, trouvant de plus en plus agréable d’être dans cette tenue, je me rends dans la chambre pour ouvrir mes armoires et commencer à trier les vêtements que je vais garder après avoir définitivement quitter ce lieu où ma vie a été comme mise en parenthèse pendant six ans. Le temps passe rapidement et à dix neuf heures trente la sonnerie de l’interphone sonne. Je débloque la porte et me place derrière la mienne. J’entends l’ascenseur arriver, j’ouvre me cachant derrière le battant.
Radieuse Virginie entre et me tombe dans les bras.
— Oh ! Tu es nue merci, mais tu es seule ? Où est ton mari ?
Je pensais que tu m’avais fait venir pour me le présenter. Alors que j’étais décidée à ne pas pleurer, j’éclate en sanglot, ma biche me prend dans ses bras et me cajole. Elle laisse passer du temps et me demande ce qui m’arrive. Pierre est venu comme prévu et m’a annoncé qu’il en aimait une autre et me quittait. Elle me sert plus fort contre elle, prend son mouchoir dans son sac et essuie mes yeux. J’arrive à surmonter mon émotion, éclate de rire un peu nerveusement. J’ai du mal à trouver les mots pour lui exprimer ce que je ressens, je veux lui faire comprendre que ce n’est pas la trahison que mon éducation stricte fait remonter en moi mais la peur de l’inconnu de l’avenir.
Sur ton avenir, aucun problème, me dit-elle, si tu apprécies ce que nous avons vécu depuis deux jours, tu vas vivre maintenant des moments inoubliables, bien sûr si tu acceptes de me suivre les yeux fermés. Quand tu sentiras que tu es prête à t’assumer, nous ferons le nécessaire pour organiser ton autonomie. Pour l’instant, viens, que nous préparions quelques affaires, je t’emmène pour le week-end à Chennevieres.

Aussitôt dit aussitôt fait, elle me choisit une tenue dans ce que j’ai sorti. Prends un sac de sport et mets quelques affaires dedans. Toujours aussi virevoltante elle m’entraîne dans la salle de bain, me lave la figure, me sèche et me remaquille. Pimpantes, nous quittons le logement et reprenons le chemin de son pavillon.
Avant de partir, je n’oublie pas de récupérer l’adresse de l’avocat laisser par Pierre.

Chemin faisant, Virginie me donne des conseils. Surtout ne pas donner des armes à Pierre pour s’en servir lors de notre divorce. Pas d’homme dans ma vie lui permettant en passant par un détective privé d’avoir des photos compromettantes. Souvent dans les procédures on s’aperçoit que ceux qui, comme mon mari, prennent officiellement tout à leur compte, attend la faute pour ne rien avoir à payer.
Tu vas récupérer le maximum d’argent afin de lui faire payer les six années où il n’a pas su donner un plaisir maximum à ta petite chatte. Ton mec n’a pas su te baiser comme tu le mérites et comme il aurait dû le faire et maintenant qu’il en a trouvé une autre qui sait bouger sous lui il s’éclipse. Tu ne feras rien pour que ton divorce traîne en longueur, mais tu feras tout pour qu’il soit entièrement à ton avantage.
Un dernier conseil, quand tu rencontreras dans les jours prochains l’avocat, méfie-t’en plus que tout, c’est son avocat, tu ne le connais pas et tu ne sais pas la connivence qu’il y a entre eux. Accepte le divorce à l’amiable : ce sera plus rapide mais garde tes distances envers lui surtout s’il est bel homme. Le temps de discuter de tout ce que je vais avoir à faire pour le divorce, nous sommes arrivées.

La voiture rangée au garage, nous déposons mes affaires dans une chambre contiguë à celle de Virginie. Je constate que la chambre de mon amie est entièrement rangée, le lit tiré à quatre épingles.
— Quelqu’un vient entretenir ton pavillon ?
Oui une jeune voisine de dix huit ans, Anne, seule avec un enfant de six mois. Le mec qui l’a mise enceinte s’est éclipsé lorsqu’il a connu son état. Ne souhaitant pas avorter, elle a gardé le bébé, une petite fille que j’adore comme ma fille.
Elle vient tous les jours. Elle gère ma maison plus comme une gouvernante qu’une employée de maison. Elle s’occupe de mes courses et de mes repas, cela me permet de profiter entièrement de mon pied à terre sans aucun souci. Elle habite dans un petit appartement dans l’immeuble que nous avons longé à cent mètres d’ici.

Nous-nous mettons nues, tombons dans les bras, nous goûtons nos bouches goulûment. Virginie m’arrête, me propose de faire le tour de la maison pour que je me sente à l’aise et n’hésite pas à aller où bon me semble. Quatre chambres, deux au rez-de-chaussée avec salle de bain commune munie d’une baignoire.
Deux à l’étage, avec salle de bain et douche. La salle à manger et le salon sont spacieux et la cuisine est d’un seul tenant. Deux toilettes et une buanderie complète l’ensemble. Nous franchisons la porte de la cuisine et je découvre un espace magnifique, le jardin. Assez grand, entouré d’un mur de deux mètres de haut sans aucune vis à vis possible. Au centre une piscine couverte de bonne taille.
La couverture mobile, est assez grande pour y mettre quatre transats, une table et des chaises. Au fond, sur le côté, un chalet de bois s’avère être un sauna. Ajouté à l’ensemble, autour de la margelle, une pelouse parfaitement entretenue. Pour compléter le tableau, le jardin se ferme sur le garage attenant à la maison ou une porte permet d’atteindre le matériel et le système de filtration de la piscine. J’apprends que cette piscine est à température constante grâce à un système solaire intégré dans la couverture.

Nous entrons dans ce petit paradis, l’eau est à vingt deux degrés, sans hésiter, je plonge dans cette merveille. Rapidement je parcours les vingt mètres de sa longueur dans un crawl parfait, les heures d’oisiveté permanente de ma vie me permettait d’aller à la piscine Henri-de-Montherland dans le seizième arrondissement trois fois par semaine. Virginie plonge à son tour et nous entamons des allers-retours intenses.
Elle flanche la première et s’arrête sur les marches pour se reposer. Je fais encore deux longueurs pour valider ma victoire. Pour la première fois, je la domine dans une activité. Arrivée à sa hauteur, elle m’enlace et nos corps s’entremêlent. Ces doigts viennent fouiller mon intimité et cette caresse dans l’eau amplifie les sensations ressenties. Je prends une grande goulée d’air, je plonge et je viens souder ma bouche à sa fente. Je relâche l’air emmagasiné dans mes poumons petit à petit et je sens que ces petites bulles passant dans son intimité lui procurent énormément de plaisir. Avant de ressortir-je lâche les ultimes parcelles d’oxygène restant dans mes poumons, malgré l’eau, je l’entends pousser un immense râle de plaisir. Lorsque j’émerge, je vois son corps avoir un dernier soubresaut de plaisir.
C’est la première fois que l’on m’a fait jouir simplement avec des bulles d’air, me dit-elle, quand je te dis que tu es très douée, même mieux tu deviens une bonne salope…et j’aime beaucoup cela.

Laissons nos deux amies se reposer dans leur bain, ce chapitre trois a épuisé son narrateur, allons nous reposer, nous aussi, nous reviendrons vous voir demain matin. Bonne nuit.

Bir yanıt yazın

E-posta adresiniz yayınlanmayacak. Gerekli alanlar * ile işaretlenmişlerdir