Evelyne 2 (Première fois)
Je passais l’année à trimer pour avoir mes examens, ce que je réussis, il me restait alors juste un an pour terminer mes études et commencer une carrière sportive en équipe de France si possible…
Je n’eus aucune relation cette année-là, j’avais arrêté la pilule et me contentais de mes livres, de ciné, de sorties au grand air, de marche, parfois avec un copain, mais je n’ai pas franchi le pas…. Juste quelques baisers…
J’eus plusieurs occasions pourtant, mais je revoyais Max, sa douceur, sa voix, me disait de l’attendre…
Il me contacta sur Facebook, il avait retrouvé mon mail… On échangea quelques mots, boulot, musique, derniers livres, voyages que l’on aimerait…
Puis le trimestre fila, à Noël, il me souhaita de bonnes fêtes et une Bonne année, il partait au ski avec des cousins…
Je me doutais que j’étais en train de le perdre et j’eus quelques larmes en revivant notre étreinte…
Ma sœur, fréquentait un jeune homme depuis 3 mois, un record… Elle le présenta à mes parents, j’assistais à la scène avec un pincement au cœur…. Il était pas mal, grand, l’air gentil, ouvert, parlait bien, se prénommait Marc, et habitait à deux pas de chez nous… Il avait 2 ans de plus, soit mon âge, avait le permis et conduisait la voiture de sa mère… Il allait à l’université de droit, en deuxième année. Il dîna avec nous, mes parents étaient ravis… Nous sortîmes tous les trois au cinéma, ils n’arrêtèrent pas de s’embrasser, de se toucher, j’avais du mal à me concentrer… J’entendis ma sœur soupirer de plaisir, j’aperçus une main insidieusement passée sous sa jupe…
– On va dans la voiture, tu nous rejoindras ? Prends ton temps…
Ils disparurent dans la pénombre… Je reçus un message de Max…
– Panne de voiture, on revient des Alpes, je pense passer vers chez toi demain, tu es là ?
– Oui, suis en vacances deux jours, tu peux t’arrêter ? Tu coucheras à la maison, on a une chambre d’amis…
– Alors d’accord, mes cousins me largueront Dimanche soir en passant et je prendrai le train pour remonter Mercredi sur Lyon… Ça nous fait 2 jours… Tes parents seront d’accord ?
– Je suis majeure, j’ai presque vingt ans… Je suis certaine qu’ils seront d’accord…
Je sortis du ciné avant la fin de la séance et me dirigeais vers la voiture que j’eu du mal à retrouver dans ce vaste parking… Ils l’avaient déplacée et elle était à l’écart… je compris pourquoi en m’approchant… Ma sœur les seins à l’air, les cuisses écartées, se faisait ramoner par la verge énorme de son copain… Elle jouissait, poussant des râles de plaisir à chaque fois qu’il s’enfonçait en elle…
Je ne sus que faire… Ils ne me voyaient pas… L’ambiance était torride et j’eus chaud de partout…
Le visage d’Aline était merveilleux, elle était belle, elle fermait les yeux, laissant le garçon mener la danse…
Retors, coquin, il la prenait lentement, savourant ces instants comme un vieil amant, retenant son plaisir…
Je voyais les lèvres d’Aline murmurer…. Je compris qu’elle lui parlait, lui décrivait sa jouissance, le guidait…
Je sentis mon ventre grogner, mon sexe et mes seins subirent un gonflement irrémédiable… J’eus envie de me caresser, ce que je ne faisais que très rarement…
J’appuyais sur mon pubis, mais ce ne fut que temporaire et je sentis couler ma chatte… Ma main glissa dans ma culotte… Je me caressais en les regardant comme une ado boutonneuse, incapable de résister à l’appel du loup… Mais qu’est-ce que c’était bon… Mes doigts glissèrent, palpèrent, titillèrent mon bourgeon… je sentis monter mon plaisir…
Elle jouissait maintenant, écartelée, montant son bassin vers lui, elle pleurait de plaisir…
Je me donnais le coup de grâce, et osais un doigt, le monde bascula, je me doigtais comme une pro, mon plaisir arriva brusquement, j’avais le doigt entier en moi, qui tournait, qui poussait, qui appuyait sur mon utérus, comme un sexe bandé… L’orgasme me submergea, j’eus le temps de voir ma sœur exploser, puis le garçon arriver à ses fins à grands « Han » de bûcheron…
Ils tombèrent dans les bras l’un de l’autre pour un baiser délicieux de tendresse…
Je ne m’étais jamais caressée avec autant de passion, et surtout si profondément… Je remis tout en ordre en vitesse…
– Ah, tu es là ?
– Oui, j’arrive… Je vous ai cherché un moment…
– Oui, on voulait un peu d’intimité, tu comprends…
– Je vois oui… C’était bon ?
– Tu ne peux pas savoir, Lyne, Marc est un bon amant tu sais…
– Tu prends la pilule ?
– Bien sûr, depuis un an…
– Ça fait un an que vous…
– Oui… Tu vois, je suis fidèle… Enfin depuis trois mois…
– Moi aussi je suis fidèle, Lyne, Aline est super au lit…
– Ah, au fait mon copain arrive demain soir, il couchera à la maison dans le chalet…
– Pourquoi pas avec toi ?
– Ben… Parce que… On n’a pas…
– Tu es toujours vierge…
– Non, presque plus… On n’a pas, mais on a fait tout ou presque, sans …
Ils partent d’un grand rire et je m’aperçois que je viens de bredouiller des âneries…
– Tu sais Marc, ma sœur est une grande sportive et une étudiante avant tout, elle bosse pour arriver et elle arrivera, même si elle doit se priver….
– Bon, mais il faut vivre. Si tu tiens à ton ami, invite-le dans le chalet, maman et papa ne diront rien, ils l’ont fait avant nous…
– Tu crois ?
– Bien sûr, vas-y, fais l’amour dans un grand lit, pas comme moi, juste une fois…
– Quoi ?
– Ah, tu ne savais pas ?
– Non…
– Quand tu étais à Paris, j’avais la maison pour moi… On a couché dans mon petit lit au chalet… Je l’ai dit à maman après… c’était plus correct…
– C’est vrai, ta sœur a beaucoup de respect… Et elle baise bien…
– Salaud, ma sœur est vierge et tu viens …
– Mais tu nous a vus c’est ça ? Dehors, tu nous observais ?
– Je… Un peu…
– Ah, la coquine… Tu t’es chauffée toute seule alors…
– Lyne !…
– Pardon, mais quoi, on est entre nous là… Tu t’es masturbée en nous regardant baiser… J’espère que ça t’a plu ?
– Beaucoup, car je t’avais entendue jouir au ciné…
– Ah ???? J’ai fait du bruit… Je suis impossible, il faut que je m’exprime…
– Je confirme, une vraie tigresse… et elle me pompait en même temps…
– ???
– Oui, je le masturbais avec ma main, je ne pouvais pas lui faire une pipe…
– Lily ! C’est vulgaire !
– Non, c’est dans le dico… Ou presque… Tu préfères fellation ?
– Oui… Enfin, je ne sais pas…
– Ah, tu n’en as jamais fait ?
– Non…
– Oh, là, là… Mais tu es nunuche à 20 ans… C’est ce que les gars préfèrent, ça ne m’étonne pas que tu sois seule à ton âge…
– Tu l’as masturbé au moins ?
– Oui…
– Et lui, il t’a caressée ?
– Oui… Sans me pénétrer, je ne voulais pas…
– Eh bien… Pauvre garçon… On va devoir t’aider, mais comment ?
– Je saurai, j’ai vu des vidéos sur internet, c’est facile, on le prend et on suce…
– Mais non ! Un sexe d’homme, un pénis, une bite, c’est sensible, ça vit… Ta main doit le cajoler et ta bouche le gober, comme s’il était en toi… Il faut alterner… Tiens, viens, je vais te montrer. Allez Marc, sors ton bazar…
– Mais non… Pas là…
– Et où ? Pas toi, tu es ma sœur !… On ne va pas baiser, je ne suis pas gouine, je te montre, je t’instruis…
Ce disant, elle att**** la verge rabougrie de Marc et commence par la bercer dans sa main…
Je la vois grossir à vue d’œil, c’est magique… Il n’ose pas me regarder dans les yeux, reste fixé sur Aline… Elle se penche sur lui, passe sa langue sur le gland (j’ai étudié la chose…), puis promène ses lèvres doucement après l’avoir lapé, puis décalotté… Elle le glisse entre ses lèvres, il ferme les yeux… Elle me regarde… Fais quelques allers-retours sa bouche glissant sur la hampe de chair gonflée de désir…
– Approche…
Elle me fait une place, je vois les veines proéminentes… Mon dieu !… J’aurais peur que ça éclate, j’ai rien vu de tel sur Internet…
– Tu vois maintenant… On est là pour ça…
– Oui, je ne savais pas que c’était plein de sang, les veines prêtes à jaillir…
Elle le reprend en bouche et glisse ses lèvres lentement, de haut en bas… Puis ressort le membre… Il grogne…
– Il faut bien saliver au début, après c’est naturel… Tiens, viens, essaie…
– Non !…
– Mais ça ne mord pas, c’est une copine qui m’a initiée, tu sais…Et ce n’est pas lui qui va dire non !…
Elle me laisse la place, j’avance mes lèvres, ma langue le touche… Chaud… Mon ventre grogne, mon sexe se met à être jaloux…
– Aide-toi de ta main…
Je le prends et le porte entre mes lèvres, je salive, puis promène ma langue sur le gland, où perlent quelques gouttes de liquide transparent… Je lèche, descend vers le bas, remonte… Il me regarde…
Je le mets dans ma bouche, je n’en peux plus…. Ma main passe sous ma culotte, je me touche et en même temps glisse mes lèvres, frôlant la peau brûlante, glisse, jusque dans ma gorge… Il souffle…
– Bien tu lui fais de l’effet… A toi aussi ça te fais de l’effet, on dirait…
– Elle regarde ma jupe relevée, ma main qui caresse… je repars en longs mouvements, mes lèvres glissent, je les serre légèrement…
– Ah… Hou… je vais jouir comme ça… Encore… Tu suces super… Oh !….
– Vas-y, pompe le à fond, il en a envie et toi aussi, je te le prête…
Je continue doucement, lentement, refaisant des allers-retours, sentant le membre se raidir…
– Plus vite maintenant, viens !
Aline prend ma main et la guide, je le masturbe, ouvrant ma bouche, elle accélère, ma main s’affole, je garde la bouche ouverte…
– Vas-y toute seule, fais-le gicler dans ta bouche….
Je le coulisse au maximum que je peux, il remue, se tourne, glisse entre mes lèvres, je sens la chaleur du sperme, sur ma langue, contre mon palais…
– Tu peux l’avaler tu sais, ce n’est pas mauvais, on l’appelle le jus d’homme…
Je fais glisser le tout au fond de ma gorge et avale… pas de goût particulier que cette odeur me révélait… Ils me sourient tous les deux, la main de ma sœur vient enlever quelques gouttes sur mon visage avec un mouchoir…. Je m’aperçois que ma culotte est baissée, que ma foufoune est ouverte… Je viens de me faire jouir encore une fois…
– Tu sais, il suce bien, si tu en as envie…
– Non, Max sera là… Demain sera mon jour J… C’était bien… J’ai joui de le faire… De le sentir arriver, exploser… C’est la nature, mais c’est bon… J’aime le sexe… Merci à tous les deux pour cette initiation… J’ai aimé… Tu as de la chance Lily, ton ami est super gentil, très doux…
Demain est un autre jour…
Le lendemain… MAX
J’ai attendu, comme quand j’étais petite et que j’attendais la venue de Papa Noël…
Je n’arrêtais pas de monter dans ma chambre, descendre, porter une serviette dans la salle de bains du chalet, regarder si rien ne clochait… Le lit était fait, tout était en place… Il nous attendait…
Mon père n’avait pas sourcillé, ni maman, lorsque je leur ai dit :
– J’ai un ami qui vient demain, je le connais bien depuis un an, et je voulais vous le présenter… Max, il a mon âge et est en faculté de droit. Je suis avec lui, on correspond depuis 1 an, on ne se voit pas souvent, mais on, enfin, on vivrait ensemble si on le pouvait. Donc je vais le recevoir dans le chalet ces deux jours…
– Parfait, tu es majeure, Lynette… Tu n’avais pas arrêté la pilule ?
– Oui, mais je prends une nouvelle qui est pour un mois…
– Et vous couchez souvent ?
– On couche lorsqu’on se voit, comme vous le faisiez, parfois dans la journée au campus.
– On était fiancés…
– Oui, bien on va éviter les frais pour l’instant. Je l’aime, il m’aime donc on vit ensemble, ici…
– OK ma fille tu es chez toi chez nous… Il aime manger quoi ?
– Oh, il est français, beau, grand, je… Je ne sais pas… Tout…
– Donc tu ne le connais pas tant que cela…
– Bien… Si, mais on mange rarement à part des sandwiches…
– Bon… On fera un rôti pour ce soir, avec des patates frites. Demain, on avisera… Si vous restez ici à midi…
– Vous êtes des parents en or, je vous remercie.
– On sait que tu fais des efforts énormes pour tes études, le sport, et que tu oublies ton propre plaisir, les copains, les sorties, les week-ends… Ta sœur ne s’en prive pas et son copain est très bien tu as vu…
– Oui, j’ai vu…
Je pouffe… En aparté…
– Maintenant on couche bien plus vite, on a des moyens de contraception et les mœurs ont évolués…
– Oui… C’est tout de suite…
– Et tu l’as fait ?
– Bien… Oui…
– Avec lui ?
– Pas qu’avec lui, je suis moderne, je sors, je m’amuse un peu lorsque je ne suis pas ici… Avec mes copines, on se défoule.
– On sait que tu es prudente et que tu n’as pas vécu ton adolescence… fais attention tout de même, les hommes sont retors pour arriver à leurs fins…
– Mais oui, maman, je sais tout ça…
– Vous ne parlez jamais avec ta sœur ?
– Si on communique par texto, souvent, on se dit nos idées, on se raconte nos histoires de cœur…
– Bon, et bien sois heureuse avec ton Max… Marc, Max, décidément…
Le coup de sonnette me surprend, Aline n’est pas rentrée…
Il est là, superbe avec son anorak, par 12 degrés…
– Tu vas bien ?
– Oui, et toi ?
– Super, je suis heureuse que tu sois là.
– Moi aussi… Je t’ai attendue tu sais, pas d’autre femme, rien… Et toi ?
– Oh regarde, ils font la queue dehors…. Entre, ils seront jaloux…
Les présentations faites, je lui fais visiter la maison, le jardin, puis le chalet dans le jardin qui nous sert de chambre d’ami. Il y pose son sac, me sourit… Il m’embrasse… je fonds dans ses bras…
– Ils sont super tes parents… gentils, charmants… J’ai un cadeau pour eux, je vais le prendre… Une bouteille de là où on était…
– C’est gentil… Et pour moi ?
– Une autre surprise, pour ce soir…
– Oh…
Il m’embrasse encore en essayant de me caresser… Mais je lui adresse un chut péremptoire…
Nous retournons dans la maison au moment où ma sœur et Marc arrivent.
Nous prenons un apéritif au salon, la bouteille de Max a fait de l’effet à mon père, un vieux whisky irlandais… Après les questions de rigueur, les réponses évasives, les silences pesants, nous passons à table, le rôti étant cuit à point, obéissons….
Le dîner se déroule parfaitement, les parents sont contents de voir leurs deux filles rire ensemble et être complices…
Nous bavardons jusqu’à une heure avancée, l’ambiance étant montée d’un cran avec l’alcool et la bonne humeur de tous, sans compter la verve de nos amoureux puis nous nous retirons dans nos chambres.
Le chalet comporte tout le confort d’un studio indépendant, WC, salle de bains avec douche. C’est dans une maison silencieuse quand je me mets au lit, il m’attend depuis 20 minutes…
J’ai gardé ma culotte avec une nuisette…
Le premier contact contre sa peau douce sur la mienne m’électrise… Allongée sur le dos, c’est lui qui se penche pour un premier baiser… Nous n’avons pas trop parlé depuis son arrivée, juste l’essentiel pour le mettre en confiance et lui dire ce que j’avais dévoilé à mes parents…
Mais je suis trop nerveuse pour penser à autre chose. Le moindre bruit me fait sursauter, je m’abandonne dans ses bras, ses mains deviennent thé****utiques, je ronronne…
Nous parlons de ces mois écoulés loin l’un de l’autre, tout en découvrant lentement nos corps.
Nous passons à la phase 2 après un long baiser, le silence, un contact plus précis de son sexe m’indiquant que l’heure approche…
Je monte sur lui, m’allonge en épousant son corps, mes seins sur sa poitrine, nos bouches rivées…
Que de tendresse dans cet échange, ses bras dans mon cou, dans mes reins, qui glissent sur mes fesses… Il me retourne sur le dos, descend le duvet, se penche et contemple ma poitrine à la lueur de la lune…
– Que tu es belle…
Ses mains volent sur mes seins, effleurent, entourent, massent… Je fonds déjà de désir…
Ses lèvres viennent lécher et mordiller, mes tétons durcis… Une main s’avance sur mon ventre, glisse, remonte…
– Tu veux le faire, tu es certaine ? Tu as pris ce qu’il faut ?
– Oui… J’ai juste eu le temps, en deux jours…
Ses mains sont partout… Mes seins me font mal, mon ventre se tord, mon sexe se met à couler de désir…
Ma culotte descend, descend… Le duvet la suit, imité par ma nuisette et nous sommes nus tous les deux…
Il me tourne, me relève, vient entre mes cuisses… Sa bouche se pose sur mon intimité…
Son souffle m’électrise… Je soupire… Je gémis… Sa langue vient de se poser… Lape, lèche, soulève mes chairs intimes, écarte mon duvet de poils blonds, transparents…
Il me savoure… Encore une étape franchie…
Je me donne à lui, je lui ouvre mon intimité. Il salive de bonheur…
Il relève mes cuisses écartelées, je lui offre mon sexe…
Sa langue continue à explorer, ses doigts arrivent en renfort…
Mon clitoris devient énorme, se tend, mes lèvres se gonflent… Ma respiration devient plus rauque…
Je défaille, je gémis d’un coup, il vient de me faire connaître un premier truc, un orgasme ?
Il vient d’aspirer mon sexe…
Il continue à explorer ma chatte ouverte, dégoulinante de salive et de sucs mêlés… Je ne sens plus mon ventre, il ouvre sa voie, sa langue plonge en moi, ses lèvres pincent tendrement mon clitoris et sa langue le titille, puis replonge dans mes trésors…
Quelques larmes coulent sur mes joues, je jouis de plaisir…
Je sens mon enfance partir, s’en aller, perdant mon insouciance et entrant de plain-pied dans le monde adulte…
Je cherche son sexe, à tâtons… Il est contre ma cuisse, dur, bandé. Ma main se referme, ressent sa chaleur, elle lui fait un fourreau, qui le sent coulisser…
Il vient de poser un doigt et tourne sur mon bouton, je m’envole… Mon ventre se soulève vers lui, je serre son membre dans ma main…
Il se relève et vient quérir un baiser… Nos langues s’emmêlent, son doigt continue de tourner lentement… Mes cuisses s’ouvrent seules, tout mon être le réclame…
Il se repenche entre mes cuisses, un doigt pénétre mon vagin…
Cela me rappelle ma caresse de l’autrefois, lorsque je regardais ma sœur et Marc…
Il entre doucement, lentement… Je ne bouge plus… Je suis tendue…
– N’aie pas peur.
Le doigt est en moi, je le sens tourner, onduler, trempé de mes sucs…
On change de position, on s’embrasse tendrement, on vit cet instant comme je l’avais imaginé, un moment de tendresse pure, mon corps qui se laisse posséder, je sais que je ne serai plus la même après…
Je me penche sur lui et le prends délicatement dans ma bouche, mes lèvres autour de ce pieu de chair gonflée, veinée… Je revis les moments passés à répéter cette caresse avec ma sœur et Marc… Je la lui prodigue comme il vient de me le faire, doucement, avec amour, mes lèvres glissent, secondées par mes doigts, et ma langue qui tourne sur le gland découvert…
Je salive, je descends mes lèvres petit à petit, il ferme les yeux… Ses mains cherchent mes mains, prennent mes seins…
Je le garde dans ma bouche, lové au fond de ma gorge, je le sens vibrer, grossir encore… Puis il ressort lentement, et là, mes lèvres glissent le long de cette hampe trempée de salive… J’entends son souffle, il jouit doucement… Je recommence, un peu plus vite, en le serrant… Il grogne de plaisir… Mes doigts prennent ses bourses, je le pousse entièrement dans ma gorge, prenant soin de ne pas le blesser avec mes dents… Puis encore, comme une vague, je le ressors et le reprends, encore et encore jusqu’à ce qu’il m’arrête avec sa main, bloquant ma caresse… Je comprends que je suis allée loin, très loin et qu’il demande un instant de répit, sinon…
Je me remets sur le dos, il vient sur moi m’embrasser, là où se trouvait son sexe, il en partage les senteurs, les sucs…
Je me sens femme de l’avoir poussé au bout… Mais mon ventre a compris, tout mon être le réclame…
Il a écarté mes cuisses, et tandis que l’on échange un long baiser, ses mains malaxent mes seins, jouent avec la pointe qui durcit…
Je suis tendue, excitée, mon sexe coule… Mon ventre ondule, mes cuisses s’écartent pour le laisser venir au plus près…
Le pénis bat, vibre contre ma cuisse, se place contre mon sexe… Il tend ses bras, je m’offre, je me soulève, soulève mes cuisses écartelées…
Le gland touche ma vulve détrempée d’excitation, je plane, je le veux, je jouis… Me soulève, crie, pleure, parle, marmonne des « viens !»…
Il est là, se faufile lentement entre mes grandes lèvres, puis entre les pétales de ma rose qui s’ouvrent, qui l’accueillent, je n’ose plus rien faire, rien dire, j’ai peur…
Il entre lentement, ressorts après quelques millimètres… Rentre encore, plus loin, je ne sens plus que du plaisir entrer dans mon ventre…
Il accélère un peu ses allers-retours… La vague m’inonde… Je jouis encore et encore, je le sens doux, qui me prend, qui m’ouvre comme un papillon qui butine sa fleur… Son dard boit mon suc dans mon sexe… Il est en moi, tendre et me serre contre lui, dessinant les larmes qui coulent de mes yeux… Je jouis de bonheur, je suis inondée de plaisir qui m’a submergée d’un coup…
On s’embrasse, il pousse en moi, encore, plus fort…
Ca y est, il est entré, il m’a déflorée comme on dit… Je le sens gros, chaud…
Il me sourit, je lui souris comme pour lui donner mon approbation…
Lorsqu’il se retire, tout mon ventre se vide d’un coup, je crie… Il s’arrête ayant eu peur de me blesser…
Mais non, c’est moi qui prends ses fesses et le pousse en moi…
Il me reprend, cette fois toute entière, je suis si heureuse, si ouverte qu’il n’a aucun mal à me pénétrer et je présume que mes séances de gymnastique y sont pour quelque chose…
Il revient encore et encore comme un soc qui laboure mon ventre… Je pleure, je gémis tendrement ce moment intense, je m’ouvre encore plus, m’écartèle, puis je fais le grand écart, il plonge et replonge en moi plus vite, plus intensément…
Une vague plus belle, plus haute, arrive du creux de mes entrailles, m’envahit, me submerge et m’emporte…
Cette fois mon plaisir résonne dans la pièce…
On se cherche, on se veut, on s’embrasse encore, longuement…
Il me caresse partout, je le reprends dans ma bouche, il revient à lui, vite très vite, grand, gros, luisant de salive, prêt…
Oui, il me change de position, je me mets sur le côté et son sexe vient se glisser dans le mien naturellement, j’ouvre mes cuisses, il enserre mes seins, je suis aux anges, je le veux encore, plus fort, plus sexe… Ah ! C’est ça que ma sœur me disait…
Il me possède tendrement, comme au début, puis devient plus viril…
Il grossit, il me veut, il veut jouir en moi…
Je n’ai pas voulu de capote, il m’a assuré qu’il était sain, moi aussi…
Il me lutine jusqu’à ressentir la plus belle récompense pour une femme, un orgasme merveilleux, où je vois des étoiles, où je perds conscience du temps…
Il me tourne sur le ventre, fesses ouvertes…
J’ai peur de la sodomie, je crie… Mais non, il se glisse dans mon vagin, autre sensation… Il m’écrase, me plaque, me besogne… je jouis encore et encore….
Il se relève et m’invite sur lui…
Je ne connais pas de plus belle sensation que de me laisser glisser pour engloutir son membre et à mon rythme…
Je jouis encore, une autre sensation, nouvelle, très féminine… Il doit m’arrêter…
Il est énorme, je le prends en main, le tâte, le caresse… Je me mets sur le dos et lui dis : « Viens, prends-moi maintenant… »
Je m’offre à lui, écartelée, impudique, il me prend lentement… Je tremble…
Il me pousse, me pousse, m’ouvre, accélère, encore, plus profond, plus vite, plus raide, plus… Je sens une nouvelle vague m’emporter, il va et vient comme un dingue, le lit pleure, je pleure :
– Oui ! Viens, prends-moi ! Fais-moi l’amour pour la première fois…
Loin de mes craintes d’adolescente, loin de ma peur de souffrir, je perds conscience, soulevée par un orgasme si intense que la chambre se met à tourner, j’entends un cri rauque, un cri de mâle et tout mon ventre se met à brûler.
Je le sens exploser en moi, je jouis encore, ivre de joie, ivre de sexe, sur mon nuage…
Ma première fois, une extase… Cette date va me suivre toute ma vie…